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Lorsque j’étais plus jeune et que j’ai appris l’enseignement sur les cours d’histoire de la Seconde Guerre mondiale, les nazis allemands et les impérialistes nippons étaient clairement désignés comme l’ennemi. Suite à l’issue de la guerre, ils avaient totalement disparu pour laisser place à deux peuples pacifiques qui s’étaient rattrapés économiquement au point d’être parmi les nations les plus riches du globe alors qu’elles avaient été détruites par la guerre et non épargnées. J’ai toujours eu de l’admiration pour ceux qui relèvent leurs manches pour travailler et reconstruire un avenir plus serein.
Il y a encore quelques années, il n’y avait pas d’ouvrage connu qui nous montrait le point de vue de l’ennemi. C’était quelque chose de tabou ou de politiquement incorrect. Bien entendu, ce manga ne fait pas l’éloge de l’impérialisme de ces militaires ayant conduit ce pays à une guerre d’expansion. C’est plus le modeste point de vue d’un pilote de chasse et de sa délicieuse épouse qui seront mise en avant. On se situe vers la fin de l’année 1943 avec cette inversion du cours de la guerre où les Japonais ont perdu progressivement la maitrise des airs et des mers devant l’avancée technologique américaine. Comme dit, on ne réveille pas aussi impunément un géant. La traitrise de Pearl Harbor allait se payer assez chèrement. Quand on perd un combat, il faut savoir l’admettre. L’attitude jusque boutiste va aboutir à de véritables sacrifices humains à savoir les kamikazes.
A noter également l’attitude assez soumise de l’épouse de l’aviateur ce qui correspond bien à la réalité de l’époque dans cette culture qui a bien évolué depuis. L’audace de la boulette de viande en lieu et place d’un traditionnel plat qui se mange à la baguette est assez caractéristique. Cela peut faire sourire ou pas. Au-delà de cet aspect, c’est tout le vécu des civils qui nous ait conté ce récit. C’est un nouveau point de vue et donc c’est forcément intéressant pour peu qu’on aime l’Histoire objective et non celle racontée par les vainqueurs. Les bons et les mauvais sont partout et dans chaque camp. Pour les fans d’aviation, c’est extrêmement bien documenté également. Cela rappelle le dessin d’animation d’Hayao Miyazaki à savoir Le jour se lève. Une série en deux tomes seulement qu’il convient de découvrir.
Lorsque j’étais plus jeune et que j’ai appris l’enseignement sur les cours d’histoire de la Seconde Guerre mondiale, les nazis allemands et les impérialistes nippons étaient clairement désignés comme l’ennemi. Suite à l’issue de la guerre, ils avaient totalement disparu pour laisser place à deux peuples pacifiques qui s’étaient rattrapés économiquement au point d’être parmi les nations les plus riches du globe alors qu’elles avaient été détruites par la guerre et non épargnées. J’ai toujours eu de l’admiration pour ceux qui relèvent leurs manches pour travailler et reconstruire un avenir plus serein.
Il y a encore quelques années, il n’y avait pas d’ouvrage connu qui nous montrait le point de vue de l’ennemi. C’était quelque chose de tabou ou de politiquement incorrect. Bien entendu, ce manga ne fait pas l’éloge de l’impérialisme de ces militaires ayant conduit ce pays à une guerre d’expansion. C’est plus le modeste point de vue d’un pilote de chasse et de sa délicieuse épouse qui seront mise en avant. On se situe vers la fin de l’année 1943 avec cette inversion du cours de la guerre où les Japonais ont perdu progressivement la maitrise des airs et des mers devant l’avancée technologique américaine. Comme dit, on ne réveille pas aussi impunément un géant. La traitrise de Pearl Harbor allait se payer assez chèrement. Quand on perd un combat, il faut savoir l’admettre. L’attitude jusque boutiste va aboutir à de véritables sacrifices humains à savoir les kamikazes.
A noter également l’attitude assez soumise de l’épouse de l’aviateur ce qui correspond bien à la réalité de l’époque dans cette culture qui a bien évolué depuis. L’audace de la boulette de viande en lieu et place d’un traditionnel plat qui se mange à la baguette est assez caractéristique. Cela peut faire sourire ou pas. Au-delà de cet aspect, c’est tout le vécu des civils qui nous ait conté ce récit. C’est un nouveau point de vue et donc c’est forcément intéressant pour peu qu’on aime l’Histoire objective et non celle racontée par les vainqueurs. Les bons et les mauvais sont partout et dans chaque camp. Pour les fans d’aviation, c’est extrêmement bien documenté également. Cela rappelle le dessin d’animation d’Hayao Miyazaki à savoir Le jour se lève. Une série en deux tomes seulement qu’il convient de découvrir.