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Ne reflète aucune des valeurs humanistes du personnage. L'intrigue est faible et les scènes comiques sont justes lourdes. Pas un album indispensable mais déjà les prémisces de ce que le personnage allait devenir ...
On a beaucoup parlé de cet album depuis quelques années. Ce qu'il me semble important de rappeler, c'est que l'apport de cet ouvrage n'est pas tant ce qu'il nous apprend sur l'Afrique d'alors, mais ce qu'il nous apprend sur l'esprit des Européens : sur les préjugés dont a pu se nourir un Hergé à qui il faut pardonner l'ignorance de la jeunesse, sur les sources qui étaient alors à sa disposition et perpétuaient un discours colonial, sur l'agenda de l'abbé Wallez qui a commandé l'album.
Somme toute, c'est encore une interminable suite de rebondissements invraisemblables sans véritable ligne directrice, mais on sent déjà, tant dans le dessin que dans l'essence des personnages, qu'il y a une légère amélioration par rapport aux 'Soviets'.
Comme pour les "Soviets", cet histoire fait suite à une demande impérative du patron d'Hergé au "Petit Vingtième", l'abbé Wallez. Il fallait montrer l'aspect civilisateur des Européens, en l' occurrence des belges, dans ce pays (vaste colonie Belge) peuplé de "sauvages". Et si possible, motiver un maximum de colons à s'y installer. Hergé aurait préféré envoyer Tintin chez les indiens, ce sera fait dans l'album suivant. Encore une fois, toujours se mettre dans la peau de l'auteur et dans le contexte de l'époque avant de critiquer. L'écologie n'existait pas, tous les riches "Nemrod" allaient faire des cartons en Afrique et ce encore aujourd'hui ! Et si les congolais parlent le "petit nègre", encore plus dans la première version, c'est comme cela qu'on les voyait à l'époque, ce qui d'ailleurs les fait beaucoup rire aujourd'hui, preuve qu'ils ne manquent pas d'humour ! Plus en tout cas que certains bien pensant de chez nous, l'album ayant d'ailleurs été retiré de la vente dans les années 60 (voir les 4ème plats de cet époque). Cela reste une aventure de Tintin, pas bien passionnante, au scénario pas très bien ficelé, bref, en devenir, ce qui ne tardera plus!
Au Congo, TINTIN dégomme 130 animaux sauvages, mais se montre bienveillant avec les sauvages ...
Ce n’est pas la facette du personnage que je préfère, même si enfant j’adorais voir TINTIN poursuivi par des lions, des éléphants, des buffles ou des crocodiles, et que j’aimais beaucoup le petit Coco (auquel je m’identifiais volontiers) qui secondait notre héros (moi aussi j’aurais bien aimé aider TINTIN à poursuivre les gangsters et les méchants sorciers !).
Un album "à lire absolument" néanmoins, ne serait-ce que pour se rendre compte de comment nos ancêtres européens, dans les années 30, percevaient les Africains ...
Après avoir "cassé" du soviet' Tintin joue au colon dans ce Congo belge des années 30. En mettant de côté tous ces travers, le développement de l'histoire reste dans le même moule que l'album précédent.
Cet album de Tintin est très loin d'étre le meilleur, en effet le dessin est encore très peu agréable, et l'histoire est quant à elle sans grand interrée.
Se serat sans doute un des albums que j'aime le moins car je trouve assez ennuyeux, malgrés que l'histoire se passe en Afrique, se qui aurait pu etre réussi ne l'est pas içi.
Ce fut ma première BD je crois,à l'époque j'aimait beaucoup cette épisode,mais en fait c'est surement un des moins bons, l'esprit colonialiste est guere plaisant et l'histoire n'est pas non plus extraordinaire.
Tous les albums de Tintin sont à lire, mais force est d'admettre que Tintin au Congo ne figure pas au sommet de la hiérarchie: l'intrigue est moins complexe et fouillée que celle des chapitres ultérieurs, et les personnages sont typés avec plus ou moins de bonheur.
Certain note un changement notable entre les soviets et le congo, évidement puisqu'il y a environ 20 ans entre les deux réalisations.
En effet si l'on reprend l'historique de hèrgé, on s'aperçoit que l'auteur à refait tout ses albums en noir et blanc( jusqu'au crabe je crois) pour des raisons d'éditions, et pour les remettre au gout du jour.
Il est difficile de juger un album d'hergé à part, car les aventures du héros s'étendent sur 50 ans, et que les mentalités ont bien évoluées depuis 1929 !
J'ai put lire que certains trouvent les soviets nul, mais en 29, il à eu son petit succés, d'autres trouvent que le congo à un humour bébé, mais, à l'époque la bd n'était déstinée qu'aux enfants !!!
Je ne vais pas refaire l'historique de tintin ici, mais pour éxemple, je reprends le congo, qui de nos jours, montre quelques allusions rascistes, mais, en 1930, époque du colonialisme, cela était normal.
Voilà,donc, les 1er albums d'hergé s'adressent principalement aux enfants, et aux fanatiques du génialissime hergé.
Tintin au congo est une bonne bande dessinée, et la différence entre au pays des soviets et au congo est incontestable.
Ce que l'on peut regretter tout de même c'est la facilité de Tintin à venir à bout de ses adversaires, ou l'humour bébé de certain passages... (le serpent à pattes).
