Le scorpion
4. Le Démon au Vatican
Une BD de
Stephen Desberg
et
Enrico Marini
chez Dargaud
- 2004
Desberg, Stephen
(Scénario)
Marini, Enrico
(Dessin)
Marini, Enrico
(Couleurs)
Felicetti, Stella
(Lettrage)
04/2004 (08 avril 2004) 46 pages 2871295700 Format normal 15 à 20 euros 34408
La fumée blanche confirmant l'élection d'un nouveau pape s'est élevée au-dessus du Vatican. Mais, n'est-ce pas le démon qui vient de ceindre la tiare pontificale ? Sur la foi d'un signe merveilleux, le sombre cardinal Trebaldi s'est fait élire à la succession de saint Pierre... Un miracle aurait fait apparaître la croix de saint Pierre au coeur de la ville éternelle, dans les entrailles mêmes du palais ancestral des Trebaldi ! Chercheur réputé de reliques lucratives, le Scorpion a suffisamment décortiqué les textes anciens et fouillé les sous-sols... Lire la suite
Un T4 palpitant dans une ambiance qui se rapproche de plus en plus du thriller ésotérique. Si les classiques du genre "capes et épées" demeurent (duels au sabre, poursuites à cheval, cascades, etc.), saupoudrés de quelques jeux de séduction entre les personnages qui viennent pimenter le tout, la vraie bonne idée de cet album aura été de camper l'action dans l'envoûtante cité d'Istanbul. De nouveaux décors qui changent de Rome et évitent ainsi le risque de monotonie dans laquelle la série aurait pu s'enfermer.
Une astuce scénaristique d'autant plus bienvenue que ces décors sont magnifiquement mis en valeur, les dessins étant superbes, comme toujours.
Plutôt bon ce quatrième tome, surtout pour son scénario mélant vérité historique, histoire de cape et d'épées et une bonne dose d'humour.
Seuls les dessins gagneraient à être plus travaillés, on a parfois l'impression que les couleurs bavent.
Un bon moment de détente.
7/10.
Içi on retrouve le scorpion qui prend le large à bord d'un bateau pour aller de l'autre coté de la mer, au moyen orient.
La relationentre le scorpion et Méjai est de plus en plus proche, se qui rend d'autant plus dufficile le voyage en compagnie de l'autre charmante femme.
Une fois chez le sultan, la garce de fille piège les trois aventuriers.
Afin de faire tomber le cardinal Trebaldi, le Scorpion décide de partir pour Istanbul afin de retrouver la croix sur laquelle Saint Pierre aurait été crucifié.
Deux femmes mystérieuses et dangereuses l'accompagne : Méjaï et Ansea Lattal. Arrivé à Istanbul la quête d'indices commence mais les ennuis aussi.
Toujours aussi bien, on ne s'ennuie pas = un vrai moment de plaisir
Cet épisode est superbe, action, amour, duperie, assassinats, fourberies et heureusement amitié. La quête archéologique et historique de notre scorpion est palpitance, voir très piquante et les planches sont superbes, un vrai bonheur.
Ce quatrième tome est du même niveau que les albums précédents.
Le dessin est toujours aussi réussi. Enrico Marini nous offre une nouvelle fois des décors d’une rare qualité graphique magnifiquement réaussés par des couleurs chaudes.
Au niveau de l'intrigue, on ne s’ennuie pas une seconde car le scénario de Stephen Desberg garde un rythme effréné. Les flash back sur l'enfance du Scorpion donnent une certaine épaisseur au personnage et permettent de mieux comprendre le héros.
Cet album lève un petit coin du voile, mais laisse planer un grand nombre de questions. Qu'elle est l’identité du mystérieux Rochnan ? Quel est le véritable père du Scorpion : le défunt Pape, ou l'infâme cardinal Trebaldi ? Qui de la gitane Méjaï ou de l'épéiste Ansea Latal finira la première dans le lit du Scorpion ?
Une réussite qui donne envie de lire la suite !
La série reste encore d'un très haut niveau même si je trouve que l'auteur essait quelques relations amoureuses triangulaires (amour, haine, jalousie) assez clichés. Les personnages ont toutefois le mérite de ne pas être totalement manichéens. Lh'istoire se déplace en turquie, ce qui permet de nouveaux paysages majestueux.
Le scorpion est une bonne série tant au niveau du dessin, toujours superbe, et du scénario. Je suis d'accord avec Grimm sur le fait que ce tome 4 redynamise la série et les femmes de cet opus sont vraiment superbes.
Un vrai régal à lire
En sortant le Scorpion de Rome,les auteurs font bien évoluer le récit en dévoilant tjrs par morceaux certains pts des personnages ( l'enfance de Scorpion,le passé de Rochnan qui est tjrs aussi trouble).
les dessins et les combats sont tjrs aussi beaux.
j'espere que cela va continuer comme cela.
Ce tome 4 marque un tournant dans la série car l'histoire se déplace de Rome vers Istanbul et c'est là que commence vraiment la quête du scorpion. De plus on en apprend davantage sur l'enfance du scorpion et on comprend bien vite pourquoi il est devenue ce qu'il est aujourd'hui. Les relations entre les divers personnages sont assez complexes et laissent présager d'un développement fort intéressant.
J'avais le sentiment que la série s'essoufflait. Eh bien non!
Ca repart en effet avec un tome 4 très réussi. D'abord l'action sort de Rome et nous emmène vers l'Orient, on voit évoluer les rapports troubles entre le scorpion et Méjaï l'empoisonneuse (amie ou ennemie ?). Et puis il y a l'entrée en scène de la belle rousse, inaugurant l'arrivée sur le devant de la scène de laquerelle entre les familles.
Le dessin est toujours aussi réussi et le scénar reprend vraiment un second souffle.