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Oufti ! Quel livre étrange ! Une bande dessinée ? Heu… Un livre d’art ? Sûrement ! Que d’étrangetés dans ce récit :
- 3 actes, comme un opéra ou une pièce de théâtre ;
- pas une bulle ! Les protagonistes sont muets comme au temps du cinéma du même nom ;
- la technique employée : pochoir !
- des personnages qui reviennent sans arrêt dans l’histoire alors qu’on ne s’y attend pas ;
- les enchaînements pareils à ceux des séries télévisées récentes (un personnage tend une liasse de billets à un autre et on enchaîne avec une liasse de billets ailleurs avec un autre individu).
Vous l’aurez compris, cette BD ne correspond à aucune autre ni par son style graphique, ni par sa façon de raconter une histoire car elle demande à celui qui la lit un gros effort d’interprétation. C’est une dénonciation d’un système, le capitalisme, mais sans vous le dire ! Vous êtes lecteur, c’est à vous de le deviner. Peut-on comprendre cette histoire sans un minimum de culture politique ? Non ! Je ne le crois pas. Si on n’est pas attentif à certains signes, on ne saisit pas nécessairement la critique d’une société, urbaine dans ce cas-ci.
En gros, l’histoire raconte ;
- le meurtre de prostituées… Par qui ? Réponse à la fin !
- la corruption de la police qui rackette un dealer ;
- une mère qui se la joue stripteaseuse pour élever son enfant ;
- un couple black-blanche, où le black se fait agresser déclenchant des tas de manifestations de protestation ;
- un hacker qui joue un bien mauvais tour à un sale mec qui a bien magouillé pour se faire du fric ;
- un charmant jeune homme qui donne de l’argent à un mendiant et qui se rend régulièrement à l’hôpital pour rendre visite à quelqu’un qui visiblement lui tient à cœur mais est fort mal en point ;
- …
L’auteur vous laissera pantois avec la fin de l’histoire, une histoire qui atomisera vos neurones !
On ne peut qu’admirer le côté visionnaire de Peter Kuper puisque l’histoire est parue en 1996… Ou alors, c’est que ce que nous croyons être les problèmes actuels des USA sont en réalité déjà là depuis longtemps !
Je ne sais pas du tout comment évaluer cette histoire tant elle est peu orthodoxe. Il y a du génie, c’est clair, mais en même temps, je ne peux pas la classer dans les BD qui m’auront le plus marqué.
Oufti ! Quel livre étrange ! Une bande dessinée ? Heu… Un livre d’art ? Sûrement ! Que d’étrangetés dans ce récit :
- 3 actes, comme un opéra ou une pièce de théâtre ;
- pas une bulle ! Les protagonistes sont muets comme au temps du cinéma du même nom ;
- la technique employée : pochoir !
- des personnages qui reviennent sans arrêt dans l’histoire alors qu’on ne s’y attend pas ;
- les enchaînements pareils à ceux des séries télévisées récentes (un personnage tend une liasse de billets à un autre et on enchaîne avec une liasse de billets ailleurs avec un autre individu).
Vous l’aurez compris, cette BD ne correspond à aucune autre ni par son style graphique, ni par sa façon de raconter une histoire car elle demande à celui qui la lit un gros effort d’interprétation. C’est une dénonciation d’un système, le capitalisme, mais sans vous le dire ! Vous êtes lecteur, c’est à vous de le deviner. Peut-on comprendre cette histoire sans un minimum de culture politique ? Non ! Je ne le crois pas. Si on n’est pas attentif à certains signes, on ne saisit pas nécessairement la critique d’une société, urbaine dans ce cas-ci.
En gros, l’histoire raconte ;
- le meurtre de prostituées… Par qui ? Réponse à la fin !
- la corruption de la police qui rackette un dealer ;
- une mère qui se la joue stripteaseuse pour élever son enfant ;
- un couple black-blanche, où le black se fait agresser déclenchant des tas de manifestations de protestation ;
- un hacker qui joue un bien mauvais tour à un sale mec qui a bien magouillé pour se faire du fric ;
- un charmant jeune homme qui donne de l’argent à un mendiant et qui se rend régulièrement à l’hôpital pour rendre visite à quelqu’un qui visiblement lui tient à cœur mais est fort mal en point ;
- …
L’auteur vous laissera pantois avec la fin de l’histoire, une histoire qui atomisera vos neurones !
On ne peut qu’admirer le côté visionnaire de Peter Kuper puisque l’histoire est parue en 1996… Ou alors, c’est que ce que nous croyons être les problèmes actuels des USA sont en réalité déjà là depuis longtemps !
Je ne sais pas du tout comment évaluer cette histoire tant elle est peu orthodoxe. Il y a du génie, c’est clair, mais en même temps, je ne peux pas la classer dans les BD qui m’auront le plus marqué.