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RE-SUITE donc jubilatoire dans certain passages et là on reconnait la pate Alan mais les 80% des 300 et des bananes de pages, ils nous infliges les coneris de marvel, en plus sans action, et en claire Supreme n'est qu'un superman du 20eme siècle et rien de plus ( en plus j'ais une profonde inversion pour ce musclore en colant, cela n'arrenge pas les choses), en claire alan moore a manqué le coche, car metre un couillion en collan dessiné de façon "new age" malheureusemant cela ne fonctione pas, et alan voulant faire de la vulgarisation a crée un sénario pauvre et chiant ...
Les seul passages dalinesque nous restes le debut ou Supreme se retrouve dans un monde qui est "défasé" (si vous lisés Supreme vous me comprendrez...) et se re-retrouve dans un monde ou cohécxxxssiste tous les suprémes, du premier aux version les plus loufoques (supreme mickeyyy est un exemple) ou c'est le retour en abime, ou alan dit cléremant que Supreme n'est qu'un personnage de comicx, et se monde qu'il cotoie au debut n'est parsemé que de version oublié par les créateures, donc la alan moore ne croit pas en ses personnages, il ne s'investit qu'a récrée ses souvenirs de jeunesses ( je me répétes, j'en suis conscent malheur a moi...FUCK...)La fin est relativement non attendus donc on est "contant", mais au final très déçu, de surcroît si on a déjà lu ses œuvres… Par dépit, vous pouvez le lire, si vous ne connaissez pas cette adepte de RAEL mélangé de Franc-maçonne, mais moi allez Hop, je retourne chez les « WATCHMEN » et « TOP TEN »
Sur ceux bonsoir ou bonjour… ;-p
SUITE la préface est explisite: Suprema devient tellemant énervante avec sont moralisme a cafée... (je resume, je ne suis pas une putain de photocopieuse non plus) La est le bas blesse, Moore essaye de refaire vivre ses comixxxx, ses souvenirs d'entemps poussièreux, les comicxxx des années 5o avec ses couleurs criarrrrdes et moches au possibles, se papier granuleu au possible qui pue et exalte nos narines de cette odeur ancsienne plein de nostalgie...Ha que de réves... Etant bouffé par sa nostalgie d'enfant, et regardent les merdes que Marvel et machin nous donnes depuis quelques temps(?!!!!), nous sommes tous enclin a comprendre ses intemtions les plus bibliques...
Mais sont moralisme case pied et sont gout du vieu comicxxx se retour contre lui comme dans le book avec "emerpus" la version inverse de supreme qui délivre les méchants pour qu'ils rajeunises et redeviennes bon, dans notres dimantion, il résulte des catastrophes... Alan est ce meme personnage car il montre des heros, beaux, musclés, moralisateur et bravant les intempéris (comme la poste) pour sauvée les jeunes filles blondes apeurés du supère vilain... La sauce ne prend plus, car toutes les productions a l'heure acctuel use et abuse de cette image( meme si le siécle l'oblige ils deviennes plus trash) mais avec le fou anglais sa passe encore moin car il mélange satir dans les passages "old school" qui sont déléctable et on reconnais sont panachhh, avec la vision de la femme castratrise des années 50 qui rend Supréme en Supreme de banlieu qui astique la supere voiture car les voisains doivent etres imprésionnés ( totalemant en phaze avec l'époque des 30 glorieuses, consomations de masses, supermarcher EX...)
Encore une foi le "wild" alan moore qui veut maintenant se consacré a étre un gourou d'une secte ( le comixxx ne raporte plus il faut croire... malheur la stupidité et le facile (c'est deja fait) nous gétes...) Le gamin des bas cartié de londre a encore frapper, tel un Tim Burton fou quoi que plus politique, fraper aux fer rouges par les monstruosités humaines de sont vécus ou vécus résiduéls ( Nazisme qu'il nous balences a toutes les sauces, mais dans Tom strong cela deviens énérvant (lire ma critique sur le sujet) et bien sur la geurre froide et sont cortége de cadavres...) Donc on a afaire a un homme profondémant écorché par sont siècle, visions paranoiiiaques de ses images cruéls, morbides mais pourtant réel, relativemant peut exploité par les europeins, car notre peuple oublie bien vite ses meurtres passés, Moore se rapproche plus des vieux cacochines mangakkka tromatisé par les bombes "littel boy" et "fat man", donc pour moi c'est réjouissant
Mais comme je parle de Supreme, les louanges de respect s'arréte sur les stéles de la révolutions victoriènes...
Alan Moore revisite encore une fois le monde des superhéros. Mais cette fois-ci, plus de personnages tourmentés, d'univers sombres: Supreme, doté de pouvoirs pratiquement illimités, n'a guère détat d'âme, sinon qu'il a oublié son passé. En fait, la Bande dessinée se compose de deux éléments bien distincts: une narration "au présent", et une succession de courts récits rétrospectifs insérés, qui rappelle les exploits passés de Supreme dans les années 50, 60... Ces dernières aventures sont présentées à la façon des comics de l'époque, et le dessin s'en est lui-même inspiré, largement différent du reste de l'intrigue. Bref, l'ensemble peut donner une impression de fouillis, mais Alan Moore prouve qu'il peut divertir aussi bien que faire réfléchir, étant entendu que derrière l'apparente légèreté du propos, les idées intéressantes foisonnent, sur l'adaptation des superhéros à leur époque et leur évolution (on voit dès le début de nombreux avatars de Supreme: un Supreme/Mickey, un Suprême femme...). Pour aborder cet ouvrage, il est préférable de connaître assez bien l'univers des comics, car les clins d'oeil foisonnent.
