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Un album palpitant : la course poursuite de Tintin pour arrêter une bande de trafiquants de fausse monnaie est visuellement superbe. Accumulant les scènes d'action digne des meilleurs films d'aventure, l'histoire finit par les magnifiques décors d'Ecosse. Si l'intrigue est simple, elle parvient à captiver l'attention et ne nous quitte plus jusqu'à la fin. Les gags en plus sont très réussis.
C'est un album qui, à défaut d'être l'un des meilleurs de la série, pose quelques bases qui seront essentielles pour la suite des choses. Les Dupondt y jouent un plus grand rôle, les gags liés au whisky font leur apparition, certains personnages reviendront par la suite. Les décors anglais et écossais sont assez agréables même si le tout me laisse un peu sur ma faim car ces thèmes ont un potentiel immense. J'ai beaucoup aimé ce septième tome quand même.
Course poursuite entre Tintin et une bande de faux monnayeurs, en voiture, en train, en avion et même en bateau. Pas de temps de mort, quelques gags, parfois un peu artificiels, pour une aventure très plaisante.
Bonjour - question pour spécialiste
j'aimerai connaître la cotation d'un fac-similé de l'édition de 1943 l'ile au trésor de chez Casterman - 4eme plat identique
édition 1996
merci d'avance
Avis pour l'ensemble des aventures de Tinitin.
Indispensable pour tout jeune lecteur.
J'ai lu en boucle Tintin de mon enfance à mon adolescence, c'est la seule oeuvre bédéistique que j'ai exploitée à fond sans me lasser pendant des années.
Devenu adulte, les aventures de Tintin et Milou m'ont semblées gentillettes, pas si exceptionnelles que cela...
Devenu père, j'ai fait découvrir Tintin à mes enfants ET là encore la magie d'Hergé opère à plein... c'est leur BD favorite, passant d'un album à l'autre.
Grâce à eux je redécouvre la puissance créatrice d'Hergé, Tintin devenant notre lecture du soir.
"L'Ile Noire" a une place à part dans mon enfance : alors que j'avais "hérité" (de qui, je ne sais plus...) d'une collection quasi complète des "Tintin et Milou" publiés à l'époque - on était à la moitié des années 60 -, cet album, ô horreur, n'y figurait pas ! J'ai donc attendu quelques années en bavant devant la superbe couverture de la réédition (celle avec Tintin - vêtu d'une tenue écossaise ! - et Milou découvrant la sinistre Ile Noire depuis leur barque) qui laissait présager une aventure "gothique" lourde de sens. Je fus un peu surpris (déçu ?) en lisant enfin ce livre tant désiré par la relative neutralité de la longue course poursuite précédant cette fameuse arrivée, à travers le plat pays flamand, puis une campagne plus anglaise que réellement écossaise... même si le long combat final dans le château entre Tintin et les faux monnayeurs, avec un maxi-gorille (ou un mini-King Kong, comme on veut) au milieu, m'avait paru des plus réjouissants. Découvrir en 2016 la version "originale" - mais colorisée - permet de réévaluer cet album certainement un peu mineur au sein de l’œuvre d'Hergé : mieux aimée par les aficionados, cette version bénéficie en effet d'une rondeur, d'un dynamisme, d'une vitalité, un peu dilués dans les versions ultérieures, plus parfaites techniquement, mais plus froides (eh oui, il y a eu pas moins de trois versions différentes de "l'Ile Noire" : est-ce le signe d'une certaine insatisfaction d'Hergé vis à vis de sa création ?). Si les péripéties qui arrivent à un Tintin en perpétuel mouvement (en perpétuelle fuite ?) renvoient aux premières aventures du petit reporter, et que, du coup, certaines d'entre elles, peu vraisemblables commencent à être usées, il y a heureusement assez d'originalité pour sauver l'album : les multiples chutes, blessures et accidents de Tintin (envoyé deux fois à l'hôpital !), l'alcoolisme de Milou, qui se fera battre (!) par son maître, les acrobaties aériennes des Dupondt, le long gag des pompiers à la poursuite de la clé de leur garage, tout cela fait de "l'Ile Noire" un petit plaisir un peu régressif, qui pallie largement à un imaginaire beaucoup plus riquiqui qu'à l'habitude. Pour conclure, faisons - comme tout le monde l'a fait - la triste constatation que, après s'être attaqué au bolchévisme, au capitalisme, à l'impérialisme japonais et au chaos sud-américain, il est triste que Hergé n'ait pas dirigé ses canons plus directement contre le national-socialisme dont la menace se faisait terriblement concrète (on sait que cette histoire de faux monnayeurs est inspirée d'un fait réel de fausse monnaie commandité par le IIIème Reich... mais c'est quand même bien peu !).
