©Soleil Productions 2015 Di Giorgio/Vax
Parution le 01/04/2015. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants :
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Album créé dans la bedetheque le 03/04/2015 (Dernière modification le 23/05/2018 à 10:27) par Jean-Phi
Senseï
1. L'École des loups solitaires
Une BD de Jean-François Di Giorgio et Vax chez Soleil Productions - 2015
03/2015 (01 avril 2015) 46 pages 9782302044807 Grand format 242127
Chine. Dans un pays sombrant dans le chaos des guerres civiles, l’enquêteur Nanguang est chargé par le ministre de pourchasser de mystérieux assassins prenant pour cibles d’innocentes jeunes filles. Kang Jie entretient une relation secrète avec Nuo, la fille d’un des maîtres de la région. Un soir, ils sont les témoins de l’assassinat de l’inspecteur Nanguang. Ils sont sauvés de justesse par Yukio, une Rônin japonaise, maîtrisant l’art du sabre, mais hantée par un passé douloureux... Traqués par des tueurs insaisissables,Yukio et ses deux compagnons... Lire la suite
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3
Une réussite.
La note vaut surtout pour l'ambiance de ce Japon médiéval. Les décors sont beaux et on se retrouve plongé au temps des samouraïs.
L'histoire est un peu courte puisqu'elle ne se déroule que sur un seul tome.
La dernière page achevée on a envie d'en savoir plus sur l'héroïne.
Série à encourager.
7/10.
Pourquoi s'obstiner à vouloir tout caser en un seul album ? Qui par ailleurs laisse le lecteur avec des questions en suspend !! Cette histoire méritait deux tomes. Tout va trop vite, des relations entre les trois fugitifs, à la guérison miracle de la fille, en passant par l'évolution de son fiancé, passant en une demi page du benêt post-ado au héros n'hésitant pas à se sacrifier pour sauver sa belle. Et quid du "tueur en série" ? On le voit à peine au début, puis il disparait sans laisser de traces. Bizarre. En tout cas, rien à redire sur le dessin, parfait (ou pas loin !). Espérons que le tome deux sera de meilleur facture et reviendra sur "l'enquête" en cours...
Étant tres friand des histoires de samurais et vu la qualite des bd de Di Giorgio sur le sujet, j'ai sauté sur cette nouveauté.
Quelle déception...comme dit sur les autres avis, le scénario est vraiment très bof, à la limite du gnian gnian. Mais la ou j'ai vraiment eu l'impression d'être pris pour un con c'est sur les détails dans le dessin. Je m'explique... Alors oui le coup de crayon est super, rien à redire la dessus, mais on peut voir l'héroïne porter ses sabre à gauche sur une page puis à droite sur une autre, puis re à gauche. On voit même les 2 côtés sur une seule planche dans la même action (page 33 par exemple).
L'ensemble très moyen me fait regretter mon achat.
Quand j'ai vu Di Giorgio je me suis empressé d'acheter. Bon je suis globalement déçu et surtout par le scénario, un comble. C'est plutôt fouillis, pas assez travaillé: a vouloir tout dire en 46 pages on bâcle un peu. Heureusement la partie graphique est à la hauteur.
Acheté au Carrefour parce que 2+1 bd gratuite... La couverture me plaisait, le thème aussi et Di Giorgio aux commandes du scénario (après les excellents Samurai et Samurai Légendes)... Du coup, c'est la grosse déception, le scénario est franchement limite, le dessin est correctement fait ('faut dire qu'on a pas affaire à un novice...) mais sans plus... J'aime penser que c'était "la" bd gratuite du lot...
Une magnifique couverture présente l'héroïne, une rônin déterminée, manieuse de sabres.
Dès les premières planches, nous voyageons dans l'Asie médiévale, avec ses seigneurs et sa violence. Le dessin est parfaitement adapté au thème. Le trait est fin, dynamique et soigné. Il est accompagné d'une couleur nette et choisie avec goût. Les personnages sont charismatiques, vivants, avec une personnalité graphique propre et les décors agréables, souvent détaillés, parfois épurés.
Le scénario n'est pas très original mais plusieurs trames narratives se mêlent pour un ensemble intéressant : le meurtre d'une jeune femme, les témoins d'un autre meurtre sauvés par une samouraï, des seigneurs violents, des combats de sabres et une histoire de famille. Seul le fait que le personnage principal soit une femme rônin donne du piment à ce premier tome.
Une récit classique servit par de très beaux graphismes.