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« Spider-man, l’intégrale 1964 » fera passer un agréable moment à l’amateur de vieux, très vieux comics.
Le style de Ditko semble bien sur dater de Mathusalem, mais il possède un charme rétro assez plaisant.
Bien sur toutes les intrigues ne sont pas formidables mais cette intégrale offre un aperçu de pratiquement tout l’univers de Spider Man avec ses plus grands ennemis, les plus sérieux étant le Bouffon Vert, Octopus en raison de leur intelligence ou Electro ou l’Homme Sable en raison de l’étendue de leurs pouvoirs, mais aussi ses alliés occasionnels comme la Torche ou Daredevil.
Du coté de la vie « civile », Peter Parker représente le modèle du teen-ager banal de la classe moyenne américaine blanche avec un caractère honnête, travailleur et un grand sens moral.
Jeune homme « propre sur lui » des années 60, étudiant en chimie et photographe au Daily Bugle pour financer ses études et aider sa tante, Parker se distingue de ses camarade par le fait qu’il ait perdu des parents très tôt et ait été élevé par sa Tante May.
Ce qui rend Parker attachant est son manque d’assurance, le désastre de sa vie privée rongée par le terrible secret de sa double identité et la réputation de mal aimé de Spider-man.
Parker, étudiant timide, solitaire et asocial pour ses camarades, séduit pourtant des femmes par son coté mystérieux et ses brillantes résultats dans les matières scientifiques ce qui lui attire également des jalousies comme celle de Flash Thomson, le « sportif » fort en gueule et bagarreur typique des campus américains.
Mais souvent que ce soit avec Betty ou Gwen, ces relations amoureuses se révèlent au final compliquées et douloureuses pour Parker.
La relation qui le lie avec May, mère de substitution à la santé fragile est également prodigieusement touchante, la fameuse « Tante May » étant sans doute le plus gros talon d’Achille de Spider-man.
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/06/spider-man-lintegrale-1964-stan-lee.html
La mise en place de l’univers de Spider-Man progresse : on assiste à l’apparition des principaux vilains : après les premières apparitions du Vautour, de Docteur Octopus, de l’Homme-sable, du Lézard dans le premier volume (1962-1963), au tour d’Electro, du Caméléon allié aux Exécuteurs, de Mystério, de Kraven et du Bouffon Vert dont l’identité reste secrète.
La vulnérabilité du héros est un des ressorts majeurs des histoires : grippé, le super-héros est miné et sans force ; trop sûr de lui, cette assurance se retourne contre lui ; apprenant la maladie de sa tante au milieu d’un combat, le héros déguerpit face à l’adversaire et devant une foule ingrate.
Dans le civil aussi : la rivalité féminine entre Betty Brant et Liz Allen, toutes deux entichées de « Petey », le met dans une situation difficile même si amusante pour le lecteur. D’ailleurs, un suspense cocasse est maintenu autour de l’apparition de Mary-Jane Watson : la rencontre avec Peter Parker, organisée sous les hospices de Tante May, est différée d’épisode en épisode jusqu’au… tome 3.
Et la rivalité très m’as-tu-vu entre Spider-Man et Johnny Storm, la Torche humaine des Quatre Fantastiques.
Dans au moins deux épisodes, le dispositif baroque de la scène, du théâtre est développé : un vilain vante un spectacle en clamant la présence de Spider-Man ; celui-ci s’y présente et le combat avec les malfrats se déroule devant des spectateurs hypnotisés. L’un d’eux n’est autre que Matt Murdock aka Daredevil qui change de costume dans les coulisses.
À l’occasion du lancement de son fan-club, Spidey se rend à la soirée et le Bouffon vert l’y attaque ; ne voulant pas créer de panique, Spidey combat en faisant croire à un spectacle. À un moment, il disparaît le temps de redevenir Peter Parker puis il revient.
1964 est une année difficile pour Peter Parker alias Spiderman. en effet ce dernier est plus malchanceux que jamais et confronté à des épreuves particulièrement pénible, tant sur le plan personnel que sur le plan super héroique. Mais 1964 est une année excellente pour nous qui avons le plaisir de dévorer les aventures de Spiderman comme quoi le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres.
A la fin de l'intégrale une question se pose : mais que va nous réserver l'année 1965 ? Et bien si vous voulez bien m'excuser je m'en vais chercher la réponse à cette question.
