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« Spawn : tome 1 : résurrection » ne déçoit pas en posant les premières briques d’un univers qui par la suite prendra une dimension supérieure en gagnant en complexité, en ramifications et en suspense.
Place donc ici au choc initial et à la découverte.
Les personnages se mettent peu à peu en place, Fitzgerald, le duo Burke/Twitch et même Wynn jouant des rôles pour l’instant assez secondaires.
Les stars du premier volume sont donc le Violator, clown obscène capable de se muer en démon gigantesque moissonneur de vie humaines, Overtkill pour son incroyable puissance de feu technologique et Kingcaid, représentatif des recoins les plus sombres de l’humanité.
A noter que ce dernier personnage est plus réussi dans la série d’animation ou son coté débonnaire, presque doux et rassurant augmente le sentiment de malaise qu’il véhicule.
Personnage torturé, choqué, à cheval entre vie et mort, à la fois fort et vulnérable,
tiraillé entre ses nouvelles responsabilités vis-à-vis du Mal et ses aspirations humaines encore vivaces, Spawn ne peut que séduire par sa dimension tragique.
Un mot sur le style remarquable de Mc Farlane, coloré, puissant et flamboyant.
A sa sortie, comme le dit Miller en guise d'épilogue, « Spawn » fut une révolution dans le monde du comic book.
Mc Farlane n’appartenait ni à Marvel ni à DC Comics, il créa donc un style nouveau, puissant et une nouvelle maison d’édition Image Comics.
Honneur lui soit donc rendu pour cette remarquable innovation.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/01/spawn-tome-1-resurrection-todd-mc.html
Débutant dans les comics et connaissant l'histoire du spawn que de loin (film entre autre), j'ai décidé de me lancer dans l'aventure.
Ce premier tome m'a laissé une impression plutôt mitigé. L'histoire est du déjà vu et revu 1000 fois ("héros" vendant son âme en échange de pouvoir pour se venger), le scénario est convenu comme le pitch de départ et le dessin n'est franchement pas extra ordinaire (par rapport à du darkness, witchblade, ou encore fathom). Les personnages secondaires sont peu nombreux et peu présent et aucuns n'est vraiment inoubliable.
En revanche, il y a parfois, de bonnes idées assez loufoque par ici et là, de la violence parfois à souhait (je m'en cache pas je suis fan) et le perso du spawn est parfois touchant.
« Spawn : tome 1 : résurrection » ne déçoit pas en posant les premières briques d’un univers qui par la suite prendra une dimension supérieure en gagnant en complexité, en ramifications et en suspense.
Place donc ici au choc initial et à la découverte.
Les personnages se mettent peu à peu en place, Fitzgerald, le duo Burke/Twitch et même Wynn jouant des rôles pour l’instant assez secondaires.
Les stars du premier volume sont donc le Violator, clown obscène capable de se muer en démon gigantesque moissonneur de vie humaines, Overtkill pour son incroyable puissance de feu technologique et Kingcaid, représentatif des recoins les plus sombres de l’humanité.
A noter que ce dernier personnage est plus réussi dans la série d’animation ou son coté débonnaire, presque doux et rassurant augmente le sentiment de malaise qu’il véhicule.
Personnage torturé, choqué, à cheval entre vie et mort, à la fois fort et vulnérable,
tiraillé entre ses nouvelles responsabilités vis-à-vis du Mal et ses aspirations humaines encore vivaces, Spawn ne peut que séduire par sa dimension tragique.
Un mot sur le style remarquable de Mc Farlane, coloré, puissant et flamboyant.
A sa sortie, comme le dit Miller en guise d'épilogue, « Spawn » fut une révolution dans le monde du comic book.
Mc Farlane n’appartenait ni à Marvel ni à DC Comics, il créa donc un style nouveau, puissant et une nouvelle maison d’édition Image Comics.
Honneur lui soit donc rendu pour cette remarquable innovation.
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/01/spawn-tome-1-resurrection-todd-mc.html
Débutant dans les comics et connaissant l'histoire du spawn que de loin (film entre autre), j'ai décidé de me lancer dans l'aventure.
Ce premier tome m'a laissé une impression plutôt mitigé. L'histoire est du déjà vu et revu 1000 fois ("héros" vendant son âme en échange de pouvoir pour se venger), le scénario est convenu comme le pitch de départ et le dessin n'est franchement pas extra ordinaire (par rapport à du darkness, witchblade, ou encore fathom). Les personnages secondaires sont peu nombreux et peu présent et aucuns n'est vraiment inoubliable.
En revanche, il y a parfois, de bonnes idées assez loufoque par ici et là, de la violence parfois à souhait (je m'en cache pas je suis fan) et le perso du spawn est parfois touchant.
A essayé