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La série "fleuve noir bd" de San Antonio est une commande pour surfer, à l'époque, sur le succès incroyable des livres ( toujours considéré aujourd'hui comme un monument de la littérature populaire française).
Foutraque, l'histoire nous envoie dans une Amérique du sud à la Pancho Villa fantasmée. Les calembours souvent lourdingues et datés fourmillent dans tous les dialogues. Il y a des moments ou l'on sourit tout de même. Le personnage de Béru est bien le seul à être drôle dans tout ce fatras mais il emprunte tellement à Obélix dans ses comportements que cela pourrait être considéré comme du plagiat.
Les dessins sont faits en atelier, donc à plusieurs. L'album est une commande à livrer vite et cela se ressent dans les visuels, les cadrages et les (rares) décors.
Cette série pourtant est dans ma bibliothéque. Alors pourquoi y est-elle? car il y a de la madeleine de Proust dans cette œuvre. C'est le plaisir de lire un temps révolu, une époque qui a cessé, qui me plait. Hors, dans cet opus, ce plaisir nostalgique ne prend pas. peut être parce que l'action ne se déroule pas en France justement. Car les autres albums sont des nanars merveilleux ! Et ici à part le régime de Béru, rien ne m'est nostalgique.
On retrouve les personnages de San Antonio, on retrouve le phrasé de San Antonio, on retrouve le délire et les aventures extravagantes avec de bonnes astuces…
Le dessin n’est pas si mauvais : rond, caricatural, il convient assez bien à Béru ou Marie-Marie… Mais le côté plus réaliste de San-Antonio, s’il lui convient aussi, donne un mélange un peu étrange.
Et puis qu’est-ce que c’est bavard !
C’est ultra chargé, il y en a partout ! C’en est presque fatigant…
Ajouté à ça le côté plus enfantin que donne le fils, Patrice, à l’œuvre du père, Frédéric Dard, et on obtient quelque chose qui fonctionne mais sans donner pleine satisfaction.
Ça ressemble à du San-A. mais ça n’est pas du San-A.…
Pffff ! pas facile facile de reconnaître les dessins du remarquable Franz ( et pourtant, c'est bien Franz qui a dessiné cette grosse m.... ) et je ne parle pas du scénario ni des dialogues assez affligeants ! La note de 2- je ne peux pas monter plus, va droit à Franz dont j'admirais le talent sur des séries qui lui convenaient mieux comme Jugurtha, Brougue, Lester Cockney ou Poupée d'Ivoire !
Tres bon album. Toujours de tres bons dialogues. De plus l'histoire est aptivante. Le gros Beru est mis a mal, il doit perdre tous ses kilos pour reussir une mission ' commando'. Un regal!
Franchement, une bd un peu à part, ça a beau être du n'importe quoi, les dessins assez nostalgiques sont plutôt détaillés et l'humour, bien que décalé, me fait bien marrer, la bd est truffée de jeux de mots ou de réflexions amusantes.
A lire plusieurs fois pour les détails des cases.
Par contre je ne sais pas ce que valent les autres albums.
Je n'en connais qu'un mais j'aimerais bien lire les autres.
N'étant pas un lecteur de "San-Antonio", je ne peux pas comparer la bd et les bouquins. La bd elle est marrante. :-)
Autant les aventures signées San Antonio (Frédéric Dard) parues au format poche au Fleuve Noir sont des petits chefs d'oeuvres, autant l'adaptation en Bande Dessinée supervisée par le fils, Patrice Dard, et une armée de tâcherons du Studio Desclez sont une catastrophe.
Le pire c'est que ces ouvrages jouissent d'une côte assez élevée...
La série est un OVNI fruit des oeuvres du studio Desclez.
Henri Desclez était alors rédacteur en chef du journal Tintin après un passage chez Rossel (éditeur du journal belge, Le Soir et de Yalek).
Desclez avait constitué un studio dont faisait partie Franz Drappier, le futur dessinateur de Poupée d'Ivoire, Jugurtha et tant d'autres séries. Le dessin de Franz se reconnaît dans les traits de San Antonio.
