Tony Corso
1. La comtesse Volodine
Une BD de Olivier Berlion chez Dargaud - 2004
06/2004 52 pages 2205055674 Format normal 36485
Tony corso est un détective privé sur la cote d’azur, St Tropez précisément. Il s’occupe de la sécurité des gens riches et célèbres, comme empêcher les paparazzi de prendre des photos. Mais cette fois, l’affaire est plus "sérieuse". Il est engagé par la comtesse Volodine pour retrouver un ami très cher, Ricci Caponi. La comtesse impose juste une chose. Corso sera accompagne de Laszlo, l’homme de confiance/garde du corps de la comtesse. Il terminera l’affaire une fois que Corso aura retrouve Caponi. Tony commence son enquête en posant des questions... Lire la suite
Tony Corso serait le genre de frimeur et de tête à claque avec ce look. Malgré cette apparence, il sait tout sur toute la jet-set et arrive parfaitement à deviner les tenants et les aboutissants par son intelligence au-dessus de la moyenne. On a du mal à y croire à ce personnage ! Du coup, les enquêtes de ce détective privé seront à chaque fois assez bien ficelées.
Dans le genre, je préfère nettement un « Wayne Shelton ». Pourtant, je dois admettre que l’efficacité sera de mise dans la mise en œuvre du scénario. On passe un agréable moment de lecture même si le dénouement est toujours prévisible. Bref, nonchalance et efficacité comme à l’image du personnage. Un gin tonic sans glaçons mais bien frais s’il vous plaît !
J’entame cette série qui dort dans ma bibliothèque depuis pas mal d’années. Celle-ci est assez sympathique et ne manque pas d’humour. Le héros, sorte de magnum (le vrai, Tom selleck) de « Saint-Trop » a beaucoup de charisme et ne s’en laisse pas conter. On suit d’ailleurs ses aventures comme on pouvait suivre celle du « hawaïen » à la télé, avec le sourire au coin des lèvres, sans trop réfléchir et ça fait du bien. Dessins et scénario plutôt réussis pour un premier tome assez savoureux.
J'ai acheté les 4 premiers tomes pour un prix dérisoire et sérieusement, je n'ai pas été déçu. Tony Corso est une série qui mériterait d'être davantage connue. On retrouve de tout : action, intrigue, humour. Un bon moment de lecture.
Série redécouverte par la sortie du tome 6, je me suis attaqué à la lecture du premier épisode.
Lecture agréable et divertissante. La recette est habituelle mais assez efficace : actions, cynisme, beaux décors, quelques beautés envoûtantes et le tour est joué.
On est tenu en haleine jusqu'au bout est c'est plutôt efficace.
Tony Corso est, dans ce premier album un personnage sympas et attachant comme tants d'autres, dans d'autres séries.
L'histoire se laisse lire sans grande grande difficulté, quand au dessin, j'ai connu mieux.
Un vilain monsieur fait chanter la comtesse Volodine au corps superbe et acceuillant. Mais elle aimerait bien cacher cet instant d'inconscience à son richissime mari qu'elle aime autant que son argent. Et c'est Corso qui est chargé de l'affaire ...
Version solo et tropézienne de Miami Vice mais évidemment un ton en dessous. Ça se lit vite et assez bien malgré des dessins assez quelconques, quelques répliques percutantes font le reste.
Une nouvelle série dont je n'est pas vraiment apprécier.
D'une part le dessin de Berlion est passable, mais s'est surtout le contexte que je n'est pas trop aimé.
Un jeune détective Tony, qui se la joue beau gosse, très ou trop sur de lui, ne m'a pas vraiment convaincu.
Quant à l'histoire je ne l'est pas trouvé très bien.
Voilà un début de série qui est plutôt intéressant. C'est très classique : le beau et grand détective, la riche contesse très jeune au mari très vieux mais très riche (c'est fou comme ça rajeuni énormément un portefeuille bien garni :mrgreen: ) et des méchants parce que bon faut bien raconter quelque chose. En fait c'est une BD à lire comme on regarde un feuilleton c'est intéressant on passe un bon moment et puis on passe à autre chose. Les personnages sont assez charismatiques, leurs relations intéressantes et intrigantes.
Bref on passe un bon moment.