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Aux Mirabelles, comme dans d’autres cités, les clients viennent chercher de quoi assouvir leur besoin de « s’évader » dans des paradis pour le moins artificiels.
Un intrus s’est glissé dans la cité. Il est venu pour vendre de l’héroïne. Voilà qui ne plaît pas à Patrick, Pap, Momo et Rachid. C’est leur territoire. Pas question qu’un malavisé vienne marcher sur leurs plates-bandes ! Patrick, le plus nerveux du quatuor, a sorti son flingue et compte-bien s’en servir pour faire gicler la bouse qui sert de cervelle à l’imprudent punk qui n’a pas forcément compris qu’en matière de daube l’économie n’est pas très libérale…
Critique :
Le scénario de Pierre Boisserie et Frédéric Ploquin nous plonge au cœur d’une cité et de l’action pour découvrir comment quatre « jeunes de banlieue » vers la fin des années ’80 vont gravir les échelons du banditisme, notamment avec l’aide d’un avocat issu du même milieu qu’eux. Pierre Boisserie a délaissé la kinésithérapie pour se consacrer entièrement à l’écriture. Frédéric Ploquin est un journaliste d’investigation spécialisé dans le grand banditisme. Son expérience professionnelle apporte une touche de crédibilité au scénario qui est dur et sans concessions… Et très prenant !
Luc Brahy, le dessinateur, offre un dessin qui convient très bien à une série aussi noire. Il découpe ses planches comme autant de séquences cinématographiques. La cité des Mirabelles est moche. Très moche ! Le dessin de Luc Brahy la sublime.
N’oublions pas la mise en couleurs de Bérangère Marquebreucq qui achève de rendre très addictive cette plongée dans le monde de la petite délinquance qui ne demande qu’à croître et « embellir »…
1987. Banlieue parisienne. Cité les Mirabelles.
Aux Mirabelles, comme dans d’autres cités, les clients viennent chercher de quoi assouvir leur besoin de « s’évader » dans des paradis pour le moins artificiels.
Un intrus s’est glissé dans la cité. Il est venu pour vendre de l’héroïne. Voilà qui ne plaît pas à Patrick, Pap, Momo et Rachid. C’est leur territoire. Pas question qu’un malavisé vienne marcher sur leurs plates-bandes ! Patrick, le plus nerveux du quatuor, a sorti son flingue et compte-bien s’en servir pour faire gicler la bouse qui sert de cervelle à l’imprudent punk qui n’a pas forcément compris qu’en matière de daube l’économie n’est pas très libérale…
Critique :
Le scénario de Pierre Boisserie et Frédéric Ploquin nous plonge au cœur d’une cité et de l’action pour découvrir comment quatre « jeunes de banlieue » vers la fin des années ’80 vont gravir les échelons du banditisme, notamment avec l’aide d’un avocat issu du même milieu qu’eux. Pierre Boisserie a délaissé la kinésithérapie pour se consacrer entièrement à l’écriture. Frédéric Ploquin est un journaliste d’investigation spécialisé dans le grand banditisme. Son expérience professionnelle apporte une touche de crédibilité au scénario qui est dur et sans concessions… Et très prenant !
Luc Brahy, le dessinateur, offre un dessin qui convient très bien à une série aussi noire. Il découpe ses planches comme autant de séquences cinématographiques. La cité des Mirabelles est moche. Très moche ! Le dessin de Luc Brahy la sublime.
N’oublions pas la mise en couleurs de Bérangère Marquebreucq qui achève de rendre très addictive cette plongée dans le monde de la petite délinquance qui ne demande qu’à croître et « embellir »…