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De Micheluzzi, j'avais déjà lu Titanic, l'histoire du célèbre bateau avec comme toile de fond la séparation des classes. Avec Sibérie, il va plus loin puisqu'il nous conte ce qui a amené la révolution bolchevique de 1917. L'histoire commence en 1897 lors de l'attentat contre le Tsar Nicolas II à Saint-Pétersbourg. Toute la société russe y est dépeinte. Le héros tourmenté fait partie de la noblesse qu'il va renier au nom des principes d'égalitarisme. Il passera de nombreuses années en Sibérie dans les camps où il rencontrera notamment Raspoutine, autre personnage légendaire de la culture russe.
Le trait est d'un réalisme époustouflant. Le scénario est bien ficelé. Sibérie est l'album d'un maître italien malheureusement trop méconnu en France. C'est digne du Dr Jivago car il s'agit également d'un drame romanesque et romantique. Je le conseille vivement à la lecture. Je pense que cet album peut plaire aux amateurs d'histoire qui s'intéressent à la Révolution rouge. L'auteur livre une vision assez intéressante et réfléchie.
C'est dommage qu'il ait été adapté sur un petit format à la manière des mangas alors que cela ne s'y prêtait pas. Pour ma part, j'ai trouvé que le personnage principal n'était pas très sympathique ce qui m'a laissé un petit goût amer. Cependant, l'auteur n'est pas obligé de décrire la vie d'un personnage qui plaît au public. Ici, point d'identification possible.
Je ne sais pas si la maison d'édition a lû ma remarque précédente mais depuis, il y a eu l'édition d'une nouvelle mouture dans un format qui respecte véritablement l'oeuvre. Espérons que cela pousse le public à découvrir ce magnifique récit !
Dans ces années qui ont suivi la révolution d'Octobre, un grand foutoir (c'est le moins qu'on puisse dire) a existé aux confins de l'Empire entre les armées rouges, blanches, étrangères et ceux qui essayaient de tirer leur épingle du jeu à leur profit.
Micheluzzi qui a mis l'un de ses héros, Rosso Stenton, dans cette région et à cette époque, signe ici un shot magnifique.
Tant au nveau du dessin , mais c'est une constante chez lui, qu'au niveau u scénario, désabusé.
C'est à se demander, et bien que les histoires soient différentes, si Hugo Pratt n'avait pas lu cette BD avant d'emmener son Corto en Sibérie.
De Micheluzzi, j'avais déjà lu Titanic, l'histoire du célèbre bateau avec comme toile de fond la séparation des classes. Avec Sibérie, il va plus loin puisqu'il nous conte ce qui a amené la révolution bolchevique de 1917. L'histoire commence en 1897 lors de l'attentat contre le Tsar Nicolas II à Saint-Pétersbourg. Toute la société russe y est dépeinte. Le héros tourmenté fait partie de la noblesse qu'il va renier au nom des principes d'égalitarisme. Il passera de nombreuses années en Sibérie dans les camps où il rencontrera notamment Raspoutine, autre personnage légendaire de la culture russe.
Le trait est d'un réalisme époustouflant. Le scénario est bien ficelé. Sibérie est l'album d'un maître italien malheureusement trop méconnu en France. C'est digne du Dr Jivago car il s'agit également d'un drame romanesque et romantique. Je le conseille vivement à la lecture. Je pense que cet album peut plaire aux amateurs d'histoire qui s'intéressent à la Révolution rouge. L'auteur livre une vision assez intéressante et réfléchie.
C'est dommage qu'il ait été adapté sur un petit format à la manière des mangas alors que cela ne s'y prêtait pas. Pour ma part, j'ai trouvé que le personnage principal n'était pas très sympathique ce qui m'a laissé un petit goût amer. Cependant, l'auteur n'est pas obligé de décrire la vie d'un personnage qui plaît au public. Ici, point d'identification possible.
Je ne sais pas si la maison d'édition a lû ma remarque précédente mais depuis, il y a eu l'édition d'une nouvelle mouture dans un format qui respecte véritablement l'oeuvre. Espérons que cela pousse le public à découvrir ce magnifique récit !
Dans ces années qui ont suivi la révolution d'Octobre, un grand foutoir (c'est le moins qu'on puisse dire) a existé aux confins de l'Empire entre les armées rouges, blanches, étrangères et ceux qui essayaient de tirer leur épingle du jeu à leur profit.
Micheluzzi qui a mis l'un de ses héros, Rosso Stenton, dans cette région et à cette époque, signe ici un shot magnifique.
Tant au nveau du dessin , mais c'est une constante chez lui, qu'au niveau u scénario, désabusé.
C'est à se demander, et bien que les histoires soient différentes, si Hugo Pratt n'avait pas lu cette BD avant d'emmener son Corto en Sibérie.