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Des mini-histoires pour petits enfants. Un super-méchant différent à chaque fois. Ou Hulk.
Des scénarios affligeants, niveau théâtre de marionnettes. Des dessins oscillant entre le nul et le quelconque. Et des couleurs qui expliquent pourquoi les pauvres gosses se réfugient dans des mangas en noir et blanc...
Arachnophiles, passez votre chemin !
Spider-Man est devenu incontournable ces dernières années. Pas moins de trois licences différentes au cinéma en moins de 15 ans. Visiblement, les versions se sont également multipliées dans les comics.
En l’occurrence, season one reprend l’origine du mythe avec cet adolescent bon élève surtout dans les matières scientifiques qui se fait piquer par une araignée lors d’une exposition et qui va laisser un malfrat en liberté qui tuera pas la suite son oncle Ben le laissant désemparé avec la maxime : de grands pouvoirs, de grandes responsabilités. A noter que cela pourrait s’appliquer également à Trump ou à son homologue Poutine, qui sont les hommes les plus puissants du monde mais qui ne sont manifestement pas des super-héros (sauf aux yeux de leur peuple respectif).
Pour le reste, il n’y aura pas de réelles surprises dans le scénario. A la place du bouffon vert, on a droit au vautour mais il n’est point charismatique. Il n’y a pas de psychologie propre ou recherché des personnages. C’est assez léger.
Un bon point pour le graphisme qui est de toute beauté dans son réalisme. On peut véritablement admirer le costume de Spider-Man qui sera mis en valeur.
Info édition : Reprend 6 aventures de 11 pages de Spider-man à destination d'un très jeune pubic : « Projet Proteus ! » (Alan Cowsill, John Ross) ; « Titanic ! » (Alan Cowsill, Anthony Williams) ; « Ravagés » (William Cade, John Ross) ; « Surtension ! » (Alan Cowsill, Anthony Williams) ; « Retour d'un monstre ! » (Fred Handley ; Jon Haward) ; « Alerte en ville ! » (Ferg Handley, Simon Williams).
Des mini-histoires pour petits enfants. Un super-méchant différent à chaque fois. Ou Hulk.
Des scénarios affligeants, niveau théâtre de marionnettes. Des dessins oscillant entre le nul et le quelconque. Et des couleurs qui expliquent pourquoi les pauvres gosses se réfugient dans des mangas en noir et blanc...
Arachnophiles, passez votre chemin !
Spider-Man est devenu incontournable ces dernières années. Pas moins de trois licences différentes au cinéma en moins de 15 ans. Visiblement, les versions se sont également multipliées dans les comics.
En l’occurrence, season one reprend l’origine du mythe avec cet adolescent bon élève surtout dans les matières scientifiques qui se fait piquer par une araignée lors d’une exposition et qui va laisser un malfrat en liberté qui tuera pas la suite son oncle Ben le laissant désemparé avec la maxime : de grands pouvoirs, de grandes responsabilités. A noter que cela pourrait s’appliquer également à Trump ou à son homologue Poutine, qui sont les hommes les plus puissants du monde mais qui ne sont manifestement pas des super-héros (sauf aux yeux de leur peuple respectif).
Pour le reste, il n’y aura pas de réelles surprises dans le scénario. A la place du bouffon vert, on a droit au vautour mais il n’est point charismatique. Il n’y a pas de psychologie propre ou recherché des personnages. C’est assez léger.
Un bon point pour le graphisme qui est de toute beauté dans son réalisme. On peut véritablement admirer le costume de Spider-Man qui sera mis en valeur.