Une intrigue à priori simple (TINTIN poursuit un gang de faux-monnayeurs), mais elle est diablement efficace et magnifiquement mise en place (la structure du scénario est exemplaire). Ajoutez-y des dessins et des couleurs splendides (aah ces ciels de traîne écossais …), des personnages secondaires intéressants, une atmosphère particulière, des décors magiques (les paysages du sud de l‘Angleterre, l‘île noire …), un humour omniprésent (la sottise des Dupondt, Milou qui se saoule au whisky …), un très bon suspense, la plus belle couv’ de la série … et vous obtenez un album en tous points remarquable.
Malgré une intrigue simple, cet album a beaucoup d'allure de part son ambiance écossaise et les interactions entre les personnages (le rapport Tintin vs Dupont et Dupond est croustillant).
"L'ile noire" est a mes yeux un des albums des aventures de Tintin le plus accompli.
Une fois de plus nous allons à la découverte d'un pays avec se guide extraordinaire qu'est Hergé.
On peut dire que ça commence fort dès la première page! C'est un bon album de la série avec une histoire de ganster,le final sur un chateau sur une ile ecossaise est pas mal.
L'ile noire est certainnement la BD de tintin que j'aime le moins (sans compter au pays des soviets), bien que les dessins soient sans concurrent, le scenario me semble classique (poursuite de mechants).
Beaucoup de gens au contraire adore cette BD, moi je ne la trouve pas exceptionnelle par rapport aux autres.
Un album palpitant : la course poursuite de Tintin pour arrêter une bande de trafiquants de fausse monnaie est visuellement superbe. Accumulant les scènes d'action digne des meilleurs films d'aventure, l'histoire finit par les magnifiques décors d'Ecosse. Si l'intrigue est simple, elle parvient à captiver l'attention et ne nous quitte plus jusqu'à la fin. Les gags en plus sont très réussis.
C'est un album qui, à défaut d'être l'un des meilleurs de la série, pose quelques bases qui seront essentielles pour la suite des choses. Les Dupondt y jouent un plus grand rôle, les gags liés au whisky font leur apparition, certains personnages reviendront par la suite. Les décors anglais et écossais sont assez agréables même si le tout me laisse un peu sur ma faim car ces thèmes ont un potentiel immense. J'ai beaucoup aimé ce septième tome quand même.
Course poursuite entre Tintin et une bande de faux monnayeurs, en voiture, en train, en avion et même en bateau. Pas de temps de mort, quelques gags, parfois un peu artificiels, pour une aventure très plaisante.
Bonjour - question pour spécialiste
j'aimerai connaître la cotation d'un fac-similé de l'édition de 1943 l'ile au trésor de chez Casterman - 4eme plat identique
édition 1996
merci d'avance
Avis pour l'ensemble des aventures de Tinitin.
Indispensable pour tout jeune lecteur.
J'ai lu en boucle Tintin de mon enfance à mon adolescence, c'est la seule oeuvre bédéistique que j'ai exploitée à fond sans me lasser pendant des années.
Devenu adulte, les aventures de Tintin et Milou m'ont semblées gentillettes, pas si exceptionnelles que cela...
Devenu père, j'ai fait découvrir Tintin à mes enfants ET là encore la magie d'Hergé opère à plein... c'est leur BD favorite, passant d'un album à l'autre.
Grâce à eux je redécouvre la puissance créatrice d'Hergé, Tintin devenant notre lecture du soir.
