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Alan Moore, tel un paranoïaque cabotin, nous ressort sont amour des comicxx des années Beetels (pardonnez moi si j'écorche le noms des perruques folles) et nous déverses sa haine sur les nouvelles histoires parsemant les kiosques de nos "chaire" presses. cOMME pour Suprême, top ten ou watchmen les hommes en collants moulant reprennes du service, mais pour cette fable cela sera pour notre plus grand malheur (la phase est un peu chargé, je vous l'accorde). Je m'explique, le héros tom strong tout comme suprême est le héros classique au possible, sans réfléchire il va casser du méchant car ses sont devoir, sont destin et après plus rien... oN s'attendait a mieux de la part d'un romancier qui c'est si bien peindre les réflexions de ses personnages. la que dalle, même les vilains méchants pabeaux ne peuves nous donnés l'érection escompté de leurs noires dessins, même les vilains nazis encore plus bêtes que des vaches de panurges si a part de dire pendant toute la bd "sale race et autres mots plutôt déplaisant... on aurait attendut mieux, car la force d'alan est souvent aussi de nous concoctés des méchants fort, tourmentés, faible et intelligent/ il ne nous sert que de la vulgarisation, le problème c’est que notre scénariste fou ne c’est pas faire la vulgarisation, et le récit est parsemé de troue des plus ignobles, j’ais même reprit plusieurs foi la bd pour la lire jusqu’à la fin… C’est vous dire qu’elle est pompeuse et chiante car aucunes émotions n’en sort, un vulgère comicxx de tout les jours en claire
Le premier venue pourrait pondre de pareil chose, donc cela explique ma note qui est relativement dure, il y a certes de rare moment pour nous dire que c’est du alan, mais pas assez
si vous aimez ses productions d’entant, il vaut mieux s’abstenir, et allez sur d’autre choses bien plus intersentes…
Sur ceu bonsoir ou bonjours ;-p
Info édition : Contient Tom Strong (1999) #5-8 et un récit en 9 planches (par S. Moore et H. Ramos) paru initialement dans America's Best Comics 64-Page Giant (2001).
Couverture à rabats avec marque-page détachable.
Alan Moore, tel un paranoïaque cabotin, nous ressort sont amour des comicxx des années Beetels (pardonnez moi si j'écorche le noms des perruques folles) et nous déverses sa haine sur les nouvelles histoires parsemant les kiosques de nos "chaire" presses. cOMME pour Suprême, top ten ou watchmen les hommes en collants moulant reprennes du service, mais pour cette fable cela sera pour notre plus grand malheur (la phase est un peu chargé, je vous l'accorde). Je m'explique, le héros tom strong tout comme suprême est le héros classique au possible, sans réfléchire il va casser du méchant car ses sont devoir, sont destin et après plus rien... oN s'attendait a mieux de la part d'un romancier qui c'est si bien peindre les réflexions de ses personnages. la que dalle, même les vilains méchants pabeaux ne peuves nous donnés l'érection escompté de leurs noires dessins, même les vilains nazis encore plus bêtes que des vaches de panurges si a part de dire pendant toute la bd "sale race et autres mots plutôt déplaisant... on aurait attendut mieux, car la force d'alan est souvent aussi de nous concoctés des méchants fort, tourmentés, faible et intelligent/ il ne nous sert que de la vulgarisation, le problème c’est que notre scénariste fou ne c’est pas faire la vulgarisation, et le récit est parsemé de troue des plus ignobles, j’ais même reprit plusieurs foi la bd pour la lire jusqu’à la fin… C’est vous dire qu’elle est pompeuse et chiante car aucunes émotions n’en sort, un vulgère comicxx de tout les jours en claire
Le premier venue pourrait pondre de pareil chose, donc cela explique ma note qui est relativement dure, il y a certes de rare moment pour nous dire que c’est du alan, mais pas assez
si vous aimez ses productions d’entant, il vaut mieux s’abstenir, et allez sur d’autre choses bien plus intersentes…
Sur ceu bonsoir ou bonjours ;-p