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L'album qui détonne parce qu'il ne ressemble pas à un Tintin.
Pas d'aventure grand large, pas de méchant véritable, mais des personnages truculents, un chateau pour théatre et une enquête tranquille.
et pourtant, c'est l'album préféré de bon nombres d'amateurs de Tintin.
Il y a la un mystère qui tient certainement au fait que les personnages sont attachants, et que le lecteur est ravi de les voir tous réunis. Il se dégage un charme et une chaleur communicative, l'assurance de passer un bon moment.
Bref, encore un chef d'oeuvre.
(mais c'est Tintin, après tout, pas)
Une comédie avec une fin toute simplette. Pas mal de personnages haut en couleurs mais une intrigue relativement décevante. Le graphisme par contre est excellent !
Le Tintin préféré si l'on s'appelle Floc'h (et moi-même certains jours, si tant est que cela puisse intéresser quelqu'un. Sauf que… que je n'ai… que je n'ai pas été foutu malgré 24 lectures et relectures de m'apercevoir que l'ineffable Boullu était la trompette de la fanfare de Moulinsart en personne et en page 29... Passe encore pour Sanzot à ses côtés, le ce que l'on sait de ce que l'on sait, mais Boullu, le marbrier, l'anti Preskovic, fil conducteur invisible de cette histoire… C'est comme oublier le DJ dans "4 mariages pour une lune de miel" sur TF1 : Impardonnable. Ou comment ne rien comprendre à l'altruisme du capitaine dans son fauteuil à roulettes, à l'intervention de cette fanfare pas aussi gratuite qu'elle n'en a l'air et à la dimension psychologique des 62 pages. Voilà quelque chose qui vous dépose un homme et vous fait douter du genre humain dont on fait partie. Ne me reste plus qu'à tout relire depuis le Crabe aux pinces d'or, L'or noir compris) et Rivière.
Un Tintin particulier mais vraiment bon !!!
Il se démarque des autres car il n'y a pas de méchants.
Et puis il y a le château de Moulinsart avec tout une panoplie de personnages de la BD !!!
Bien meilleur pour moi que Tintin au Tibet.
Cette histoire à huis-clos a toujours été ma préférée, sans raison vraiment objective. Tintin n’y est qu’un faire valoir pour accompagner le défilé au château, mais quel plaisir de redécouvrir tous ces personnages. Et aprés 40 ans de lecture, je viens seulement de penser à « écouter » les carabistouilles de notre assureur préféré avec l’accent bruxellois. J’ai honte.
Il est inutile de dire que la lecture des "Bijoux de la Castafiore" quand on a à peine dix ans et qu'on est fan absolu des incroyables aventures de Tintin à travers la planète, voire dans l'espace, s'apparente à une terrible désillusion, et que l'incompréhension est totale. Bien entendu, une fois atteint l'âge adulte, et peut-être influencé par les critiques généralement dithyrambiques sur cet album "adulte" de Hergé - le seul véritablement "expérimental" dans son œuvre -, on apprend à, sinon apprécier, du moins comprendre ce que son créateur a voulu faire ici : peindre un monde (déjà) devenu trop petit, d'où l'Aventure et le mystère ont quasiment disparu, repoussés par la trivialité des médias, de l'affairisme égoïste, et surtout du désintérêt croissant manifesté par l'être humain envers son semblable. On peut aussi lire "les Bijoux de la Castafiore" comme la matérialisation de la dépression qui fut le fardeau de Hergé durant la majeure partie de sa vie : on ne communique plus, même au sein de "sa famille", on traîne à longueur de temps une vague tristesse qui pèse de plus en plus, on tourne en rond, et le moindre objet devient un obstacle au fonctionnement minimum de la vie quotidienne, voire même un danger. Dans "les Bijoux", si on tombe, on peut - pour la première - fois se casser le pied, et être condamné à la damnation de l'immobilité, qui empêche d'échapper à ses bourreaux. Tout cela serait déjà culotté de la part d'Hergé s'il ne nous proposait en outre une approche furieusement conceptuelle de la narration, puisque l'énigme policière est désamorcée en permanence, n'advient jamais au fil de fausses pistes et de coups de théâtre misérables, jusqu'aux dernières pages, où elle sera rapidement résolue et se révélera d'une trivialité absolue. Au milieu de cette Bérézina, Tintin reste une figure exemplaire, mais ici curieusement touchante, s'accrochant à la fois à la raison et à l'intuition, mais également à une position légèrement en retrait du chaos ambiant pour survivre au milieu des embûches répétées qui menacent tous les habitants de Moulinsart (sans même parler du fait qu'il brise le quatrième mur sur la couverture, mettant ainsi en perspective les pauvres péripéties d'une vie qui, quelque part, se termine... !). Bref, les "Bijoux de Castafiore" est un remarquable OVNI, qui ne fournit certes pas beaucoup de plaisir à son lecteur, mais lui offre par contre des abimes de réflexion. Quant à la morale de cette non-histoire, personnellement, je l'adore : "les oiseaux sont des salauds !".
