Sarah
2. Les enfants de Salamanca - Deuxième partie
Une BD de Christophe Bec et Stefano Raffaele chez Dupuis - 2010
06/2010 (04 juin 2010) 62 pages 9782800144078 Grand format 107176
Les créatures se réveillent à Salamanca, l'affrontement débute... Sarah est une jeune femme traumatisée. Enfant, elle avait subi les sévices d'un serial killer. Pour oublier son passé et se "reconstruire", elle s'est installée à Salamanca avec David, son mari. Mais Salamanca semble une petite ville trop calme. Pas d'enfants dans les rues, pas d'écoles, comme si une malédiction s'était abattue sur la région. Et au fond de la cave de leur maison, Sarah découvre un inquiétant tunnel qui mène chez les Westmore, ses non moins inquiétants voisins. C'est... Lire la suite
Encore meilleur que le tome 1.
Une ambiance glauque à souhait.
Des secrets cachés par poignée, des personnages à la psychologie complexe plus proche du déséquilibre mental que que l'archétype du héros.
Et des dessins sublimes. Un vrai coup de coeur pour les pages 36 et 37 et les chutes du Niagara.
A découvrir d'urgence.
10/10.
Le Tome 2 est dans une totale continuité du 1er opus.
Sarah passe en mode "investigation" pour découvrir qui se cache derrière ce gamin sur la photo... & beaucoup de découvertes permettront de comprendre l'attitude de cet "enfant"...
Son compagnon sera aux premières loges mais pas de la meilleure des façons...
Bref, beaucoup de suspens. Avec une atmosphère tendue très bien retranscrite par les dessins de S. Raffaele, on a cette sensation étrange à la fin de cet album : ce malaise déjà présent dans le 1er tome. Un malaise qui émane de Salamanca & de son lourd secret.
& j'aime toujours autant l'évolution du personnage de Sarah. On en sait d'ailleurs un peu plus sur son passé traumatisant ce qui permet de mieux cerner sa personnalité dotée d'une incroyable carapace...
Voyons voir si le 3ème tome apporte toutes les réponses. En tout cas on a envie de savoir... Même si C. Bec nous offre une histoire avec des airs familiers en comparant d'autres récits, il nous la raconte tellement bien qu'on se prête au jeu sans difficulté...