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L'aventure est bonne mais on pourrait faire une restauration minimale ex: mettre du texte a la machine et faire un minimum d'encrage.Comme toujours herge fait bien les chose.
1983. Nous sommes à une époque sombre où le monde devient laid : le capitalisme financier étend sa domination sur la planète et délimite les murs de notre réalité pour longtemps. Et nous baissons tous les bras. Dans ce monde-là, il n'y a plus de place pour Tintin. D'ailleurs Hergé meurt d'une horrible maladie de sang et nous laisse tous orphelins (de Tintin, pas de lui, car Hergé n'a jamais rien eu d'un père...). Fanny l'implacable, avant de prendre la seule décision honorable, qui est qu'il n'y aura jamais, elle vivante, d'autres Tintin, vacille et laisse publier cet abominable "Alph-Art", nouvelle tache sur l'Oeuvre après la pantalonnade des "Picaros".
Car "l'Alph-Art" est une horreur... D'abord il n'existe que dans les imaginations les plus perverses : qu'est-ce qu'une bande dessinée sans dessins ? Alors que "l'oeuvre", non pas inachevée (il y a des livres ou ds films inachevés passionnants) mais avortée, se réduit à quelques pauvres dialogues assemblés à la manière d'un fascicule sur une médiocre pièce de théâtre, en face de quelques gribouillis où il est impossible de trouver la moindre trace du génie d'Hergé ? Pire, ce Tintin-là, s'il était sorti, aurait été un effondrement de plus, impardonnable cette fois : l'intrigue est inepte, entre courses poursuites répétitives et poussives, intrigue policière à la noix et réapparition (nooooon !) de Rastapopoulos après une chirurgie esthétique.
Le Hergé à bout de souffle qu'on discerne derrière cette dernière tentative fait littéralement pitié : lui, le maître de la figuration narrative, s'est essayé sans succès à la peinture abstraite et, peut-être dépité, ébauche un pamphlet simpliste contre l'escroquerie de l'Art Moderne. Oui, si "l'Alph-Art" avait existé, il aurait marqué le nouveau Tintin - jeans et vélomoteur - du sceau indélébile de la médiocrité...
Alors ? Alors on peut rêver de ce qui serait peut-être arrivé si Hergé avait persévéré dans l'élaboration de son "Un jour dans un aéroport", projet conceptuel absolu qui aurait pu faire basculer - ou non - Tintin vers un vrai modernisme. On peut aussi décider d'oublier "la trahison des images", et de repartir aux sources, "Chez les Soviets". Quand tout était neuf, possible, et que la BD était encore un rempart possible conrre la laideur du monde.
Nullissime ! Peut-on appeler ça un album ? Même Hergé de son vivant n'aurait jamais sorti ce navet. Aucune histoire, dialogues nuls bref, déjà que les picaros etait l'album de trop mais celui-là fait déborder le vase ! Quelle catastrophe ! À éviter
intéressant pour les dernières pages mais le reste sans grand intérêt ne reste que les texte les pages de dessins ne sont qu'en petit un peux décevant qui ne vaut pas la version de 1986
Cet album n'a pas d'intérêt pour ceux qui se contentent de lire une BD sans regarder comment elle a été élaborée. Dessin inachevé, scénario incomplet, il faut du courage pour "lire" cet album.
Autant lire le pastiche de Rodier qui n'est pas si mal.
L'alph-art vous met l'eau à la bouche et vous abandonne rapidement en pleine installation d'intrigue. Les versions pirates complétant l'aventure (Rodier...) peuvent soulager les plus assoiffés mais respections la demande de Hergé.
Possédant l'album mythique de 1986 avec la partie dessin et la partie dialogue,mais aussi l'édition commerciale destinée au grand public, mais aussi l'édition pirate de Rodier, j'avoue avoir un regard très partial sur ce dernier album d'Hergé.
Tout d'abord, je préfère nettement l'édition de 1986 à toutes autres, tant elle rend hommage au travail du Maître: les crayonnés, en particulier ceux des premières pages, sont superbes. Les pages suivantes (je parle de l'édition de 86) sont remarquables et montrent littéralement le travail d'Hergé (aussi bien scénaristique que graphique)sur un album (le livre de Philippe Goddin "Hergé et les Bigotudos" que j'ai relu 3 fois vous démontrera le travail d'Hergé sur un album).
Bien sûr, cette dernière aventure inachevée est inégale, mal construite parfois,parfois drôle (le H rapporté par Haddock) mais elle a le mérite d'exister .
La version de 1986 permet de visualiser voire de toucher de près les planches d' Hergé tant le format choisi judicieusement,le permet.
J'ai vraiment l'impression de toucher le travail du créateur de Tintin.
Une réussite du point de vue éditorial.
La version pirate de Rodier reprend certes les premières planches d'Hergé mais cela est loin de l'égaler.
On découvre ici ce qui aurait pu être une très bonne aventure de Tintin mais qui n'a malheureusement pas pu voir le jour suite au décés d'Hergé. L'histoire semble à priori intéressant et avait tout les ingrédient des meilleurs Tintin. en effet tout est là : l'action, l'humour, les Dupondt et même l'ennemi juré de Tintin. Cet album à pour mérite de nous faire connaitre ce scénario et c'est très intéressant.