Le récit s’ouvre et se clôt sur une marche brisée, comme si cette aventure semblait d’emblée avoir trébuché sur les marches du grand escalier de Moulinsart. Au final, Hergé s’amuse à nous concocter un huis-clos, puisque personne ne quitte Moulinsart dans cette comédie de salon. Il n’y a pas de méchant, pas d’intrigue, pas de suspense, et finalement pas de voleur. Uniquement des quiproquos, des paroles vides de sens, des fausses pistes, des dialogues de sourd. Bref, tout le monde tourne en rond.
Sauf monsieur Boullu, le marbrier qui annonce sans cesse sa venue mais ne vient jamais. C’est l’artisan qui ne tient jamais ses promesses professionnelles. Un bruit qui court, une rumeur qui fait long feu ...
Le dernier grand TINTIN, et incontestablement l’un des meilleurs de la série.
Une aventure qui ne bouge pas, une chanteuse d'opéra invitée, des tziganes, un professeur Tournesol inventant une télé, une enquête, un érotisme haddock/Castafiore sous-jacent, des fausses pistes... Une bonne sauce pour nous embarquer, non! pour nous immobiliser dans un Château. Ce château la star de cette histoire.
L'album le plus intéressant de la série traduisant le manque de communication des personnages. Des discours perdus, des accusations vides de sens, un simple rappel à une société égoïste...
Notre Castafiore adorée amenant une musique ponctuant un récit court et bref.
Une histoire d'une grande qualité avec pleins de discours philosophiques qui vont avec. Un parcours immobile qui peut bouger nos idées... Un album d'une grande modernité.
Tintin dans une aventure à l'Agatha Christie. Loin des aventures exotiques, Hergé réalise une BD intimiste qui a comme unique lieu, le château de Moulinsart.
L'énigme aurait fait un bon roman mais n'est pas idéale pour une BD. Heureusement, l'humour est continuellement présent. Cela permet au récit de ne pas être ennuyeux.
un chef d'oeuvre dans une oeuvre qui en compte plus d'un,"ls bijoux" est le dernier grand Hergé qui annonce la bd moderne dès 1963;les trouvailles comiques se multiplient et les quiproquos ,malentendus et fausses pistes foisonnent daans une histoire qui ne raconte rien;c'etait de l'avant garde en 63;cela l'est resté :il n'y a aucun équivalent dans le monde de la bd pour "les bijoux";l'un des dix ,non de cinq albums pour l'ile deserte.
Etant enfant, j’étais très fan de Tintin et milou (j’ai lu tous les albums en couleur). Je trouvais que c’était la meilleur BD d’aventure. 20 ans plus tard, je viens de relire toute la série et il faut bien admettre que mes goûts ont changé. Je pense que c’est une série plutôt ciblée pour les enfants. Mon album préféré étant plus jeune, était les bijoux de la Castafiore ; sans doute pour le petit coté Agatha Christie. Donc je conseille vivement cette série mais pour les plus petits.
Que mettre d'autre que la note maximale pour ce petit bijou d'intrigue policière pleine de fausses pistes et d'analyse de caractères, où on ne peut s'empêcher de glousser de rire toutes les deux pages, où le dessin et les décors parfaitement maitrisés révèlent le sommet de l'art pour l'atelier Hergé.
Certes ce tome m'avait un peu déçu à sa sortie car l'enfant que j'étais n'y retrouvais pas le parfum d'épopée des autres Tintin, mais une lecture d'adulte ne peut que réévaluer cette impression au profit d'une intrigue toute en finesse leçon de tolérance où on retrouve tous les codes de Tintin.
Si certains autres Tintin sont meilleurs, il faudra inventer des notes au dessus du maximum, sinon comment noter correctement tout ce qui est sorti depuis et qui est loin d'atteindre ce niveau.
