Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
En pensant au titre, je me rappelais cette chanson d'un vieux groupe des années 80 à savoir Orchestral Manoeuvre in the Dark (OMD pour les intimes). J'ai eu la confirmation dans le prologue de la part des auteurs qui en font expressément référence.
J'ai été tout d'abord abasourdi par la qualité sublime du dessin à la fois subtile et sensible. On atteint là des sommets de ce que je considère comme la beauté graphique dans toute sa splendeur. Loin de faire des envolées lyriques, je veux juste souligner que c'est purement magnifique.
Après, il faut que le scénario soit à la hauteur du dessin. Or, ce genre d'histoire me plait par essence. La narration est si fluide qu'on se laisse emporter par le courant. Le portrait de cette femme accusée d'un terrible crime est bien brossé. On se replonge dans le passé avec pour décors les corons de la banlieue de Charleroi. Il y a un véritable souffle dans ce récit. On le ressent car il nous parcourt. Reste à espérer que la seconde partie nous offrira autant d'émotions.
En pensant au titre, je me rappelais cette chanson d'un vieux groupe des années 80 à savoir Orchestral Manoeuvre in the Dark (OMD pour les intimes). J'ai eu la confirmation dans le prologue de la part des auteurs qui en font expressément référence.
J'ai été tout d'abord abasourdi par la qualité sublime du dessin à la fois subtile et sensible. On atteint là des sommets de ce que je considère comme la beauté graphique dans toute sa splendeur. Loin de faire des envolées lyriques, je veux juste souligner que c'est purement magnifique.
Après, il faut que le scénario soit à la hauteur du dessin. Or, ce genre d'histoire me plait par essence. La narration est si fluide qu'on se laisse emporter par le courant. Le portrait de cette femme accusée d'un terrible crime est bien brossé. On se replonge dans le passé avec pour décors les corons de la banlieue de Charleroi. Il y a un véritable souffle dans ce récit. On le ressent car il nous parcourt. Reste à espérer que la seconde partie nous offrira autant d'émotions.