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Les auteurs nous plongent dans ce Londres du début de XIX ème siècle, où un enquêteur de Scotland Yard mis sur une voie de garage se voit obliger de faire équipe avec des personnages singuliers pour capturer deux fous dangereux.
Le scénario est assez rapide et directe mais très prenant.
Les magnifiques dessins teintés de finesse donnent une ambiance très réussi.
La mise en page est parfois hasardeuse et on doit relire, un ou deux fois, pour bien comprendre les intentions des auteurs.
De manière générale la première partie se ce diptyque est très intéressante.
Honnêtement, Scotland Yard ne sera pas la bd de l’année. Loin s’en faut. Le scénario est assez incompréhensible avec une mise en scène et en image assez chaotique pour ne pas dire catastrophique. On se demande parfois si on n’a pas loupé une case si bien qu’on revient en arrière parfois à tort. Bref, question fluidité, il faudra repasser. La compréhension ne sera pas à son maximum.
Et puis, et surtout, c’est d’un ennui presque mortel. Il ne se passe pas grand-chose dans cette enquête qui s’étire. On ne vit pas à l’heure des personnages. Bref, l’intérêt pour cette bd qui s’inscrit dans la galaxie des fameux Sherlock Holmes dans la même collection 1800 de Jean-Luc Istin est moindre. Il y a un mélange de genre de tout ce qui pouvait compter sur l’Angleterre victorienne. On peut certes y voir un coup de génie ; cependant cela ne sera pas mon cas. Il me faut plus que des noms pour m’impressionner !
Cela ne me donne pas du tout envie de lire la suite car aucune originalité, ni inventivité. Est-ce qu’avec cela, je suis dans les clous ? Je ne le pense pas. Allez, 2 étoiles pour ne pas me retrouver au pilori.
Les auteurs nous plongent dans ce Londres du début de XIX ème siècle, où un enquêteur de Scotland Yard mis sur une voie de garage se voit obliger de faire équipe avec des personnages singuliers pour capturer deux fous dangereux.
Le scénario est assez rapide et directe mais très prenant.
Les magnifiques dessins teintés de finesse donnent une ambiance très réussi.
La mise en page est parfois hasardeuse et on doit relire, un ou deux fois, pour bien comprendre les intentions des auteurs.
De manière générale la première partie se ce diptyque est très intéressante.
Honnêtement, Scotland Yard ne sera pas la bd de l’année. Loin s’en faut. Le scénario est assez incompréhensible avec une mise en scène et en image assez chaotique pour ne pas dire catastrophique. On se demande parfois si on n’a pas loupé une case si bien qu’on revient en arrière parfois à tort. Bref, question fluidité, il faudra repasser. La compréhension ne sera pas à son maximum.
Et puis, et surtout, c’est d’un ennui presque mortel. Il ne se passe pas grand-chose dans cette enquête qui s’étire. On ne vit pas à l’heure des personnages. Bref, l’intérêt pour cette bd qui s’inscrit dans la galaxie des fameux Sherlock Holmes dans la même collection 1800 de Jean-Luc Istin est moindre. Il y a un mélange de genre de tout ce qui pouvait compter sur l’Angleterre victorienne. On peut certes y voir un coup de génie ; cependant cela ne sera pas mon cas. Il me faut plus que des noms pour m’impressionner !
Cela ne me donne pas du tout envie de lire la suite car aucune originalité, ni inventivité. Est-ce qu’avec cela, je suis dans les clous ? Je ne le pense pas. Allez, 2 étoiles pour ne pas me retrouver au pilori.