L'album qui détonne parce qu'il ne ressemble pas à un Tintin.
Pas d'aventure grand large, pas de méchant véritable, mais des personnages truculents, un chateau pour théatre et une enquête tranquille.
et pourtant, c'est l'album préféré de bon nombres d'amateurs de Tintin.
Il y a la un mystère qui tient certainement au fait que les personnages sont attachants, et que le lecteur est ravi de les voir tous réunis. Il se dégage un charme et une chaleur communicative, l'assurance de passer un bon moment.
Bref, encore un chef d'oeuvre.
(mais c'est Tintin, après tout, pas)
Une comédie avec une fin toute simplette. Pas mal de personnages haut en couleurs mais une intrigue relativement décevante. Le graphisme par contre est excellent !
Le Tintin préféré si l'on s'appelle Floc'h (et moi-même certains jours, si tant est que cela puisse intéresser quelqu'un. Sauf que… que je n'ai… que je n'ai pas été foutu malgré 24 lectures et relectures de m'apercevoir que l'ineffable Boullu était la trompette de la fanfare de Moulinsart en personne et en page 29... Passe encore pour Sanzot à ses côtés, le ce que l'on sait de ce que l'on sait, mais Boullu, le marbrier, l'anti Preskovic, fil conducteur invisible de cette histoire… C'est comme oublier le DJ dans "4 mariages pour une lune de miel" sur TF1 : Impardonnable. Ou comment ne rien comprendre à l'altruisme du capitaine dans son fauteuil à roulettes, à l'intervention de cette fanfare pas aussi gratuite qu'elle n'en a l'air et à la dimension psychologique des 62 pages. Voilà quelque chose qui vous dépose un homme et vous fait douter du genre humain dont on fait partie. Ne me reste plus qu'à tout relire depuis le Crabe aux pinces d'or, L'or noir compris) et Rivière.
Un Tintin particulier mais vraiment bon !!!
Il se démarque des autres car il n'y a pas de méchants.
Et puis il y a le château de Moulinsart avec tout une panoplie de personnages de la BD !!!
Bien meilleur pour moi que Tintin au Tibet.
Cette histoire à huis-clos a toujours été ma préférée, sans raison vraiment objective. Tintin n’y est qu’un faire valoir pour accompagner le défilé au château, mais quel plaisir de redécouvrir tous ces personnages. Et aprés 40 ans de lecture, je viens seulement de penser à « écouter » les carabistouilles de notre assureur préféré avec l’accent bruxellois. J’ai honte.
Il est inutile de dire que la lecture des "Bijoux de la Castafiore" quand on a à peine dix ans et qu'on est fan absolu des incroyables aventures de Tintin à travers la planète, voire dans l'espace, s'apparente à une terrible désillusion, et que l'incompréhension est totale. Bien entendu, une fois atteint l'âge adulte, et peut-être influencé par les critiques généralement dithyrambiques sur cet album "adulte" de Hergé - le seul véritablement "expérimental" dans son œuvre -, on apprend à, sinon apprécier, du moins comprendre ce que son créateur a voulu faire ici : peindre un monde (déjà) devenu trop petit, d'où l'Aventure et le mystère ont quasiment disparu, repoussés par la trivialité des médias, de l'affairisme égoïste, et surtout du désintérêt croissant manifesté par l'être humain envers son semblable. On peut aussi lire "les Bijoux de la Castafiore" comme la matérialisation de la dépression qui fut le fardeau de Hergé durant la majeure partie de sa vie : on ne communique plus, même au sein de "sa famille", on traîne à longueur de temps une vague tristesse qui pèse de plus en plus, on tourne en rond, et le moindre objet devient un obstacle au fonctionnement minimum de la vie quotidienne, voire même un danger. Dans "les Bijoux", si on tombe, on peut - pour la première - fois se casser le pied, et être condamné à la damnation de l'immobilité, qui empêche d'échapper à ses bourreaux. Tout cela serait déjà culotté de la part d'Hergé s'il ne nous proposait en outre une approche furieusement conceptuelle de la narration, puisque l'énigme policière est désamorcée en permanence, n'advient jamais au fil de fausses pistes et de coups de théâtre misérables, jusqu'aux dernières pages, où elle sera rapidement résolue et se révélera d'une trivialité absolue. Au milieu de cette Bérézina, Tintin reste une figure exemplaire, mais ici curieusement touchante, s'accrochant à la fois à la raison et à l'intuition, mais également à une position légèrement en retrait du chaos ambiant pour survivre au milieu des embûches répétées qui menacent tous les habitants de Moulinsart (sans même parler du fait qu'il brise le quatrième mur sur la couverture, mettant ainsi en perspective les pauvres péripéties d'une vie qui, quelque part, se termine... !). Bref, les "Bijoux de Castafiore" est un remarquable OVNI, qui ne fournit certes pas beaucoup de plaisir à son lecteur, mais lui offre par contre des abimes de réflexion. Quant à la morale de cette non-histoire, personnellement, je l'adore : "les oiseaux sont des salauds !".
