1. Corruption | largowinch11 | Comme neuf | 8.00€ | |
1. Corruption | lodeb | Comme neuf | 8.00€ | |
1. Corruption | Barry lyndon | Comme neuf | 8.00€ | |
1. Corruption | lodeb | Comme neuf | 8.00€ | |
1. Corruption | tv69 | Comme neuf | 8.00€ | |
1. Corruption | PHILGUZZ | Comme neuf | 7.00€ | |
1. Corruption | boudiou | Comme neuf | 6.00€ | |
1. Corruption | jim mac clure | Très bon état | 6.00€ | |
1. Corruption | kibur | Très bon état | 6.00€ | |
1. Corruption | amandpaul2000 | Très bon état | 5.00€ | |
1a. Corruption | makou42 | Très bon état | 5.00€ |
Info édition : Avec un vernis sélectif en couverture et au 4e plat.
Info édition : Le format de l'album est légèrement réduit par rapport à l'EO (21,5 x 29,3 contre 22,5 x 29,7).
Le dessin est très moderne, un peu dans la mouvance de ce qui se fait pour des séries similaires style I.R.$. ou Wayne Shelton avec un trait de crayon fin et précis tel que les dessinateurs italiens savent si bien le faire. Le scénario est d’une grande fluidité. Je n’ai pas eu de mal à comprendre les ramifications de cette histoire.
Il est vrai que nous avons droit à des personnages très stéréotypés tels que le jeune et beau procureur qui réussit à s’envoyer en l’air pas moins de deux fois avec deux femmes différentes en à peine 15 pages. Ce genre de situations n’est guère crédible à vrai dire. Un Procureur de la République est passé par la faculté de droit : c’est quelqu’un de généralement très austère qui s’accorde peu de distraction. Dans ce milieu, la camaraderie n’existe pas car c’est du chacun pour soi. On pense d’abord qu’à son évolution de carrière et non à défendre la veuve et l’orphelin. Je crois que j’avais beaucoup apprécié une série comme RG car elle décrit plus exactement « le milieu » de la Justice. Cette faune est très particulière, vous pouvez me croire sur parole !
Après, on se rend compte que « Section Financière » fait dans la surenchère notamment dans les scènes d’actions. On lance des missiles sur les cabinets d’avocats et même sur les TGV !Pourtant, je dois bien avouer qu’on passe un moment de lecture très agréable. J’ai surtout bien aimé le fait que le second tome renvoie subtilement à des détails à peine entre-aperçu dans le premier. Nous assistons également à une véritable évolution voire transformation des personnages puisque deux années se sont écoulées dans l’histoire entre les deux tomes.
J’ai également l’impression que cette série qui devait dénoncer les enrichissements sans cause de grands groupes financiers se détourne de sa finalité originelle pour finalement combattre une secte pseudo-religieuse qui souhaite détruire le monde avec une arme bactériologique. Du déjà vu dans de nombreux feuilletons à la TV. C’est très intéressant mais ce n’est pas ce qui était demandé au départ.
En conclusion, nous avons une série très divertissante qui semble manquer un peu de profondeur au niveau des protagonistes en cause mais qui recèle de qualité telle qu’un véritable dynamisme dans le scénario signé du grand Malka tout de même. Pas de faille et de nombreux rebondissements qui contribuent à une agréable lecture.
Bof bof bof. Ni transcendant, ni grandiose.
Le dessin est figé, sans finesse ( un visage peut changer de forme d'une case à l'autre ), l'histoire tient surtout par le rythme et l'action mais manque de profondeur et de vraisemblance ( par ex. l'attaque en pleine ville d'un hôpital au lance-roquettes par un type en moto, on se demande comment il est arrivé là ? On l'imagine aisément arrêté au feu rouge avec le lance-roquettes sous le bras ... ). Le postulat est foireux : subvention du FMI détournée par la mafia russe ... mais le FMI c'est aussi la mafia.
Cela se lit comme on ingurgite un Mac Do, on se dit que ça doit être bon, tout en sachant que c'est de la daube.
Excellente entrée en matière pour ce premier tome : un scénario très propre et bien construit digne d'un vrai polar.
Des dessins tout en finesse, une colorisation sans faute.
Vivement la suite.
9/10.
Premier album bien structuré, qui donne envie d'aller jusqu'au bout
Autre qualité par rapport à beaucoup de premiers albums : même si on attend la suite, cette épisode peut quand même se lire comme un one-shot
Les personnages évoluent sur fond de traffic d'argent sale protégé par des sociétés écrans aux ramifications assez ténébreuses. On se doute que la secrète OPUS scientilique tire les ficelles. Le scénario est bien construit et nous tient en haleine avec des dialogues et des personnages assez consistants. la brigade finacière avec en tête son jeune procureur doit affronter des adversaires redoutables dont certains sont présents dans les hautes sphères.
Le gros point fort de cet album est incontestablement son scénario bien ficelé qui pourrait être un one shot. Le suspense est bien gardé jusqu'à la fin, l'intrigue est très bien développée et reste cohérente de bout en bout. En plus comme j'aime bien ce genre d'histoires je partais déjà avec un avantage et au final je ne suis pas déçu.
Scénario très bien ficelé sur des faits d'actualité et dessin et colorimétrie 3D parfaitement maitrisé. La couverture un peu sobre ne reflète en rien, la qualité des dessins de cette BD. Prenez 20 secondes pour la feuilleter et juger par vous même...