Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
On peut dire que cette aventure marque un renouveau. Tout d'abord, l'action est omniprésente et après les deux épisodes précédents, ça fait vraiment plaisir. Ensuite le découpage des scènes est dynamique avec de superbes plans et enfin Tintin paraît moins boy scout et son trio formé avec Haddock et Tournesol est juste parfait même Milou prend des risques et est mieux mis en valeur. Le côté SF vers la fin est un peu tiré par les cheveux mais l'ensemble vaut la peine d'être lu. Un must !
Quelle incroyable album !!!
Ce Tintin est hors du commun, entre les personnages aussi admirables que détestables, cette BD mérite largement un 5/5.
Et cette ambiance mystérieuse qui donne un coté charmant à l'album.
Mon album préféré !
"Vol 714 pour Sydney", avec son beau titre conceptuel puisque constituant les parenthèses de l'histoire contée par le livre, est un "Tintin" hautement symbolique pour moi : il fut le premier à m'être contemporain. J'avais 11 ans â sa sortie, et mes parents me l"offrirent "tout neuf", avec sa tranche de couverture verte et carrée qui le distinguait de tous les autres, un peu poussiéreux et racornis, dont j'avais seulement "hérité". Et puis, il parlait d'extra-terrestres, un sujet alors gravement à la mode, tout en étant "réaliste" dans sa narration si éloignée des pérégrinations intensives de l'ex-reporter / aventurier. Bref, je l'adorais...
Le temps a été moins clément néanmoins avec "Vol 714..." qu'avec les albums antérieurs d'Hergé, peut-être parce que son inscription nette dans une époque qui me fut contemporaine l'empêcha de devenir un classique : certes, les références à Berger (le "passeur" et co-auteur du "Matin des Magiciens", que je lirai deux ans plus tard) et à Dassaut se sont perdues, mais il reste cet enracinement dans la modernité des années 60 (l'avion à géométrie variable, les armes systématiquement utilisées) et ce découpage de l'action, pour la première fois cinématographique, avec ses gros plans expressifs et ce dynamisme de la narration, qui en font un "Tintin" très différent. Aujourd'hui, les puristes regrettent la bouffonnerie générale qui désacralise des personnages essentiels de l'oeuvre, comme Tournesol - bien loin ici du scientifique génial de "Objectif Lune" - ou Rastapopoulos, qui n'est plus que la caricature de l'implacable et mystérieux génie du Mal qu'il fut : on peut supposer que ce jeu de massacre fut volontaire de la part d'un Hergé, qui vivait mal le succès concurrent d'Astérix, même si l'on peut soupçonner l'influence de ses collaborateurs des Studios...
Bref, la fin est désormais proche avec cette indéniable trivialisation du mythe, mais l'enfant que j'étais alors - et que je reste - ne résistera pas à l'énergie des dernières scènes du livre, la fuite fascinante de Tintin et ses compagnons au sein du volcan en éruption, qui font pardonner beaucoup des faiblesses qui ont précédé.
Hergé tente de faire renouer TINTIN avec le parfum de la grande aventure, mais l’ambiance n’y est plus vraiment. Les méchants sont plus grotesques que dangereux, et l’introduction de la SF en fin d’album ne m’a jamais convaincu.
Un Hergé moderne naît avec cet album, nouveau type de narration et histoire de science-fiction sont au programme. Le récit est passionnant, clair et bien construit. Le dessin est beau
Un classique de la BD.
Mais que cela a veilli. Les dessins sont "tristes", les phylactères trop grosses et les illustrations semblent comme enfermées dans des cages.
Sinon le scénario est sans surprise et l'humour est toujours présent.
Je regretterai le petite touche SF dont Hergé ne nous avait pas habitué, art qu'il ne maitrise pas vraiment.
Pour nostalgiques.
6/10.
C'est vraie que cet avant dernier Tintin est bien.
On retrouve Tintin qui à murit et son compagnon Hadock, qui se retrouvent embarqués dans une histoire ou l'on retrouve se chère Rastapapoulos sur une ile.
Se qui est intérressant dans cet album c'est la petite touche de science fiction apporté.
Un de mes préféré de la série.
Weird, weird, weird! Cet album est un des mal aimés de la série, mais je l'ai toujours apprécié... il a un côté SF qui n'est pas caractéristique d'Hergé (mis à part le dyptique de la Lune, bien sûr). La satire, dans ce livre, est très rôle...