« Spider-man, l’intégrale 1964 » fera passer un agréable moment à l’amateur de vieux, très vieux comics.
Le style de Ditko semble bien sur dater de Mathusalem, mais il possède un charme rétro assez plaisant.
Bien sur toutes les intrigues ne sont pas formidables mais cette intégrale offre un aperçu de pratiquement tout l’univers de Spider Man avec ses plus grands ennemis, les plus sérieux étant le Bouffon Vert, Octopus en raison de leur intelligence ou Electro ou l’Homme Sable en raison de l’étendue de leurs pouvoirs, mais aussi ses alliés occasionnels comme la Torche ou Daredevil.
Du coté de la vie « civile », Peter Parker représente le modèle du teen-ager banal de la classe moyenne américaine blanche avec un caractère honnête, travailleur et un grand sens moral.
Jeune homme « propre sur lui » des années 60, étudiant en chimie et photographe au Daily Bugle pour financer ses études et aider sa tante, Parker se distingue de ses camarade par le fait qu’il ait perdu des parents très tôt et ait été élevé par sa Tante May.
Ce qui rend Parker attachant est son manque d’assurance, le désastre de sa vie privée rongée par le terrible secret de sa double identité et la réputation de mal aimé de Spider-man.
Parker, étudiant timide, solitaire et asocial pour ses camarades, séduit pourtant des femmes par son coté mystérieux et ses brillantes résultats dans les matières scientifiques ce qui lui attire également des jalousies comme celle de Flash Thomson, le « sportif » fort en gueule et bagarreur typique des campus américains.
Mais souvent que ce soit avec Betty ou Gwen, ces relations amoureuses se révèlent au final compliquées et douloureuses pour Parker.
La relation qui le lie avec May, mère de substitution à la santé fragile est également prodigieusement touchante, la fameuse « Tante May » étant sans doute le plus gros talon d’Achille de Spider-man.
Plus d'informations sur ce lien : https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2021/06/spider-man-lintegrale-1964-stan-lee.html
La mise en place de l’univers de Spider-Man progresse : on assiste à l’apparition des principaux vilains : après les premières apparitions du Vautour, de Docteur Octopus, de l’Homme-sable, du Lézard dans le premier volume (1962-1963), au tour d’Electro, du Caméléon allié aux Exécuteurs, de Mystério, de Kraven et du Bouffon Vert dont l’identité reste secrète.
La vulnérabilité du héros est un des ressorts majeurs des histoires : grippé, le super-héros est miné et sans force ; trop sûr de lui, cette assurance se retourne contre lui ; apprenant la maladie de sa tante au milieu d’un combat, le héros déguerpit face à l’adversaire et devant une foule ingrate.
Dans le civil aussi : la rivalité féminine entre Betty Brant et Liz Allen, toutes deux entichées de « Petey », le met dans une situation difficile même si amusante pour le lecteur. D’ailleurs, un suspense cocasse est maintenu autour de l’apparition de Mary-Jane Watson : la rencontre avec Peter Parker, organisée sous les hospices de Tante May, est différée d’épisode en épisode jusqu’au… tome 3.
Et la rivalité très m’as-tu-vu entre Spider-Man et Johnny Storm, la Torche humaine des Quatre Fantastiques.
Dans au moins deux épisodes, le dispositif baroque de la scène, du théâtre est développé : un vilain vante un spectacle en clamant la présence de Spider-Man ; celui-ci s’y présente et le combat avec les malfrats se déroule devant des spectateurs hypnotisés. L’un d’eux n’est autre que Matt Murdock aka Daredevil qui change de costume dans les coulisses.
À l’occasion du lancement de son fan-club, Spidey se rend à la soirée et le Bouffon vert l’y attaque ; ne voulant pas créer de panique, Spidey combat en faisant croire à un spectacle. À un moment, il disparaît le temps de redevenir Peter Parker puis il revient.
Bref, de bons moments de lecture…
1964 est une année difficile pour Peter Parker alias Spiderman. en effet ce dernier est plus malchanceux que jamais et confronté à des épreuves particulièrement pénible, tant sur le plan personnel que sur le plan super héroique. Mais 1964 est une année excellente pour nous qui avons le plaisir de dévorer les aventures de Spiderman comme quoi le malheur des uns fait parfois le bonheur des autres.
A la fin de l'intégrale une question se pose : mais que va nous réserver l'année 1965 ? Et bien si vous voulez bien m'excuser je m'en vais chercher la réponse à cette question.