Ne reflète aucune des valeurs humanistes du personnage. L'intrigue est faible et les scènes comiques sont justes lourdes. Pas un album indispensable mais déjà les prémisces de ce que le personnage allait devenir ...
On a beaucoup parlé de cet album depuis quelques années. Ce qu'il me semble important de rappeler, c'est que l'apport de cet ouvrage n'est pas tant ce qu'il nous apprend sur l'Afrique d'alors, mais ce qu'il nous apprend sur l'esprit des Européens : sur les préjugés dont a pu se nourir un Hergé à qui il faut pardonner l'ignorance de la jeunesse, sur les sources qui étaient alors à sa disposition et perpétuaient un discours colonial, sur l'agenda de l'abbé Wallez qui a commandé l'album.
Somme toute, c'est encore une interminable suite de rebondissements invraisemblables sans véritable ligne directrice, mais on sent déjà, tant dans le dessin que dans l'essence des personnages, qu'il y a une légère amélioration par rapport aux 'Soviets'.
Comme pour les "Soviets", cet histoire fait suite à une demande impérative du patron d'Hergé au "Petit Vingtième", l'abbé Wallez. Il fallait montrer l'aspect civilisateur des Européens, en l' occurrence des belges, dans ce pays (vaste colonie Belge) peuplé de "sauvages". Et si possible, motiver un maximum de colons à s'y installer. Hergé aurait préféré envoyer Tintin chez les indiens, ce sera fait dans l'album suivant. Encore une fois, toujours se mettre dans la peau de l'auteur et dans le contexte de l'époque avant de critiquer. L'écologie n'existait pas, tous les riches "Nemrod" allaient faire des cartons en Afrique et ce encore aujourd'hui ! Et si les congolais parlent le "petit nègre", encore plus dans la première version, c'est comme cela qu'on les voyait à l'époque, ce qui d'ailleurs les fait beaucoup rire aujourd'hui, preuve qu'ils ne manquent pas d'humour ! Plus en tout cas que certains bien pensant de chez nous, l'album ayant d'ailleurs été retiré de la vente dans les années 60 (voir les 4ème plats de cet époque). Cela reste une aventure de Tintin, pas bien passionnante, au scénario pas très bien ficelé, bref, en devenir, ce qui ne tardera plus!
Au Congo, TINTIN dégomme 130 animaux sauvages, mais se montre bienveillant avec les sauvages ...
Ce n’est pas la facette du personnage que je préfère, même si enfant j’adorais voir TINTIN poursuivi par des lions, des éléphants, des buffles ou des crocodiles, et que j’aimais beaucoup le petit Coco (auquel je m’identifiais volontiers) qui secondait notre héros (moi aussi j’aurais bien aimé aider TINTIN à poursuivre les gangsters et les méchants sorciers !).
Un album "à lire absolument" néanmoins, ne serait-ce que pour se rendre compte de comment nos ancêtres européens, dans les années 30, percevaient les Africains ...
Après avoir "cassé" du soviet' Tintin joue au colon dans ce Congo belge des années 30. En mettant de côté tous ces travers, le développement de l'histoire reste dans le même moule que l'album précédent.
Un peu de couleurs, une histoire améliorée par rapport au premier album, c'est mieux mais cela reste les débuts des aventures légendaires de Tintin.
Cet album de Tintin est très loin d'étre le meilleur, en effet le dessin est encore très peu agréable, et l'histoire est quant à elle sans grand interrée.
Se serat sans doute un des albums que j'aime le moins car je trouve assez ennuyeux, malgrés que l'histoire se passe en Afrique, se qui aurait pu etre réussi ne l'est pas içi.
Ce fut ma première BD je crois,à l'époque j'aimait beaucoup cette épisode,mais en fait c'est surement un des moins bons, l'esprit colonialiste est guere plaisant et l'histoire n'est pas non plus extraordinaire.
Tous les albums de Tintin sont à lire, mais force est d'admettre que Tintin au Congo ne figure pas au sommet de la hiérarchie: l'intrigue est moins complexe et fouillée que celle des chapitres ultérieurs, et les personnages sont typés avec plus ou moins de bonheur.
Certain note un changement notable entre les soviets et le congo, évidement puisqu'il y a environ 20 ans entre les deux réalisations.
En effet si l'on reprend l'historique de hèrgé, on s'aperçoit que l'auteur à refait tout ses albums en noir et blanc( jusqu'au crabe je crois) pour des raisons d'éditions, et pour les remettre au gout du jour.
Il est difficile de juger un album d'hergé à part, car les aventures du héros s'étendent sur 50 ans, et que les mentalités ont bien évoluées depuis 1929 !
J'ai put lire que certains trouvent les soviets nul, mais en 29, il à eu son petit succés, d'autres trouvent que le congo à un humour bébé, mais, à l'époque la bd n'était déstinée qu'aux enfants !!!
Je ne vais pas refaire l'historique de tintin ici, mais pour éxemple, je reprends le congo, qui de nos jours, montre quelques allusions rascistes, mais, en 1930, époque du colonialisme, cela était normal.
Voilà,donc, les 1er albums d'hergé s'adressent principalement aux enfants, et aux fanatiques du génialissime hergé.
Tintin au congo est une bonne bande dessinée, et la différence entre au pays des soviets et au congo est incontestable.
Ce que l'on peut regretter tout de même c'est la facilité de Tintin à venir à bout de ses adversaires, ou l'humour bébé de certain passages... (le serpent à pattes).