Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Superbe. On entre de plein pied dans le fantastique. Une étrange momie qui endort des scientifiques ayant trouvé un trésor archéologique Inca, un manoir où il se passe des phénomènes curieux et le trio Tintin-Haddock-Tournesol simplement parfait. Une vraie alchimie. Pour moi, c'est le meilleur de tous les albums !
Rarement, voire jamais dans l'histoire de la bande-dessinée franco-belge un album dont l'objectif est d'installer un décor plutôt que d'aboutir sur une chute, n'aura été si bien réussi. Le jeu des personnages est absolument superbe : d'un Tintin plus mature à un Haddock en transition en passant par un Tournesol à la personnalité mieux définie, sans parler de Nestor et des autres personnages. Il y a dans cet album une certaine revanche d'Hergé face à ses faiblesses des débuts, car les thèmes de l'archéologie et des malédictions, si maladroitement abordées dans 'Les cigares du pharaon', peuvent enfin être pleinement exploités. Revanche parfaite s'il en est une car il s'agit sans doute du meilleur album de la série sur le plan narratif.
Première partie d'un des trois diptyques majeurs de Tintin. Les membres d'une expédition ethnographique se retrouvent plongés les uns après les autres dans un étrange état léthargique tendis que le professeur Tournesol est enlevé ! Un album très maîtrisé d'Hergé qui mêle aventure, exotisme, mystère et humour avec brio !
Lorsque l'on me demande de citer mon "Tintin" préféré, c'est la plupart du temps "les 7 Boules de Cristal" qui me vient à l'esprit. Pourquoi ? Pas facile de discerner pourquoi ce 13ème album des aventures du petit reporter (qui ne l'était plus, visiblement) me marqua autant à l'époque : ou plutôt si, il y a une raison évidente, qui s'appelle Rascar Capac, momie cauchemardesque qui déclencha, alors que je devais avoir moins de dix ans, ma future passion pour le fantastique. Pour le reste, une re-lecture récente de cet album oscillant entre thriller dépressif en avance sur son temps (la malédiction à laquelle il est impossible d'échapper, quoi qu'on fasse) et accumulation de gags spectaculaires (tournant pour la plupart autour du statut de nouveau riche du Capitaine Haddock, qui endosse ici les habits mal seyants d'un châtelain un tantinet prétentieux) en montre les limites : si sa construction fait écho à celle du "Secret de la Licorne", avec l'ouverture finale qui arrive comme un grand bol d'air frais vers l'aventure, le grand large, on ressent la "perte d'innocence" de Hergé. Alors que la guerre, toujours totalement hors champ chez Tintin, touche à sa fin, que les dernières batailles font rage entre Nazis et Alliés, puis que survient la Libération de la Belgique, Hergé doit faire face aux conséquences de son choix de travailler au "Soir", journal volé à ses propriétaires et symbole de la collaboration : "les 7 Boules de Cristal" sera interrompu pendant 2 ans, avant que Hergé ne le reprenne une fois lavé des accusations qu'il affrontait, mais on imagine bien que l'ambiance autour de sa création n'était pas des plus favorables. Il faut toutefois souligner que Hergé se sera appuyé pour cet album sur l'imagination littéraire de son ami Van Melkebeke, sans doute responsable du "sérieux" de l'énigme policière très réussie, et sur le talent éblouissant de Jacobs, qui était en train de devenir le génie de la BD qu'on connaît. Mais, en tout cas, on se rend compte aujourd'hui combien l'impact des "7 Boules de Cristal" va être rétrospectivement multiplié par le "Temple du Soleil" qui nous ramènera le Tintin aventurier que l'on préfère.
Un album à l’ambiance à nulle autre pareille, baigné d’occulte et de surnaturel, où le suspense est difficilement soutenable. Le climat de la nuit passée dans la villa du professeur Bergamotte atteint des sommets d’angoisse. Et l’apparition fantomatique de Rascar Capac dans la chambre de TINTIN est réellement terrifiante. Elle m’a tellement marqué, qu’enfant, j’en ai fait plusieurs fois des cauchemars! Indéniablement l’une des scènes les plus fortes et les plus marquantes de toute la série. Un très grand TINTIN au parfum de film d’horreur.
un album baigné de mystere baignant dans la magie (le théatre) et culminant dans la scene des cauchemars ,jamais surpassée dans le domaine onirique ;
Hergé montra dès "les cigares du pharaon" qu'il n'avait pas de rival ;ses imitateurs furent légion;citons en deux :Graton pour "le 13 est au départ "et Martin pour "le dernier spartiate"
Un des albums de Tintin les plus bizarres et effrayants qui soient (quand Tintin rêve de Rascar Capac... j'en ai fait des cauchemars!). Et quelle introduction magistrale! Un chef-d'oeuvre.
Cet album est au Temple du Soleil (sa suite) ce que Le Secret de la Licorne est au Trésor de Rakham le Rouge (autre dyptique célèbre): dans les deux cas, le premier chapitre est plus modeste et intimiste, mais encore plus puissant et génial que le deuxième.
