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Le dessin de Cristina Mormile laisse à désirer dans cet album. La succession de Frédéric Genêt ne doit pas être facile. Néanmoins, je pense que c’est un mal temporaire car ayant entrouvert l’album suivant, j’ai pu constater un net progrès. Quant au scénario, il est mignonnet. C’est un album de transition et de reconstruction avec un nouveau dessinateur...
Grand fan de la série, j'ai été très déçu sur plusieurs points:
-Fred Genêt n'est mentionné que parce qu'il a dessiné la (magnifique) couverture et on se rend compte du décalage graphique d'avec la série, j'ignore si la transition est définitive mais j'ai eu la désagréable sensation d'être floué.
-Concernant la couverture; celle-ci est vraiment attirante: une jeune fille en seiza avec une statuette d'une divinité mystérieuse et un tanto, on sent la vengeance et le shintoïsme à plein nez ... et mieux vaut s'en tenir là car le scénario paraît baclé.
-Ensuite, comme Sam-le-Gris, Takeo fait bien triste mine, lui qu'on a connu plus engagé et enragé, d'autant plus que les postures, gardes et mouvements d'arts martiaux sont approximatifs, voire inexistants dans la pratique de ces dits arts martiaux.
-Enfin, autant le chapitre épilogue du numéro 9 me paraissait être du merchandising pur, histoire de ne pas se passer du tome 10, mais avait pour lui de présenter un nouveau personnage mystérieux et dangereux, autant le tome 10 n'aborde pas (ou très peu) cette trame et ne nous laisse pas apprécier tout le potentiel de Ririko.
En bref, album très bof d'une série sympa où le seul mérite réside dans l'illustration de la couverture, c'est dire si c'est gratuit.
Le dessin de Cristina Mormile laisse à désirer dans cet album. La succession de Frédéric Genêt ne doit pas être facile. Néanmoins, je pense que c’est un mal temporaire car ayant entrouvert l’album suivant, j’ai pu constater un net progrès. Quant au scénario, il est mignonnet. C’est un album de transition et de reconstruction avec un nouveau dessinateur...
Grand fan de la série, j'ai été très déçu sur plusieurs points:
-Fred Genêt n'est mentionné que parce qu'il a dessiné la (magnifique) couverture et on se rend compte du décalage graphique d'avec la série, j'ignore si la transition est définitive mais j'ai eu la désagréable sensation d'être floué.
-Concernant la couverture; celle-ci est vraiment attirante: une jeune fille en seiza avec une statuette d'une divinité mystérieuse et un tanto, on sent la vengeance et le shintoïsme à plein nez ... et mieux vaut s'en tenir là car le scénario paraît baclé.
-Ensuite, comme Sam-le-Gris, Takeo fait bien triste mine, lui qu'on a connu plus engagé et enragé, d'autant plus que les postures, gardes et mouvements d'arts martiaux sont approximatifs, voire inexistants dans la pratique de ces dits arts martiaux.
-Enfin, autant le chapitre épilogue du numéro 9 me paraissait être du merchandising pur, histoire de ne pas se passer du tome 10, mais avait pour lui de présenter un nouveau personnage mystérieux et dangereux, autant le tome 10 n'aborde pas (ou très peu) cette trame et ne nous laisse pas apprécier tout le potentiel de Ririko.
En bref, album très bof d'une série sympa où le seul mérite réside dans l'illustration de la couverture, c'est dire si c'est gratuit.
Après avoir relu l'ensemble de la série, ce dixième tome à un léger gout d'épisode de trop.
Fonctionnant plus comme un one shot que comme l'intro d'un nouveau cycle, l'intrigue est trop légère et le ton en décalage avec le reste de la série.
Takeo perd en superbe, en froideur, en talent... et donc en intérêt.
Dommage