"L'Ile Noire" a une place à part dans mon enfance : alors que j'avais "hérité" (de qui, je ne sais plus...) d'une collection quasi complète des "Tintin et Milou" publiés à l'époque - on était à la moitié des années 60 -, cet album, ô horreur, n'y figurait pas ! J'ai donc attendu quelques années en bavant devant la superbe couverture de la réédition (celle avec Tintin - vêtu d'une tenue écossaise ! - et Milou découvrant la sinistre Ile Noire depuis leur barque) qui laissait présager une aventure "gothique" lourde de sens. Je fus un peu surpris (déçu ?) en lisant enfin ce livre tant désiré par la relative neutralité de la longue course poursuite précédant cette fameuse arrivée, à travers le plat pays flamand, puis une campagne plus anglaise que réellement écossaise... même si le long combat final dans le château entre Tintin et les faux monnayeurs, avec un maxi-gorille (ou un mini-King Kong, comme on veut) au milieu, m'avait paru des plus réjouissants. Découvrir en 2016 la version "originale" - mais colorisée - permet de réévaluer cet album certainement un peu mineur au sein de l’œuvre d'Hergé : mieux aimée par les aficionados, cette version bénéficie en effet d'une rondeur, d'un dynamisme, d'une vitalité, un peu dilués dans les versions ultérieures, plus parfaites techniquement, mais plus froides (eh oui, il y a eu pas moins de trois versions différentes de "l'Ile Noire" : est-ce le signe d'une certaine insatisfaction d'Hergé vis à vis de sa création ?). Si les péripéties qui arrivent à un Tintin en perpétuel mouvement (en perpétuelle fuite ?) renvoient aux premières aventures du petit reporter, et que, du coup, certaines d'entre elles, peu vraisemblables commencent à être usées, il y a heureusement assez d'originalité pour sauver l'album : les multiples chutes, blessures et accidents de Tintin (envoyé deux fois à l'hôpital !), l'alcoolisme de Milou, qui se fera battre (!) par son maître, les acrobaties aériennes des Dupondt, le long gag des pompiers à la poursuite de la clé de leur garage, tout cela fait de "l'Ile Noire" un petit plaisir un peu régressif, qui pallie largement à un imaginaire beaucoup plus riquiqui qu'à l'habitude. Pour conclure, faisons - comme tout le monde l'a fait - la triste constatation que, après s'être attaqué au bolchévisme, au capitalisme, à l'impérialisme japonais et au chaos sud-américain, il est triste que Hergé n'ait pas dirigé ses canons plus directement contre le national-socialisme dont la menace se faisait terriblement concrète (on sait que cette histoire de faux monnayeurs est inspirée d'un fait réel de fausse monnaie commandité par le IIIème Reich... mais c'est quand même bien peu !).
Une intrigue à priori simple (TINTIN poursuit un gang de faux-monnayeurs), mais elle est diablement efficace et magnifiquement mise en place (la structure du scénario est exemplaire). Ajoutez-y des dessins et des couleurs splendides (aah ces ciels de traîne écossais …), des personnages secondaires intéressants, une atmosphère particulière, des décors magiques (les paysages du sud de l‘Angleterre, l‘île noire …), un humour omniprésent (la sottise des Dupondt, Milou qui se saoule au whisky …), un très bon suspense, la plus belle couv’ de la série … et vous obtenez un album en tous points remarquable.
Malgré une intrigue simple, cet album a beaucoup d'allure de part son ambiance écossaise et les interactions entre les personnages (le rapport Tintin vs Dupont et Dupond est croustillant).
"L'ile noire" est a mes yeux un des albums des aventures de Tintin le plus accompli.
Une fois de plus nous allons à la découverte d'un pays avec se guide extraordinaire qu'est Hergé.
On peut dire que ça commence fort dès la première page! C'est un bon album de la série avec une histoire de ganster,le final sur un chateau sur une ile ecossaise est pas mal.
L'ile noire est certainnement la BD de tintin que j'aime le moins (sans compter au pays des soviets), bien que les dessins soient sans concurrent, le scenario me semble classique (poursuite de mechants).
Beaucoup de gens au contraire adore cette BD, moi je ne la trouve pas exceptionnelle par rapport aux autres.