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Un album plus sombre avec une intrigue matinée d'espionnage en Chine. Comme bon nombre d'histoires de Tintin dont le graphisme a été repris au cours des années, on distingue une différence de dessin après la quatrième planche. Hergé n'a pas repris son travail et ça se ressent, les lignes sont plus simples. Elles restent belles surtout lors des séquences de nuit. L'intrigue par contre s'étire en longueur et au final l'aventure ne m'a pas passionné plus que ça !
À mes yeux, il s'agit du chef-d'oeuvre d'Hergé parmi les dix premiers tomes. Lorsque j'y pense, je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine déception que cet album soit arrivé si tôt, avant que l'univers de la série ne soit solidement mis en place avec la présence du capitaine et du professeur. Certaines planches de l'album doivent être comptées parmi les plus belles de l'histoire de la bande dessinée. L'histoire est captivante, on ne peut s'arrêter de lire qu'avec les plus grands efforts. L'album représente aussi le début du mea-culpa d'Hergé pour les tomes précédents : les thèmes de l'impérialisme, des préjugés et de la tolérance y sont omniprésents. Ce seront désomais les Dupondt qui auront pour fonction d'illustrer le ridicule des clichés sur l'Autre.
Il se dégage de cet album une magnifique leçon d'amour entre les humains. J'ai ressenti beaucoup d'émotions en le parcourant et je continue de le redécouvrir avec plaisir.
Un bijou ! L’intrigue, les décors, l‘ambiance, les couleurs, les personnages, les répliques, le contexte géopolitique … tout est parfait. Le charme des fumeries d’opium est délicieusement éthéré, et le come-back de Rastapopoulos en fin d’album est aussi un grand moment. Peut-être le plus grand TINTIN de la série.
Je n'ai pas un rapport facile avec "le Lotus Bleu", souvent pourtant considéré comme l'un des tous meilleurs Hergé (et apparemment classé - en France - à la 18ème position des meilleurs livres du XXème siècle) : je me souviens que, enfant, j'avais été surpris en le découvrant par le graphisme "originel" qui n'avait pas été modernisé (mis à part pour les toutes premières pages, ce qui créait un effet de rupture déstabilisant) et tranchait avec le reste de mes "Tintin"... Mais j'avais surtout été "choqué" par le réalisme de nombreuses scènes (la guerre d'invasion des Japonais, les inondations meurtrières, et même la menace répétée de voir le cou de Tintin tranché !), sans même parler de la personnalité de Tintin, très extraverti - ces sourires, ces explosions d'émotion, cette violence dans les combats (hors champs) à mains nues...
Évidemment nombre de ces "défauts" constituent la singularité de ce "Lotus Bleu" et concourent à en faire aujourd'hui l'un des livres les plus respectés d'Hergé : bien documenté quant à la situation chinoise - Hergé ayant souhaité rompre avec la vision simpliste des civilisations "autres" qui était la sienne jusqu'alors -, mais surtout prenant fermement parti (contre les idées généralement défendues en Occident à l'époque...) des victimes chinoises du racisme européen comme de l'impérialisme nippon, "le Lotus Bleu" est clairement la première étape conduisant à la maturité d'une Bande Dessinée qui va devenir au cours des années suivantes l'une des œuvres majeures du XXème siècle. Du point de vue narration, Hergé développe pour la première fois un grand récit "policier" cohérent - même si pas exempt d'invraisemblances - et relègue l'humour à sa portion congrue (les rudes Dupontd étant à eux seuls chargés d'incarner la part grotesque de ce récit plutôt sombre, voire souvent cruel...).
Finalement, le problème qui demeure aujourd'hui avec ce "Lotus Bleu", une fois qu'on a intégré la part historique et aussi la part auto-biographique du récit (l'amitié avec Chang, qui deviendra, tout le monde le sait, le cœur du fameux "Tintin au Tibet", bien des années plus tard...), on peut quand même se sentir un peu perdus en suivant tous ces allers et retours effrénés de Tintin, qui semble passer son temps ballotté entre les nombreux personnages - bons ou méchants - de cette intrigue complexe, et faisant paradoxalement du surplace jusqu'au dénouement assez surprenant. Finalement, la vraie faiblesse du "Lotus Bleu", c'est que Hergé manque encore de savoir faire dans la construction de ses scénarios, une faiblesse qui sera rapidement corrigée dans les tomes suivants.
Un de mes Tintin préférés. On y voit Tintin souvent déguisé, le suspense est présent et l'ambiance sombre fait un peu peur. Je ne mets pas 10, car il y a quelques incohérences.
Le scenario est très ambigue et cette BD est la suite des cigares du pharaon. Les dessins n'ont pas été revus, ils sont de ce fait moins réussit que la BD précédente, je la conseille tout de même, parce que je trouve cette BD très problématique et qu'on ne se lasse pas de la lire.