RE-SUITE donc jubilatoire dans certain passages et là on reconnait la pate Alan mais les 80% des 300 et des bananes de pages, ils nous infliges les coneris de marvel, en plus sans action, et en claire Supreme n'est qu'un superman du 20eme siècle et rien de plus ( en plus j'ais une profonde inversion pour ce musclore en colant, cela n'arrenge pas les choses), en claire alan moore a manqué le coche, car metre un couillion en collan dessiné de façon "new age" malheureusemant cela ne fonctione pas, et alan voulant faire de la vulgarisation a crée un sénario pauvre et chiant ...
Les seul passages dalinesque nous restes le debut ou Supreme se retrouve dans un monde qui est "défasé" (si vous lisés Supreme vous me comprendrez...) et se re-retrouve dans un monde ou cohécxxxssiste tous les suprémes, du premier aux version les plus loufoques (supreme mickeyyy est un exemple) ou c'est le retour en abime, ou alan dit cléremant que Supreme n'est qu'un personnage de comicx, et se monde qu'il cotoie au debut n'est parsemé que de version oublié par les créateures, donc la alan moore ne croit pas en ses personnages, il ne s'investit qu'a récrée ses souvenirs de jeunesses ( je me répétes, j'en suis conscent malheur a moi...FUCK...)La fin est relativement non attendus donc on est "contant", mais au final très déçu, de surcroît si on a déjà lu ses œuvres… Par dépit, vous pouvez le lire, si vous ne connaissez pas cette adepte de RAEL mélangé de Franc-maçonne, mais moi allez Hop, je retourne chez les « WATCHMEN » et « TOP TEN »
Sur ceux bonsoir ou bonjour… ;-p
SUITE la préface est explisite: Suprema devient tellemant énervante avec sont moralisme a cafée... (je resume, je ne suis pas une putain de photocopieuse non plus) La est le bas blesse, Moore essaye de refaire vivre ses comixxxx, ses souvenirs d'entemps poussièreux, les comicxxx des années 5o avec ses couleurs criarrrrdes et moches au possibles, se papier granuleu au possible qui pue et exalte nos narines de cette odeur ancsienne plein de nostalgie...Ha que de réves... Etant bouffé par sa nostalgie d'enfant, et regardent les merdes que Marvel et machin nous donnes depuis quelques temps(?!!!!), nous sommes tous enclin a comprendre ses intemtions les plus bibliques...
Mais sont moralisme case pied et sont gout du vieu comicxxx se retour contre lui comme dans le book avec "emerpus" la version inverse de supreme qui délivre les méchants pour qu'ils rajeunises et redeviennes bon, dans notres dimantion, il résulte des catastrophes... Alan est ce meme personnage car il montre des heros, beaux, musclés, moralisateur et bravant les intempéris (comme la poste) pour sauvée les jeunes filles blondes apeurés du supère vilain... La sauce ne prend plus, car toutes les productions a l'heure acctuel use et abuse de cette image( meme si le siécle l'oblige ils deviennes plus trash) mais avec le fou anglais sa passe encore moin car il mélange satir dans les passages "old school" qui sont déléctable et on reconnais sont panachhh, avec la vision de la femme castratrise des années 50 qui rend Supréme en Supreme de banlieu qui astique la supere voiture car les voisains doivent etres imprésionnés ( totalemant en phaze avec l'époque des 30 glorieuses, consomations de masses, supermarcher EX...)
Encore une foi le "wild" alan moore qui veut maintenant se consacré a étre un gourou d'une secte ( le comixxx ne raporte plus il faut croire... malheur la stupidité et le facile (c'est deja fait) nous gétes...) Le gamin des bas cartié de londre a encore frapper, tel un Tim Burton fou quoi que plus politique, fraper aux fer rouges par les monstruosités humaines de sont vécus ou vécus résiduéls ( Nazisme qu'il nous balences a toutes les sauces, mais dans Tom strong cela deviens énérvant (lire ma critique sur le sujet) et bien sur la geurre froide et sont cortége de cadavres...) Donc on a afaire a un homme profondémant écorché par sont siècle, visions paranoiiiaques de ses images cruéls, morbides mais pourtant réel, relativemant peut exploité par les europeins, car notre peuple oublie bien vite ses meurtres passés, Moore se rapproche plus des vieux cacochines mangakkka tromatisé par les bombes "littel boy" et "fat man", donc pour moi c'est réjouissant
Mais comme je parle de Supreme, les louanges de respect s'arréte sur les stéles de la révolutions victoriènes...
Alan Moore revisite encore une fois le monde des superhéros. Mais cette fois-ci, plus de personnages tourmentés, d'univers sombres: Supreme, doté de pouvoirs pratiquement illimités, n'a guère détat d'âme, sinon qu'il a oublié son passé. En fait, la Bande dessinée se compose de deux éléments bien distincts: une narration "au présent", et une succession de courts récits rétrospectifs insérés, qui rappelle les exploits passés de Supreme dans les années 50, 60... Ces dernières aventures sont présentées à la façon des comics de l'époque, et le dessin s'en est lui-même inspiré, largement différent du reste de l'intrigue. Bref, l'ensemble peut donner une impression de fouillis, mais Alan Moore prouve qu'il peut divertir aussi bien que faire réfléchir, étant entendu que derrière l'apparente légèreté du propos, les idées intéressantes foisonnent, sur l'adaptation des superhéros à leur époque et leur évolution (on voit dès le début de nombreux avatars de Supreme: un Supreme/Mickey, un Suprême femme...). Pour aborder cet ouvrage, il est préférable de connaître assez bien l'univers des comics, car les clins d'oeil foisonnent.