Le récit s’ouvre et se clôt sur une marche brisée, comme si cette aventure semblait d’emblée avoir trébuché sur les marches du grand escalier de Moulinsart. Au final, Hergé s’amuse à nous concocter un huis-clos, puisque personne ne quitte Moulinsart dans cette comédie de salon. Il n’y a pas de méchant, pas d’intrigue, pas de suspense, et finalement pas de voleur. Uniquement des quiproquos, des paroles vides de sens, des fausses pistes, des dialogues de sourd. Bref, tout le monde tourne en rond.
Sauf monsieur Boullu, le marbrier qui annonce sans cesse sa venue mais ne vient jamais. C’est l’artisan qui ne tient jamais ses promesses professionnelles. Un bruit qui court, une rumeur qui fait long feu ...
Le dernier grand TINTIN, et incontestablement l’un des meilleurs de la série.
Un album avec de grandes idées dedans.
Une aventure qui ne bouge pas, une chanteuse d'opéra invitée, des tziganes, un professeur Tournesol inventant une télé, une enquête, un érotisme haddock/Castafiore sous-jacent, des fausses pistes... Une bonne sauce pour nous embarquer, non! pour nous immobiliser dans un Château. Ce château la star de cette histoire.
L'album le plus intéressant de la série traduisant le manque de communication des personnages. Des discours perdus, des accusations vides de sens, un simple rappel à une société égoïste...
Notre Castafiore adorée amenant une musique ponctuant un récit court et bref.
Une histoire d'une grande qualité avec pleins de discours philosophiques qui vont avec. Un parcours immobile qui peut bouger nos idées... Un album d'une grande modernité.
Bref un chef d’œuvre.
Tintin dans une aventure à l'Agatha Christie. Loin des aventures exotiques, Hergé réalise une BD intimiste qui a comme unique lieu, le château de Moulinsart.
L'énigme aurait fait un bon roman mais n'est pas idéale pour une BD. Heureusement, l'humour est continuellement présent. Cela permet au récit de ne pas être ennuyeux.
un chef d'oeuvre dans une oeuvre qui en compte plus d'un,"ls bijoux" est le dernier grand Hergé qui annonce la bd moderne dès 1963;les trouvailles comiques se multiplient et les quiproquos ,malentendus et fausses pistes foisonnent daans une histoire qui ne raconte rien;c'etait de l'avant garde en 63;cela l'est resté :il n'y a aucun équivalent dans le monde de la bd pour "les bijoux";l'un des dix ,non de cinq albums pour l'ile deserte.
Etant enfant, j’étais très fan de Tintin et milou (j’ai lu tous les albums en couleur). Je trouvais que c’était la meilleur BD d’aventure. 20 ans plus tard, je viens de relire toute la série et il faut bien admettre que mes goûts ont changé. Je pense que c’est une série plutôt ciblée pour les enfants. Mon album préféré étant plus jeune, était les bijoux de la Castafiore ; sans doute pour le petit coté Agatha Christie. Donc je conseille vivement cette série mais pour les plus petits.
Que mettre d'autre que la note maximale pour ce petit bijou d'intrigue policière pleine de fausses pistes et d'analyse de caractères, où on ne peut s'empêcher de glousser de rire toutes les deux pages, où le dessin et les décors parfaitement maitrisés révèlent le sommet de l'art pour l'atelier Hergé.
Certes ce tome m'avait un peu déçu à sa sortie car l'enfant que j'étais n'y retrouvais pas le parfum d'épopée des autres Tintin, mais une lecture d'adulte ne peut que réévaluer cette impression au profit d'une intrigue toute en finesse leçon de tolérance où on retrouve tous les codes de Tintin.
Si certains autres Tintin sont meilleurs, il faudra inventer des notes au dessus du maximum, sinon comment noter correctement tout ce qui est sorti depuis et qui est loin d'atteindre ce niveau.