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De loin le moins bon tome de la série jusqu'à maintenant. Et aussi le plus court.
L'histoire se résume au carnage perpétuel pour arriver jusqu'au "big boss" et assouvir sa soif de vengeance. C'est tout. Ça m'a un peu rappelé les "Polar" de Victor Santos. Beau style, aucune histoire. Même Miho fait tache blanche dans ce noir poisseux, comme un brouillon mal dessiné.
Miller fut dans un état de transe lors de la rédaction de ce nouvel opus qui dura un seul mois. D'ailleurs, il débuta par la dernière image ( une femme fatale sexuée et christique) pour écrire à l'envers . Et c'est en cela que cet opus est l'un des plus aboutis dans une oeuvre, au travers des codes du roman noir si personnelle) …
Ici Dwight revient, aussi crapule et sadique mais il est avant tout un enquêteur, un manipulateur et un organiste. Il y a aussi Miho, la blanche mort, tout de silence et de sadisme.
Et chaque détails, chaque perversions, chaque actions mortifères apportent l'apocalypse du détail. Il y a un chien de Tchekhov sublime: Le combiné d'une cabine téléphonique.
Il y a aussi le dessin incroyable: Miller utilise les codes du roman noir comme l'ellipse ou le retour en arrière dans ses illustrations. Le noir et blanc demeure sublime et l'âpreté des actions prennent le temps sur plusieurs pages et on ressent plus encore les impacts, les névroses, la violence.
Miller, ici, va au bout de sa démarche créative qu'il débute avec le 1er SIN CITY. L'oeuvre est personnelle, non pas dans sa psyché, mais dans sa fureur et sa rage.
La lecture est incroyable d'intensité ( un bémol peut être sur la fliquette qui veut séduire) et le final est dantesque.
Une oeuvre unique
J'adore Miller (regardez comment il a fait revivre les héros de strange et nottament Dardevil dans les années 80 son mùeilleur show sans doute) mais là boffffffff et en plus je suis hyper fan de rodriguez !!!! Pénible de voir sa franchement vive le miller d' il y a 20 ans !!!
De loin le moins bon tome de la série jusqu'à maintenant. Et aussi le plus court.
L'histoire se résume au carnage perpétuel pour arriver jusqu'au "big boss" et assouvir sa soif de vengeance. C'est tout. Ça m'a un peu rappelé les "Polar" de Victor Santos. Beau style, aucune histoire. Même Miho fait tache blanche dans ce noir poisseux, comme un brouillon mal dessiné.
Ça commence à sentir le manque d'inspiration.
Miller fut dans un état de transe lors de la rédaction de ce nouvel opus qui dura un seul mois. D'ailleurs, il débuta par la dernière image ( une femme fatale sexuée et christique) pour écrire à l'envers . Et c'est en cela que cet opus est l'un des plus aboutis dans une oeuvre, au travers des codes du roman noir si personnelle) …
Ici Dwight revient, aussi crapule et sadique mais il est avant tout un enquêteur, un manipulateur et un organiste. Il y a aussi Miho, la blanche mort, tout de silence et de sadisme.
Et chaque détails, chaque perversions, chaque actions mortifères apportent l'apocalypse du détail. Il y a un chien de Tchekhov sublime: Le combiné d'une cabine téléphonique.
Il y a aussi le dessin incroyable: Miller utilise les codes du roman noir comme l'ellipse ou le retour en arrière dans ses illustrations. Le noir et blanc demeure sublime et l'âpreté des actions prennent le temps sur plusieurs pages et on ressent plus encore les impacts, les névroses, la violence.
Miller, ici, va au bout de sa démarche créative qu'il débute avec le 1er SIN CITY. L'oeuvre est personnelle, non pas dans sa psyché, mais dans sa fureur et sa rage.
La lecture est incroyable d'intensité ( un bémol peut être sur la fliquette qui veut séduire) et le final est dantesque.
Une oeuvre unique
J'adore Miller (regardez comment il a fait revivre les héros de strange et nottament Dardevil dans les années 80 son mùeilleur show sans doute) mais là boffffffff et en plus je suis hyper fan de rodriguez !!!! Pénible de voir sa franchement vive le miller d' il y a 20 ans !!!