Un album plus sombre avec une intrigue matinée d'espionnage en Chine. Comme bon nombre d'histoires de Tintin dont le graphisme a été repris au cours des années, on distingue une différence de dessin après la quatrième planche. Hergé n'a pas repris son travail et ça se ressent, les lignes sont plus simples. Elles restent belles surtout lors des séquences de nuit. L'intrigue par contre s'étire en longueur et au final l'aventure ne m'a pas passionné plus que ça !
À mes yeux, il s'agit du chef-d'oeuvre d'Hergé parmi les dix premiers tomes. Lorsque j'y pense, je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine déception que cet album soit arrivé si tôt, avant que l'univers de la série ne soit solidement mis en place avec la présence du capitaine et du professeur. Certaines planches de l'album doivent être comptées parmi les plus belles de l'histoire de la bande dessinée. L'histoire est captivante, on ne peut s'arrêter de lire qu'avec les plus grands efforts. L'album représente aussi le début du mea-culpa d'Hergé pour les tomes précédents : les thèmes de l'impérialisme, des préjugés et de la tolérance y sont omniprésents. Ce seront désomais les Dupondt qui auront pour fonction d'illustrer le ridicule des clichés sur l'Autre.
Il se dégage de cet album une magnifique leçon d'amour entre les humains. J'ai ressenti beaucoup d'émotions en le parcourant et je continue de le redécouvrir avec plaisir.
Un bijou ! L’intrigue, les décors, l‘ambiance, les couleurs, les personnages, les répliques, le contexte géopolitique … tout est parfait. Le charme des fumeries d’opium est délicieusement éthéré, et le come-back de Rastapopoulos en fin d’album est aussi un grand moment. Peut-être le plus grand TINTIN de la série.
Je n'ai pas un rapport facile avec "le Lotus Bleu", souvent pourtant considéré comme l'un des tous meilleurs Hergé (et apparemment classé - en France - à la 18ème position des meilleurs livres du XXème siècle) : je me souviens que, enfant, j'avais été surpris en le découvrant par le graphisme "originel" qui n'avait pas été modernisé (mis à part pour les toutes premières pages, ce qui créait un effet de rupture déstabilisant) et tranchait avec le reste de mes "Tintin"... Mais j'avais surtout été "choqué" par le réalisme de nombreuses scènes (la guerre d'invasion des Japonais, les inondations meurtrières, et même la menace répétée de voir le cou de Tintin tranché !), sans même parler de la personnalité de Tintin, très extraverti - ces sourires, ces explosions d'émotion, cette violence dans les combats (hors champs) à mains nues...
Évidemment nombre de ces "défauts" constituent la singularité de ce "Lotus Bleu" et concourent à en faire aujourd'hui l'un des livres les plus respectés d'Hergé : bien documenté quant à la situation chinoise - Hergé ayant souhaité rompre avec la vision simpliste des civilisations "autres" qui était la sienne jusqu'alors -, mais surtout prenant fermement parti (contre les idées généralement défendues en Occident à l'époque...) des victimes chinoises du racisme européen comme de l'impérialisme nippon, "le Lotus Bleu" est clairement la première étape conduisant à la maturité d'une Bande Dessinée qui va devenir au cours des années suivantes l'une des œuvres majeures du XXème siècle. Du point de vue narration, Hergé développe pour la première fois un grand récit "policier" cohérent - même si pas exempt d'invraisemblances - et relègue l'humour à sa portion congrue (les rudes Dupontd étant à eux seuls chargés d'incarner la part grotesque de ce récit plutôt sombre, voire souvent cruel...).
Finalement, le problème qui demeure aujourd'hui avec ce "Lotus Bleu", une fois qu'on a intégré la part historique et aussi la part auto-biographique du récit (l'amitié avec Chang, qui deviendra, tout le monde le sait, le cœur du fameux "Tintin au Tibet", bien des années plus tard...), on peut quand même se sentir un peu perdus en suivant tous ces allers et retours effrénés de Tintin, qui semble passer son temps ballotté entre les nombreux personnages - bons ou méchants - de cette intrigue complexe, et faisant paradoxalement du surplace jusqu'au dénouement assez surprenant. Finalement, la vraie faiblesse du "Lotus Bleu", c'est que Hergé manque encore de savoir faire dans la construction de ses scénarios, une faiblesse qui sera rapidement corrigée dans les tomes suivants.
Les légendaires aventures de Tintin, quel délice.
Un voyage en Chine qu'Hergé nous invite à partager...J'adore.
Un de mes Tintin préférés. On y voit Tintin souvent déguisé, le suspense est présent et l'ambiance sombre fait un peu peur. Je ne mets pas 10, car il y a quelques incohérences.
Le scenario est très ambigue et cette BD est la suite des cigares du pharaon. Les dessins n'ont pas été revus, ils sont de ce fait moins réussit que la BD précédente, je la conseille tout de même, parce que je trouve cette BD très problématique et qu'on ne se lasse pas de la lire.