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San Antonio en BD c'est comme prendre la machine à remonter chez Pompidou! Avec les blagues potaches( et pas drôles du tout, du coup...) les poncifs sexistes (inexistences du (seul) personnage féminin) et les acceptations d'hier non acceptables d'aujourd'hui ( sérieux, on peut se marrer sur la torture?") de l'époque 70...
Alors du coup ça a quand même mal vieilli et donc on voyage dans le temps avec sa lecture. C'était comme ça avant la BD ? Evidemment pas.
Mais cette collection ci est faite pour surfer sur la vague du succès San Antonionesque. Alors les dessins, ils sont plusieurs et ils sont au zef tellement qu'il y a aucune harmonie dans l'atelier et l'histoire est un prétexte à raconter de la blague et du calembour. Ce n'est donc pas de la BD mais une commande.
Sauf que les autres opus sont plus n'importenawak dans le déroulé, plus nanardesque et donc plus jouissive à la lecture au 12ème degrés. Là, je regrette même que cela soit trop sage dans le foufou, trop gentillet dans le bordelique, Il y a même des blagues rigolotes, c'est dire...
Entendons nous bien quand même...C'est nanardesque ? Oui. Mais ça vire parfois dans le simple navet. Parce que les auteurs essayent de construire une vrai histoire. Et ça c'est pas bien de vouloir faire son métier.
Pour moi cette série est la plus nanardesque de tout le 9ème art et c'est pour cela qu'elle a toute sa place dans ma bibliothèque. Et cet opus est le plus sérieux. Dommage...
Franz a travaillé au studio Desclez à ses débuts, c'est en effet Franz qui dessina les 2 premiers albums adaptés des romans de Frédéric Dard, et ce n'est pas le mieux qu'il ai pu faire ! Le dessin de Franz ( que l'on reconnaît assez facilement si on connaît sa série Korrigan- moi-même j'ai eu du mal à m'y faire ! ) n'est certes pas à son paroxysme mais il varie ici entre humoristique et réaliste et cela lui colle plutôt bien- on atteint pas la perfection des Jugurtha ni celle de "poupée d'ivoire" ou Lester Cockney, mais je vous rappelle que Franz débute ! Les textes sont terriblement longs, ennuyeux, pour ne pas dire casse c.... !
A lire pour les dialogues, les jeux de mots et le coté dejanté de la bd. L'intrigue de l'histoire n'est que pretexte a des situations grotesque et cocasses.
Ah la la la nostalgie!!
San Antonio en BD c'est comme prendre la machine à remonter chez Pompidou! Avec les blagues potaches( et pas drôles du tout, du coup...) les poncifs sexistes (inexistences du (seul) personnage féminin) et les acceptations d'hier non acceptables d'aujourd'hui ( sérieux, on peut se marrer sur la torture?") de l'époque 70...
Alors du coup ça a quand même mal vieilli et donc on voyage dans le temps avec sa lecture. C'était comme ça avant la BD ? Evidemment pas.
Mais cette collection ci est faite pour surfer sur la vague du succès San Antonionesque. Alors les dessins, ils sont plusieurs et ils sont au zef tellement qu'il y a aucune harmonie dans l'atelier et l'histoire est un prétexte à raconter de la blague et du calembour. Ce n'est donc pas de la BD mais une commande.
Sauf que les autres opus sont plus n'importenawak dans le déroulé, plus nanardesque et donc plus jouissive à la lecture au 12ème degrés. Là, je regrette même que cela soit trop sage dans le foufou, trop gentillet dans le bordelique, Il y a même des blagues rigolotes, c'est dire...
Entendons nous bien quand même...C'est nanardesque ? Oui. Mais ça vire parfois dans le simple navet. Parce que les auteurs essayent de construire une vrai histoire. Et ça c'est pas bien de vouloir faire son métier.
Pour moi cette série est la plus nanardesque de tout le 9ème art et c'est pour cela qu'elle a toute sa place dans ma bibliothèque. Et cet opus est le plus sérieux. Dommage...
Franz a travaillé au studio Desclez à ses débuts, c'est en effet Franz qui dessina les 2 premiers albums adaptés des romans de Frédéric Dard, et ce n'est pas le mieux qu'il ai pu faire ! Le dessin de Franz ( que l'on reconnaît assez facilement si on connaît sa série Korrigan- moi-même j'ai eu du mal à m'y faire ! ) n'est certes pas à son paroxysme mais il varie ici entre humoristique et réaliste et cela lui colle plutôt bien- on atteint pas la perfection des Jugurtha ni celle de "poupée d'ivoire" ou Lester Cockney, mais je vous rappelle que Franz débute ! Les textes sont terriblement longs, ennuyeux, pour ne pas dire casse c.... !
Une des BDs les plus hilarantes que j'ai jamais lues!
tout simplement excellent
pour moi sans comparaison avec les livres de la même série
A lire pour les dialogues, les jeux de mots et le coté dejanté de la bd. L'intrigue de l'histoire n'est que pretexte a des situations grotesque et cocasses.