On peut dire que cette aventure marque un renouveau. Tout d'abord, l'action est omniprésente et après les deux épisodes précédents, ça fait vraiment plaisir. Ensuite le découpage des scènes est dynamique avec de superbes plans et enfin Tintin paraît moins boy scout et son trio formé avec Haddock et Tournesol est juste parfait même Milou prend des risques et est mieux mis en valeur. Le côté SF vers la fin est un peu tiré par les cheveux mais l'ensemble vaut la peine d'être lu. Un must !
Quelle incroyable album !!!
Ce Tintin est hors du commun, entre les personnages aussi admirables que détestables, cette BD mérite largement un 5/5.
Et cette ambiance mystérieuse qui donne un coté charmant à l'album.
Mon album préféré !
"Vol 714 pour Sydney", avec son beau titre conceptuel puisque constituant les parenthèses de l'histoire contée par le livre, est un "Tintin" hautement symbolique pour moi : il fut le premier à m'être contemporain. J'avais 11 ans â sa sortie, et mes parents me l"offrirent "tout neuf", avec sa tranche de couverture verte et carrée qui le distinguait de tous les autres, un peu poussiéreux et racornis, dont j'avais seulement "hérité". Et puis, il parlait d'extra-terrestres, un sujet alors gravement à la mode, tout en étant "réaliste" dans sa narration si éloignée des pérégrinations intensives de l'ex-reporter / aventurier. Bref, je l'adorais...
Le temps a été moins clément néanmoins avec "Vol 714..." qu'avec les albums antérieurs d'Hergé, peut-être parce que son inscription nette dans une époque qui me fut contemporaine l'empêcha de devenir un classique : certes, les références à Berger (le "passeur" et co-auteur du "Matin des Magiciens", que je lirai deux ans plus tard) et à Dassaut se sont perdues, mais il reste cet enracinement dans la modernité des années 60 (l'avion à géométrie variable, les armes systématiquement utilisées) et ce découpage de l'action, pour la première fois cinématographique, avec ses gros plans expressifs et ce dynamisme de la narration, qui en font un "Tintin" très différent. Aujourd'hui, les puristes regrettent la bouffonnerie générale qui désacralise des personnages essentiels de l'oeuvre, comme Tournesol - bien loin ici du scientifique génial de "Objectif Lune" - ou Rastapopoulos, qui n'est plus que la caricature de l'implacable et mystérieux génie du Mal qu'il fut : on peut supposer que ce jeu de massacre fut volontaire de la part d'un Hergé, qui vivait mal le succès concurrent d'Astérix, même si l'on peut soupçonner l'influence de ses collaborateurs des Studios...
Bref, la fin est désormais proche avec cette indéniable trivialisation du mythe, mais l'enfant que j'étais alors - et que je reste - ne résistera pas à l'énergie des dernières scènes du livre, la fuite fascinante de Tintin et ses compagnons au sein du volcan en éruption, qui font pardonner beaucoup des faiblesses qui ont précédé.
Hergé tente de faire renouer TINTIN avec le parfum de la grande aventure, mais l’ambiance n’y est plus vraiment. Les méchants sont plus grotesques que dangereux, et l’introduction de la SF en fin d’album ne m’a jamais convaincu.
Un Hergé moderne naît avec cet album, nouveau type de narration et histoire de science-fiction sont au programme. Le récit est passionnant, clair et bien construit. Le dessin est beau
Un classique de la BD.
Mais que cela a veilli. Les dessins sont "tristes", les phylactères trop grosses et les illustrations semblent comme enfermées dans des cages.
Sinon le scénario est sans surprise et l'humour est toujours présent.
Je regretterai le petite touche SF dont Hergé ne nous avait pas habitué, art qu'il ne maitrise pas vraiment.
Pour nostalgiques.
6/10.
C'est vraie que cet avant dernier Tintin est bien.
On retrouve Tintin qui à murit et son compagnon Hadock, qui se retrouvent embarqués dans une histoire ou l'on retrouve se chère Rastapapoulos sur une ile.
Se qui est intérressant dans cet album c'est la petite touche de science fiction apporté.
Un de mes préféré de la série.
Weird, weird, weird! Cet album est un des mal aimés de la série, mais je l'ai toujours apprécié... il a un côté SF qui n'est pas caractéristique d'Hergé (mis à part le dyptique de la Lune, bien sûr). La satire, dans ce livre, est très rôle...
Mon préféré de tous les Tintin. Comme fan de science-fiction j'y ai trouvé mon compte quand j'étais enfant :-)