L'aventure est bonne mais on pourrait faire une restauration minimale ex: mettre du texte a la machine et faire un minimum d'encrage.Comme toujours herge fait bien les chose.
1983. Nous sommes à une époque sombre où le monde devient laid : le capitalisme financier étend sa domination sur la planète et délimite les murs de notre réalité pour longtemps. Et nous baissons tous les bras. Dans ce monde-là, il n'y a plus de place pour Tintin. D'ailleurs Hergé meurt d'une horrible maladie de sang et nous laisse tous orphelins (de Tintin, pas de lui, car Hergé n'a jamais rien eu d'un père...). Fanny l'implacable, avant de prendre la seule décision honorable, qui est qu'il n'y aura jamais, elle vivante, d'autres Tintin, vacille et laisse publier cet abominable "Alph-Art", nouvelle tache sur l'Oeuvre après la pantalonnade des "Picaros".
Car "l'Alph-Art" est une horreur... D'abord il n'existe que dans les imaginations les plus perverses : qu'est-ce qu'une bande dessinée sans dessins ? Alors que "l'oeuvre", non pas inachevée (il y a des livres ou ds films inachevés passionnants) mais avortée, se réduit à quelques pauvres dialogues assemblés à la manière d'un fascicule sur une médiocre pièce de théâtre, en face de quelques gribouillis où il est impossible de trouver la moindre trace du génie d'Hergé ? Pire, ce Tintin-là, s'il était sorti, aurait été un effondrement de plus, impardonnable cette fois : l'intrigue est inepte, entre courses poursuites répétitives et poussives, intrigue policière à la noix et réapparition (nooooon !) de Rastapopoulos après une chirurgie esthétique.
Le Hergé à bout de souffle qu'on discerne derrière cette dernière tentative fait littéralement pitié : lui, le maître de la figuration narrative, s'est essayé sans succès à la peinture abstraite et, peut-être dépité, ébauche un pamphlet simpliste contre l'escroquerie de l'Art Moderne. Oui, si "l'Alph-Art" avait existé, il aurait marqué le nouveau Tintin - jeans et vélomoteur - du sceau indélébile de la médiocrité...
Alors ? Alors on peut rêver de ce qui serait peut-être arrivé si Hergé avait persévéré dans l'élaboration de son "Un jour dans un aéroport", projet conceptuel absolu qui aurait pu faire basculer - ou non - Tintin vers un vrai modernisme. On peut aussi décider d'oublier "la trahison des images", et de repartir aux sources, "Chez les Soviets". Quand tout était neuf, possible, et que la BD était encore un rempart possible conrre la laideur du monde.
Nullissime ! Peut-on appeler ça un album ? Même Hergé de son vivant n'aurait jamais sorti ce navet. Aucune histoire, dialogues nuls bref, déjà que les picaros etait l'album de trop mais celui-là fait déborder le vase ! Quelle catastrophe ! À éviter
intéressant pour les dernières pages mais le reste sans grand intérêt ne reste que les texte les pages de dessins ne sont qu'en petit un peux décevant qui ne vaut pas la version de 1986
Cet album n'a pas d'intérêt pour ceux qui se contentent de lire une BD sans regarder comment elle a été élaborée. Dessin inachevé, scénario incomplet, il faut du courage pour "lire" cet album.
Autant lire le pastiche de Rodier qui n'est pas si mal.
L'alph-art vous met l'eau à la bouche et vous abandonne rapidement en pleine installation d'intrigue. Les versions pirates complétant l'aventure (Rodier...) peuvent soulager les plus assoiffés mais respections la demande de Hergé.
Possédant l'album mythique de 1986 avec la partie dessin et la partie dialogue,mais aussi l'édition commerciale destinée au grand public, mais aussi l'édition pirate de Rodier, j'avoue avoir un regard très partial sur ce dernier album d'Hergé.
Tout d'abord, je préfère nettement l'édition de 1986 à toutes autres, tant elle rend hommage au travail du Maître: les crayonnés, en particulier ceux des premières pages, sont superbes. Les pages suivantes (je parle de l'édition de 86) sont remarquables et montrent littéralement le travail d'Hergé (aussi bien scénaristique que graphique)sur un album (le livre de Philippe Goddin "Hergé et les Bigotudos" que j'ai relu 3 fois vous démontrera le travail d'Hergé sur un album).
Bien sûr, cette dernière aventure inachevée est inégale, mal construite parfois,parfois drôle (le H rapporté par Haddock) mais elle a le mérite d'exister .
La version de 1986 permet de visualiser voire de toucher de près les planches d' Hergé tant le format choisi judicieusement,le permet.
J'ai vraiment l'impression de toucher le travail du créateur de Tintin.
Une réussite du point de vue éditorial.
La version pirate de Rodier reprend certes les premières planches d'Hergé mais cela est loin de l'égaler.
On découvre ici ce qui aurait pu être une très bonne aventure de Tintin mais qui n'a malheureusement pas pu voir le jour suite au décés d'Hergé. L'histoire semble à priori intéressant et avait tout les ingrédient des meilleurs Tintin. en effet tout est là : l'action, l'humour, les Dupondt et même l'ennemi juré de Tintin. Cet album à pour mérite de nous faire connaitre ce scénario et c'est très intéressant.