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Dans son cinquième volume, "Soil" - la ville comme l'histoire - s'enfonce dans des cauchemars hallucinants : violence, sadisme, auto-mutilation, excréments, on ne peut pas dire que Kaneko garde la moindre mesure ici, et on est désormais loin des ambiances malsaines ou drôlatiques des débuts. Au crédit de "Soil 5", n'hésitons pas à mettre la géniale idée de "l'homme aux yeux bandés" dans sa cellule d'asile, ainsi que le recyclage original du thème furieusement japonais qu'est la violence destructrice d'une troupe d'enfants qui se laissent entraîner vers un nihilisme absolu. Finalement, on se retrouve à la fin de ce 5ème volume avec de vrais éléments de réponse aux énigmes semées depuis le début - pas des réponses rationnelles, hein, mais de jolies réponses quand même -, ce qui permet à "Soil" d'échapper au "n'importe quoi pourvu que l'angoisse soit là" finalement si courant dans ce genre de thriller horrifique. La seule réserve - notable quand même - à émettre est la lisibilité excessivement difficile de nombreuses pages (particulièrement lorsque Kaneko décrit des scènes de chaos avec de nombreux personnages), des pages qui bénéficieraient d'être traitées en couleurs, ou au moins avec des gris et des noirs.
Dans son cinquième volume, "Soil" - la ville comme l'histoire - s'enfonce dans des cauchemars hallucinants : violence, sadisme, auto-mutilation, excréments, on ne peut pas dire que Kaneko garde la moindre mesure ici, et on est désormais loin des ambiances malsaines ou drôlatiques des débuts. Au crédit de "Soil 5", n'hésitons pas à mettre la géniale idée de "l'homme aux yeux bandés" dans sa cellule d'asile, ainsi que le recyclage original du thème furieusement japonais qu'est la violence destructrice d'une troupe d'enfants qui se laissent entraîner vers un nihilisme absolu. Finalement, on se retrouve à la fin de ce 5ème volume avec de vrais éléments de réponse aux énigmes semées depuis le début - pas des réponses rationnelles, hein, mais de jolies réponses quand même -, ce qui permet à "Soil" d'échapper au "n'importe quoi pourvu que l'angoisse soit là" finalement si courant dans ce genre de thriller horrifique. La seule réserve - notable quand même - à émettre est la lisibilité excessivement difficile de nombreuses pages (particulièrement lorsque Kaneko décrit des scènes de chaos avec de nombreux personnages), des pages qui bénéficieraient d'être traitées en couleurs, ou au moins avec des gris et des noirs.