Thorgal
40. Tupilaks
Une BD de Yann et Vignaux, Fred chez Le Lombard - 2022
11/2022 (10 novembre 2022) 46 pages 9782808203470 Format normal 457535
De retour dans le vaisseau de ses origines, Thorgal doit affronter Néokora, une intelligence artificielle déterminée à restaurer le règne atlante...
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
BOBD -
HS1 -
HS2 -
HS3 -
INT -
INT TT -
INT TT -
INT1 N&B -
INT2 N&B -
INT3 N&B -
INT4 N&B -
INT5 N&B -
Roman1 -
Roman2
Il semble que mon avis diffère de la majorité mais pour moi cet album est très enthousiasmant. C'est le retour à un imaginaire croisant SF et mythologie comme les 13 premiers tomes l'avait construit. Le rythme, les dessins et l'univers me renvoient aux sources de la série.
Bravo à la team qui a repris les rennes dans la veine originale après la période commerciale qui a causé les tortueux Mondes inutiles parallèles.
Quelle purge ! Ne vaut que pour le dessin de Fred Vignaud.
Probablement mon dernier Thorgal.
Un sénario peu lisible, trop science fiction, sans ligne directrice.
Juste une porte nouvelle avec une nouvelle héroïne Boréale.
Peut-être une piste pour relancer la série? ?
Après le final désastreux au tome 36 "Aniel" du long périple s'étalant sur les 8-9 tomes précédants, cette série mythique n'en finit pas de toucher le fond.
Ce tome tente de renouer avec l'histoire de Thorgal, mais le scénario manque de souffle, son développement narratif est fait à la hache, et sa mise en diaglogues est lourdingue. Triste. Pour moi c'est la fin...
L'album le plus SF de Thorgal !
On suit l'histoire, même s'il y a des longueurs et des lourdeurs.
Encore très déçu par la place / le rôle de Kriss dans cette aventure...
suite du tome 39 je crois qu'on touche le fond, un diptyque ennuyeux et qui sert à rien, au mieux a engraisser l'éditeur. dommage j'avais un peu d'espoir après le tome 38 que j'avais trouvé plutôt sympa, et crac Yann a réussit a creuser pour faire encore plus tarte que les derniers albums dessinés par Rosinski
Pourtant je suis un immense fan de Thorgal et des séries du monde de Thorgal, mais cet album est poussif avec un scénario lourd. J'ai lu en diagonale les dernières pages tellement j'étais déçu. Ce cycle commencé avec Neokora est à oublier. Yann est un excellent scénariste mais là il s'est fourvoyé.
A un moment, faut arrêter. Non pas que cet album soit mauvais, le dessin est vraiment bien, mais la lassitude des ces loooooongues séries est inévitable. Sûrement mon dernier Thorgal si jamais il y en avait d'autres à venir.
Je dois avouer que le premier volume de ce diptyque m'avait vraiment enthousiasmé. Avec ce présent volume, l'intérêt pour cette série vient de retomber.
En effet, en voulant trop faire références aux précédents et premiers albums de Thorgal "l'île des mers gelées" et "l'enfant des étoiles", Yann finit par perdre le lecteur que je suis.
Bref, à vouloir trop recouper avec les aventures précédentes, Yann finit par embrouiller le lecteur.
J'ai trouvé cet album trop tourné vers la science fiction, presque trop proche de "2001,'odyssée de l'espace" avec Neokora.
Un album, à mon avis trop bavard,qui a fini par me lasser, à tel point que j'ai eu du mal à le finir.
Par contre, il faut souligner le travail de Fred Vignaux, qui dans son dessin, s'approche de plus en plus de celui de Rosinski.
Un avis donc très mitigé sur cet album.
Thorgal est le héros que l'on ne présente plus. A noter qu'il n'a toujours pas été adapté au cinéma ou en série comme maintes fois annoncé.
On est toujours dans le cycle des nouveaux horizons commencé au tome 37 après que Thorgal ait pu sauver son fils machiavélique Aniel à Bagdad.
Ce présent tome fait suite au gros clifhanger du précédent où Thorgal fait face à son ascendance extra-terrestre et doit combattre une intelligence artificielle atlante : rien que cela ! On replonge d'ailleurs dans les racines de la série où l'on retrouve celle qui ne meurt jamais à savoir Slive.
On remarquera que le dessin de Fred Vignaux se rapproche singulièrement de celui de Rosinski. Bref, toujours ce retour aux origines pour mieux garder le lecteur après 40 tomes. Certains ont décroché sur une série devenu trop longue et qui ne parvient pas à renouer avec le prestige de l'époque du pays de Qâ.
D'autres comme moi s'accrochent aux branches pour voir comment la nouvelle génération se débrouille et je dois bien avouer que ce n'est pas trop mal dans l'ensemble.
La moralité de ce récit est que quand un peuple confie sa destinée à des machines évoluées, il se condamne lui-même inéluctablement. Il faut accepter de vivre en acceptant de subir les caprices de la nature comme par exemple les catastrophes naturelles ou les épidémies. Mais bon, on place dans l'intelligence artificielle les moyens d'assurer notre survie. Pas certain que ce soit le bon choix.
Bref, une aventure de Thorgal qui se place clairement dans le domaine de la science-fiction même si des tupilaks interviendront pour rétablir l'équilibre des forces. Il y a toujours une part de magie et de légendes.