Superbe. On entre de plein pied dans le fantastique. Une étrange momie qui endort des scientifiques ayant trouvé un trésor archéologique Inca, un manoir où il se passe des phénomènes curieux et le trio Tintin-Haddock-Tournesol simplement parfait. Une vraie alchimie. Pour moi, c'est le meilleur de tous les albums !
Rarement, voire jamais dans l'histoire de la bande-dessinée franco-belge un album dont l'objectif est d'installer un décor plutôt que d'aboutir sur une chute, n'aura été si bien réussi. Le jeu des personnages est absolument superbe : d'un Tintin plus mature à un Haddock en transition en passant par un Tournesol à la personnalité mieux définie, sans parler de Nestor et des autres personnages. Il y a dans cet album une certaine revanche d'Hergé face à ses faiblesses des débuts, car les thèmes de l'archéologie et des malédictions, si maladroitement abordées dans 'Les cigares du pharaon', peuvent enfin être pleinement exploités. Revanche parfaite s'il en est une car il s'agit sans doute du meilleur album de la série sur le plan narratif.
Première partie d'un des trois diptyques majeurs de Tintin. Les membres d'une expédition ethnographique se retrouvent plongés les uns après les autres dans un étrange état léthargique tendis que le professeur Tournesol est enlevé ! Un album très maîtrisé d'Hergé qui mêle aventure, exotisme, mystère et humour avec brio !
Lorsque l'on me demande de citer mon "Tintin" préféré, c'est la plupart du temps "les 7 Boules de Cristal" qui me vient à l'esprit. Pourquoi ? Pas facile de discerner pourquoi ce 13ème album des aventures du petit reporter (qui ne l'était plus, visiblement) me marqua autant à l'époque : ou plutôt si, il y a une raison évidente, qui s'appelle Rascar Capac, momie cauchemardesque qui déclencha, alors que je devais avoir moins de dix ans, ma future passion pour le fantastique. Pour le reste, une re-lecture récente de cet album oscillant entre thriller dépressif en avance sur son temps (la malédiction à laquelle il est impossible d'échapper, quoi qu'on fasse) et accumulation de gags spectaculaires (tournant pour la plupart autour du statut de nouveau riche du Capitaine Haddock, qui endosse ici les habits mal seyants d'un châtelain un tantinet prétentieux) en montre les limites : si sa construction fait écho à celle du "Secret de la Licorne", avec l'ouverture finale qui arrive comme un grand bol d'air frais vers l'aventure, le grand large, on ressent la "perte d'innocence" de Hergé. Alors que la guerre, toujours totalement hors champ chez Tintin, touche à sa fin, que les dernières batailles font rage entre Nazis et Alliés, puis que survient la Libération de la Belgique, Hergé doit faire face aux conséquences de son choix de travailler au "Soir", journal volé à ses propriétaires et symbole de la collaboration : "les 7 Boules de Cristal" sera interrompu pendant 2 ans, avant que Hergé ne le reprenne une fois lavé des accusations qu'il affrontait, mais on imagine bien que l'ambiance autour de sa création n'était pas des plus favorables. Il faut toutefois souligner que Hergé se sera appuyé pour cet album sur l'imagination littéraire de son ami Van Melkebeke, sans doute responsable du "sérieux" de l'énigme policière très réussie, et sur le talent éblouissant de Jacobs, qui était en train de devenir le génie de la BD qu'on connaît. Mais, en tout cas, on se rend compte aujourd'hui combien l'impact des "7 Boules de Cristal" va être rétrospectivement multiplié par le "Temple du Soleil" qui nous ramènera le Tintin aventurier que l'on préfère.
Un album à l’ambiance à nulle autre pareille, baigné d’occulte et de surnaturel, où le suspense est difficilement soutenable. Le climat de la nuit passée dans la villa du professeur Bergamotte atteint des sommets d’angoisse. Et l’apparition fantomatique de Rascar Capac dans la chambre de TINTIN est réellement terrifiante. Elle m’a tellement marqué, qu’enfant, j’en ai fait plusieurs fois des cauchemars! Indéniablement l’une des scènes les plus fortes et les plus marquantes de toute la série. Un très grand TINTIN au parfum de film d’horreur.
un album baigné de mystere baignant dans la magie (le théatre) et culminant dans la scene des cauchemars ,jamais surpassée dans le domaine onirique ;
Hergé montra dès "les cigares du pharaon" qu'il n'avait pas de rival ;ses imitateurs furent légion;citons en deux :Graton pour "le 13 est au départ "et Martin pour "le dernier spartiate"
Le meilleur d'Hergé ? sans doute ! Rascar-Capac fait peur, on voyage beaucoup (surtout les Dupond/t), un Haddock toujours aussi râleur...
Un des albums de Tintin les plus bizarres et effrayants qui soient (quand Tintin rêve de Rascar Capac... j'en ai fait des cauchemars!). Et quelle introduction magistrale! Un chef-d'oeuvre.
Cet album est au Temple du Soleil (sa suite) ce que Le Secret de la Licorne est au Trésor de Rakham le Rouge (autre dyptique célèbre): dans les deux cas, le premier chapitre est plus modeste et intimiste, mais encore plus puissant et génial que le deuxième.
Tout est dans la notation, tout simplement génial !