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J’ai détesté ce titre mais dans mon extrême indulgence, je veux bien accorder une étoile pour sauver l'honneur. Objectivement, tout ne serait pas à jeter à commencer par un dessin assez soigné. Cependant, c’est le récit qui m’a véritablement rebuté.
Je veux bien qu’on aborde le sujet du harcèlement moral à l’école mais en l’occurrence, il est traité de manière trop naïve et outrancière. On a l’impression de croiser la petite fille des enfers. Et puis, je ne suis pas certain que lécher les pieds soit véritablement le petit jeu à la mode au Japon ou n’importe où dans le monde. Il y a des passages qui sont réellement dégoûtants.
Je suis étonné par la façon dont pensent les japonais. Ils veulent absolument avoir la cote et tout miser sur le paraître quitte à s’inventer des copines imaginaires pour être dans le moove. Etre un loser, c’est être rejeté par ses camarades. Je préfère être moi-même que de ressembler à une vitrine pétrie de fausse gentillesse.
Beurk, j’ai presque envie de vomir sur la moralité de ce que je viens de lire. C’est un côté du Japon que je n’aime pas et que je retrouve malheureusement dans plusieurs titres. Ceci dit, le lecteur pourrait y voir une certaine forme d’originalité. Pour moi, c’est malsain et glauque. A bon entendeur, salut !
J’ai détesté ce titre mais dans mon extrême indulgence, je veux bien accorder une étoile pour sauver l'honneur. Objectivement, tout ne serait pas à jeter à commencer par un dessin assez soigné. Cependant, c’est le récit qui m’a véritablement rebuté.
Je veux bien qu’on aborde le sujet du harcèlement moral à l’école mais en l’occurrence, il est traité de manière trop naïve et outrancière. On a l’impression de croiser la petite fille des enfers. Et puis, je ne suis pas certain que lécher les pieds soit véritablement le petit jeu à la mode au Japon ou n’importe où dans le monde. Il y a des passages qui sont réellement dégoûtants.
Je suis étonné par la façon dont pensent les japonais. Ils veulent absolument avoir la cote et tout miser sur le paraître quitte à s’inventer des copines imaginaires pour être dans le moove. Etre un loser, c’est être rejeté par ses camarades. Je préfère être moi-même que de ressembler à une vitrine pétrie de fausse gentillesse.
Beurk, j’ai presque envie de vomir sur la moralité de ce que je viens de lire. C’est un côté du Japon que je n’aime pas et que je retrouve malheureusement dans plusieurs titres. Ceci dit, le lecteur pourrait y voir une certaine forme d’originalité. Pour moi, c’est malsain et glauque. A bon entendeur, salut !