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Say Hello to black Jack T 8 !
Chroniques de Cancérologie
Nous avions les prémices lors des tomes précédents ( Cf t 4 et t 7 !), cette
fois-ci c’est bien le rapport au corps et le gouffre qui nous sépare de la mort qui sont abordés dans ce nouveau tome.
Avec le cheminement de cette vieille femme, à la fois extérieur ( vers l’arbre !- je vous laisse trouver le symbole !), et celui à l’intérieur du système hospitalier Japonais, c’est-à-dire le traitement lourd du au cancer. C’est le corps et le visage de cette femme qui va de plus en plus se creuser pour finir par etre méconnaissable, c’est ce corps malade et meurtri qui petit à petit nous touchera, il en deviendra meme genant. On est loin des amours inconditionnels, absolus, et hypocrite que l’on nous bassine à longueur de temps.
A partir de cette femme on peut faire un parallèle avec la réconciliation entre les 2 « tuteurs » qui ont des méthodes différentes de traitement. Evidemment cette réconciliation n’aurait pas pu avoir lieu sans l’effort de notre cher Don Quichotte.
Cela n’empeche pas notre héros d’etre au bord des larmes ( j’ai dit au bord !) lors de son départ du service.
Par là, il devient évident que l’auteur utilise les memes procédés à chaque fin de service.
Malgré tout un tome qui questionne l’existence, et l’absence laissé par le corps mort.
(Pour la première question se reporter au début du tome, et pour la seconde c’est lors du discours de notre jeune interne devant l’assemblée des médecins.)
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Chroniques de Cancérologie
Nous avions les prémices lors des tomes précédents ( Cf t 4 et t 7 !), cette
fois-ci c’est bien le rapport au corps et le gouffre qui nous sépare de la mort qui sont abordés dans ce nouveau tome.
Avec le cheminement de cette vieille femme, à la fois extérieur ( vers l’arbre !- je vous laisse trouver le symbole !), et celui à l’intérieur du système hospitalier Japonais, c’est-à-dire le traitement lourd du au cancer. C’est le corps et le visage de cette femme qui va de plus en plus se creuser pour finir par etre méconnaissable, c’est ce corps malade et meurtri qui petit à petit nous touchera, il en deviendra meme genant. On est loin des amours inconditionnels, absolus, et hypocrite que l’on nous bassine à longueur de temps.
A partir de cette femme on peut faire un parallèle avec la réconciliation entre les 2 « tuteurs » qui ont des méthodes différentes de traitement. Evidemment cette réconciliation n’aurait pas pu avoir lieu sans l’effort de notre cher Don Quichotte.
Cela n’empeche pas notre héros d’etre au bord des larmes ( j’ai dit au bord !) lors de son départ du service.
Par là, il devient évident que l’auteur utilise les memes procédés à chaque fin de service.
Malgré tout un tome qui questionne l’existence, et l’absence laissé par le corps mort.
(Pour la première question se reporter au début du tome, et pour la seconde c’est lors du discours de notre jeune interne devant l’assemblée des médecins.)
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