Spirou et Fantasio
13. Le voyageur du mésozoïque
Une BD de
Greg
et
André Franquin
chez Dupuis
- 1960
Greg
(Scénario)
Franquin, André
(Scénario)
Franquin, André
(Dessin)
<Quadrichromie>
(Couleurs)
Jidéhem
(Décors)
01/1960 61 pages Format normal 300 à 400 euros 32854
Plus l'histoire ''La peur au bout du fil'' (14 planches)
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
Tome 44 -
Tome 45 -
Tome 46 -
Tome 47 -
Tome 48 -
Tome 49 -
Tome 50 -
Tome 51 -
Tome 52 -
Tome 53 -
Tome 54 -
Tome 55 -
Tome 56 -
Tome 57 -
HCourte1 -
HCourte2 -
HCourte3 -
HCourte4 -
HCourte5 -
HCourte6 -
HS01 -
HS02 -
HS03 -
HS04 -
HS05 -
PRE1 -
PRE2
Un album qui ne m'a pas laissé grande impression mais que je n'ai pas trouvé déplaisant non plus.
A lire quand même au moins une fois, je pense. Je lui mets 3/5 mais j'aurais choisi 2,5/5 si la note avait été disponible dans les choix.
A l'heure où ses successeurs se font tous dézinguer les uns après les autres, il est peut-être bon de rappeler qu'en son temps, Franquin lui-même n'avait pas pondu que des chefs-d’œuvres. La preuve avec cet album farfelu et peu palpitant. Malgré un dessin toujours aussi plaisant et un humour toujours aussi efficace, cet album pèche par un scénario très naïf et quelque peu enfantin. Car s'il est rigolo de voir ce dinosaure revenir à la vie après plusieurs millions d'années d'hibernation et semer la pagaille dans Champignac, la plupart des séquences sont nettement prévisibles.
Un album distrayant, mais qui n'a rien d'exceptionnel.
Paru en 1960 ce treizième volume des aventures de Spirou comporte deux histoires. Un oeuf qui va donner naissance à un dinosaure avec un scénario un peu pauvre aux rebondissements prévisibles et une deuxième "la peur où bout du fil" où l'on voit Champignac perdre la boule et devenir agressif. C'est rare de sa part et donc amusant même si c'est court. Ce n'est pas un album qui fera date dans la collection mais bon, quand on aime, on ne compte pas...