Les schtroumpfs
6. Le cosmoschtroumpf
Une BD de
Yvan Delporte
et
Peyo
chez Dupuis
- 1970
Delporte, Yvan
(Scénario)
Peyo
(Scénario)
Gos
(Scénario)
Peyo
(Dessin)
Gos
(Dessin)
Walthéry, François
(Dessin)
<Quadrichromie>
(Couleurs)
01/1970 60 pages Format normal 30 à 50 euros 336
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
HS -
HS1 -
HS2 -
HS3 -
MBD07 -
Pir -
Pir1 -
Pir2 -
Pir3 -
Pir4 -
Pub -
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Pub5 -
Total1
Décidément, Peyo n'arrête pas de schtroumpfer de schtroumpfs albums! C'est dans cet album que l'on nous dit pour la première fois que les Schtroumpfs sont au nombre de cent!
Le Cosmoschtroumpf : 5/5
L'une des meilleures histoires de la série, le Cosmoschtroumpf se démarque vraiment par son humour. Les Schtroumpfs, toujours enclins à aider leurs semblables, vont faire des efforts herculéens pour laisser croire au Cosmoschtroumpf qu'il est vraiment arrivé sur une nouvelle planète! Tout fonctionne, de la construction de la palissade jusqu'à la tentative de décollage, du jus de framboise jusqu'à la transformation des Schtroumpfs en Schlips, des épreuves jusqu'au retour! Il est très amusant de voir le Cosmoschtroumpf se moquer du Grand Schtroumpf sans qu'il ne puisse rien dire... Une véritable réussite. Vive les Schlips!
Le Schtroumpfeur de pluie : 4/5
Même la petite histoire est super! Un Schtroumpf va fabriquer une machine à faire la pluie et le beau temps, et elle va bien sûr se détraquer complètement, forçant ainsi nos amis à faire face à toutes sortes de changements météorologiques. Rigolo et agréable à lire.
belle histoire des schtroumpfs,pas trés compliquée et qui se lie tranquillement,album que j'ai lue en une journée et avec le talent de peyo
Tourner la dernière page du tome IV de Blast, m’a donné une incoercible envie de relire Le cosmoschtroumpf. C’est vrai qu’ils sont sympa les Schtroumpfs. Ils sont petits, ils sont tout bleus. Ils parlent pas comme vous et moi, ils parlent schtroumpf. Des fois on comprend pas, mais c’est pas grave. Heureusement qu’au commissariat de Blast, ils parlaient pas Schtroumpf, sinon je vous schtroumpf, heu je vous dis pas. Chez les Schtroumpfs, il y a le Schtroumpf farceur. Il est marrant celui-là. Il fait des farces. Et puis il y a le Schtroumpf coquet, le Schtroumpf costaud, le Schtroumpf à lunettes, comme dans Blast. Le Schtroumpf gourmand comme dans Blast aussi. Sauf que lui, il ne mange pas des barres de chocolat Funky, mais un Choco BN (pl. 33) et il a bien raison, c’est bon les Choco BN.
Et puis cette fois, il y a le Cosmoschtroumpf. Le Cosmoschtroumpf il a un rêve. Il veut aller dans le cosmos. C’est pour ça qu’il s’appelle le Cosmoschtroumpf. C’est sûr que d’habiter qu’avec des garçons dans un village paumé, à la longue, ça peut donner des idées.
Du coup, le Cosmoschtroumpf il se construit une fusée derrière un mur. Un mur pour pas qu’on voit derrière : une lapalissade.
Petit problème, sa fusée elle marche ni à la voile ni à la vapeur et c'est bien connu, il ne faut pas confondre paravent et faux-départ. Du coup il ne peut pas réaliser son rêve et il n’y a rien de pire que les rêves qu’on ne peut réaliser. C’est pour ça qu’il y a aussi les Schlips. Les Schlips, c’est des Schtroumpfs déguisés en Schlips qui font croire au Cosmoschtroumpf qu’ils sont des Schlips et non des Schtroumpfs pour qu’il ne soit plus triste. Et ça rate pas ! Le Cosmoschtroumpf, il fait copain-copain avec. A tel point qu’il n'y a pas moyen de s’en débarrasser. Il tape l'incrust'. Du coup les Schlips ils lui font subir pleins d’épreuves initiatiques pour lui passer l’envie de rester : monter en haut du mat, tirer dans une cible les yeux bandés, nager avec une pierre, se battre avec un Schlips. C’est le moment le plus rigolo de l’histoire.
Je viens de réaliser que je ne serais même pas capable d'en réussir une seule, dépreuve... Ça c'est moins rigolo. Bah, encore un mauvais moment à passer.
C'est décidé, je ne lirai plus jamais d’histoires de psychopathes en noir & blanc.
Il est temps de revenir sur terre. Dès que j’ai fini «Maus» je relis « La Schtroumpfette. »