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Continuant dans la voie des deux premiers tomes, Soul Eater 3 est tout de même plus intéressant, sans être un manga indispensable. L'histoire commence à être plus travaillée et les personnages sont mis en place. Tout est prêt pour débuter (enfin) l'histoire.
Le dessin est très semblable à celui du premier tome, voir identique. En fait, il n'y a aucun changement: toujours aussi particulier, des chibis étranges, etc.
À lire à la bibliothèque (mais attention, ça devient meilleur après!)
"Soul Eater 3", comme les deux tomes précédents, alterne les moments de franc délire, assez sympathiques - on appréciera particulièrement l'épisode "Excalibur" qui désacralise avec un humour potache du meilleur effet l'un de nos mythes -, et les scènes finalement assez conventionnelles : on reste en effet ici fidèle aux codes habituels des récits d'arts martiaux, même dissimulés au cœur d'un univers "gothique" occidental, et "Soul Eater" n'est bien, derrière son explosive audace formelle, qu'un manga pour adolescents comme les autres. Si l'on ajoute la difficulté que semble avoir Ohkubo à conférer de la cohérence à son univers original (n'est donc pas Tim Burton qui veut…), et à construire une vraie narration qui relie les différents épisodes, force est de constater que "Soul Eater", en dépit de son excellente réputation, risque bien de rater l'opportunité de devenir un manga qui marque vraiment son époque.
Info édition : Avec jaquette illustrée. Sens de lecture d'origine (droite vers gauche). "Nouveau tirage : décembre 2022" inscrit à la fin de l'album. 6 pages de bonus.
Continuant dans la voie des deux premiers tomes, Soul Eater 3 est tout de même plus intéressant, sans être un manga indispensable. L'histoire commence à être plus travaillée et les personnages sont mis en place. Tout est prêt pour débuter (enfin) l'histoire.
Le dessin est très semblable à celui du premier tome, voir identique. En fait, il n'y a aucun changement: toujours aussi particulier, des chibis étranges, etc.
À lire à la bibliothèque (mais attention, ça devient meilleur après!)
"Soul Eater 3", comme les deux tomes précédents, alterne les moments de franc délire, assez sympathiques - on appréciera particulièrement l'épisode "Excalibur" qui désacralise avec un humour potache du meilleur effet l'un de nos mythes -, et les scènes finalement assez conventionnelles : on reste en effet ici fidèle aux codes habituels des récits d'arts martiaux, même dissimulés au cœur d'un univers "gothique" occidental, et "Soul Eater" n'est bien, derrière son explosive audace formelle, qu'un manga pour adolescents comme les autres. Si l'on ajoute la difficulté que semble avoir Ohkubo à conférer de la cohérence à son univers original (n'est donc pas Tim Burton qui veut…), et à construire une vraie narration qui relie les différents épisodes, force est de constater que "Soul Eater", en dépit de son excellente réputation, risque bien de rater l'opportunité de devenir un manga qui marque vraiment son époque.