Le scorpion
7. Au Nom du Père
Une BD de
Stephen Desberg
et
Enrico Marini
chez Dargaud
- 2006
Desberg, Stephen
(Scénario)
Marini, Enrico
(Dessin)
Marini, Enrico
(Couleurs)
Felicetti, Stella
(Lettrage)
11/2006 (01 novembre 2006) 46 pages 2505000182 Format normal 15 à 20 euros 58944
Rentrés secrètement à Rome sans la vraie croix de Saint Pierre, preuve essentielle de l’illégitimité de l’élection du cardinal Trebaldi à la papauté, le Scorpion, son ami le hussard et la gitane Méjaï découvrent une ville où, plus que jamais pressé d’effacer toutes traces de son passé, le nouveau pontife fait régner la terreur avec la complicité du Grand Inquisiteur, de la police implacable des moines guerriers et de dénonciateurs espérant sauver leur vie. Partout, des bûchers se dressent sur lesquels périssent les opposants avérés ou présumés.... Lire la suite
Un second cycle qui démarre avec un tome assez semblable au T1 de la série : l'action se situe de nouveau à Rome, et le scénario est basé sur un nouvel affrontement entre LE SCORPION et Trébaldi. Sauf que l'ambiance est beaucoup plus sombre à cause de la terreur que font régner Trébaldi et ses moines-soldats dans la Ville Eternelle.
Cet album est très plaisant, tant par le dessin - toujours aussi épatant - que par le scénario - accrocheur bien qu'il y ait moins d'humour et de frivolité. Un album marqué par une révélation tellement énorme qu'elle semble trop grosse pour être vraie ... A suivre.
Tout est bon dans cet épisode. Le scénario nous tient en haleine et termine par un coup de théatre. Les personnages évoluent lentement mais surement. Dans cette série personne n'est complètement blanc ou noir.
Enfin restent les dessins impeccables, ces illustrations faisant au fil des pages l'une des grande force de cette série.
Merçi au auteurs.
9/10.
Vraiment le meilleur album de la série surtout par son coté plus sérieux.
Le Scorpion est vraiment décidé à tout pour faire tomber Trébaldi, à qui il en veut, surtout depuis les diverses agressions qu'il à subit.
Déjà la série était bien, mais la elle va etre encore mieux, vivement le prochain.
Meilleur album que les précédents, l'histoire devenant plus sombre. Si le dessin est toujours aussi beau, en revanche, on désespère que l'histoire avance plus rapidement.
Correct, sans plus.
Pour moi, un des meilleurs tomes de la série. Avec ce nouveau cycle, on change radicalement de ton. Plus de plaisenteries ni autres légèretés du 1er cycle. Les couleurs sont bien différentes et marquent bien une nouvelle approche des deux auteurs. Au final, ils parviennent à relancer une série de bien belle manière.
J'ai découvert la série il y a peu à l'occasion de la sortie du petit dernier. Le deuxième cycle commence sur les chapeaux de roue. Le dessin s'affirme encore davantage. Les couleurs restent superbes. L'histoire suit, en bref on passe un excellent moment.
Le nouveau cycle démarre très fort, les planches sont superbement dessinées et collent parfaitement à l'ambiance délétère qui règne à Rome. De nouveaux protagonistes prennent la place des anciens et commencent à s'affirmer. Le tandem Marini Desberg nous emmène dans un combat à mort contre le totalitarisme, et c'est très efficace !
Cet album s'inscrit dans la continuité de la série même s'il s'agit d'un nouveau cycle. Il compte un certain nombre d'évènements majeurs et quelques révélations. Les dessins sont toujours aussi excellents et les couleurs font une ambiance qui environne un scorpion assez fâché !
Les dessins sont de plus en plus beaux même si les couleurs ne sont plus des couleurs vives et chaudes mais au contraire sombres et avec des jeux d'ombres magnifiques ! Et les dessins collent parfaitement au sénario : Le Scorpion a laissé sont humour de coté, il est de retour a Rome pour se venger et faire le ménage par n'importe quel moyen et on le voit déja rien que sur la couverture ! On en apprend sur des personnages secondaires dans les autres tomes comme le frère de Trebaldi par exemple et l'histoire avance suffisament, tout en nous tenant en haleine pour la suite ! Un très bon début de cylce a une série qui ne perd rien de son intéret !
Le propre des bd de Marini, Le Scorpion dans ce cas de figure, c'est qu'on n'est jamais déçu. Au nom du Père, est absolument somptueux. J'ai l'impression qu'il s'améliore à chaque fois. Tout est minutieusement parfait. Les couleurs, les plans, le mouvement etc. J'ai adoré ce numéro 7. Il faut aussi féliciter Desberg, qui rete très fidèle à la tradition du Scorpion. Il nous livre un des meilleurs scenarii qu'il n'ait peut-être jamais "pondu", si j'ose m'exprimer ainsi. Splendide!