La série "fleuve noir bd" de San Antonio est une commande pour surfer, à l'époque, sur le succès incroyable des livres ( toujours considéré aujourd'hui comme un monument de la littérature populaire française).
Foutraque, l'histoire nous envoie dans une Amérique du sud à la Pancho Villa fantasmée. Les calembours souvent lourdingues et datés fourmillent dans tous les dialogues. Il y a des moments ou l'on sourit tout de même. Le personnage de Béru est bien le seul à être drôle dans tout ce fatras mais il emprunte tellement à Obélix dans ses comportements que cela pourrait être considéré comme du plagiat.
Les dessins sont faits en atelier, donc à plusieurs. L'album est une commande à livrer vite et cela se ressent dans les visuels, les cadrages et les (rares) décors.
Cette série pourtant est dans ma bibliothéque. Alors pourquoi y est-elle? car il y a de la madeleine de Proust dans cette œuvre. C'est le plaisir de lire un temps révolu, une époque qui a cessé, qui me plait. Hors, dans cet opus, ce plaisir nostalgique ne prend pas. peut être parce que l'action ne se déroule pas en France justement. Car les autres albums sont des nanars merveilleux ! Et ici à part le régime de Béru, rien ne m'est nostalgique.
Bon…
On retrouve les personnages de San Antonio, on retrouve le phrasé de San Antonio, on retrouve le délire et les aventures extravagantes avec de bonnes astuces…
Le dessin n’est pas si mauvais : rond, caricatural, il convient assez bien à Béru ou Marie-Marie… Mais le côté plus réaliste de San-Antonio, s’il lui convient aussi, donne un mélange un peu étrange.
Et puis qu’est-ce que c’est bavard !
C’est ultra chargé, il y en a partout ! C’en est presque fatigant…
Ajouté à ça le côté plus enfantin que donne le fils, Patrice, à l’œuvre du père, Frédéric Dard, et on obtient quelque chose qui fonctionne mais sans donner pleine satisfaction.
Ça ressemble à du San-A. mais ça n’est pas du San-A.…
Pffff ! pas facile facile de reconnaître les dessins du remarquable Franz ( et pourtant, c'est bien Franz qui a dessiné cette grosse m.... ) et je ne parle pas du scénario ni des dialogues assez affligeants ! La note de 2- je ne peux pas monter plus, va droit à Franz dont j'admirais le talent sur des séries qui lui convenaient mieux comme Jugurtha, Brougue, Lester Cockney ou Poupée d'Ivoire !
Une des BDs les plus hilarantes que j'ai jamais lues!
tout simplement excellent
pour moi sans comparaison avec les livres de la même série
Tres bon album. Toujours de tres bons dialogues. De plus l'histoire est aptivante. Le gros Beru est mis a mal, il doit perdre tous ses kilos pour reussir une mission ' commando'. Un regal!
Franchement, une bd un peu à part, ça a beau être du n'importe quoi, les dessins assez nostalgiques sont plutôt détaillés et l'humour, bien que décalé, me fait bien marrer, la bd est truffée de jeux de mots ou de réflexions amusantes.
A lire plusieurs fois pour les détails des cases.
Par contre je ne sais pas ce que valent les autres albums.
Je n'en connais qu'un mais j'aimerais bien lire les autres.
N'étant pas un lecteur de "San-Antonio", je ne peux pas comparer la bd et les bouquins. La bd elle est marrante. :-)
Autant les aventures signées San Antonio (Frédéric Dard) parues au format poche au Fleuve Noir sont des petits chefs d'oeuvres, autant l'adaptation en Bande Dessinée supervisée par le fils, Patrice Dard, et une armée de tâcherons du Studio Desclez sont une catastrophe.
Le pire c'est que ces ouvrages jouissent d'une côte assez élevée...
La série est un OVNI fruit des oeuvres du studio Desclez.
Henri Desclez était alors rédacteur en chef du journal Tintin après un passage chez Rossel (éditeur du journal belge, Le Soir et de Yalek).
Desclez avait constitué un studio dont faisait partie Franz Drappier, le futur dessinateur de Poupée d'Ivoire, Jugurtha et tant d'autres séries. Le dessin de Franz se reconnaît dans les traits de San Antonio.