Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
L'introduction est franchement réussie. Par la suite, l'histoire se met en place progressivement. On va vivre la croisière en 1887 sur l'Hudson à bord d'un bateau à vapeur et en charmante compagnie.
Il va falloir s'accrocher pour connaître le fin mot de ce conte mi-fantastique car c'est beaucoup trop long. Le dessin est certes agréable mais on ne voit pas le bout. Et quand il arrive, on n'a rien compris.
Bref, question compréhension, il faudra repasser. Je sais que je dois parfois me creuser les méninges et que rien n'est facile, ni livré sur un plateau d'argent. Pour autant, après une longue lecture, j'étais en droit d'attendre une belle conclusion que tout le monde comprendrait.
Pour le reste, il y a une ambiance de croisière que j'ai bien aimée entre onirisme, poésie et sensualité. Bref, un voyage surprenant à défaut d'être palpitant.
A travers l’histoire de Twain et de sa passagère clandestine, Siegel nous entraîne dans une sorte de mythologie du fleuve Hudson. Les ambiances tour à tour mystérieuses, humides, émouvantes, sont très bien restituées. Le dessin est intéressant. Je ne suis pas une grande connaisseuse, mais on dirait que Siegel a utilisé un type de trait par thème : presque documentaire pour les objets, inspiré des vieux dessins animés américains pour Twain, très en courbe et en sensualité pour la sirène, moins contrasté pour Lafayette…
Les quatre cent pages se lisent très vite et l’on continue à s’interroger après lecture sur nos propres « sirènes ».
Un vrai pavé que cette sirène de l'Hudson, près de 400 pages qui savent retenir le lecteur grâce notamment à un dessin très expressif où les personnages sont bien campés et les décors tout en nuances de gris reflètent bien l'ambiance humide et sensuelle du récit.
L'intrigue tient la route malgré quelques longueurs et une fin un peu énigmatique.
Peut-être plus adapté à une lecture en feuilleton que d'une seule traite.
Une œuvre originale à découvrir, un auteur à suivre.
L'introduction est franchement réussie. Par la suite, l'histoire se met en place progressivement. On va vivre la croisière en 1887 sur l'Hudson à bord d'un bateau à vapeur et en charmante compagnie.
Il va falloir s'accrocher pour connaître le fin mot de ce conte mi-fantastique car c'est beaucoup trop long. Le dessin est certes agréable mais on ne voit pas le bout. Et quand il arrive, on n'a rien compris.
Bref, question compréhension, il faudra repasser. Je sais que je dois parfois me creuser les méninges et que rien n'est facile, ni livré sur un plateau d'argent. Pour autant, après une longue lecture, j'étais en droit d'attendre une belle conclusion que tout le monde comprendrait.
Pour le reste, il y a une ambiance de croisière que j'ai bien aimée entre onirisme, poésie et sensualité. Bref, un voyage surprenant à défaut d'être palpitant.
A travers l’histoire de Twain et de sa passagère clandestine, Siegel nous entraîne dans une sorte de mythologie du fleuve Hudson. Les ambiances tour à tour mystérieuses, humides, émouvantes, sont très bien restituées. Le dessin est intéressant. Je ne suis pas une grande connaisseuse, mais on dirait que Siegel a utilisé un type de trait par thème : presque documentaire pour les objets, inspiré des vieux dessins animés américains pour Twain, très en courbe et en sensualité pour la sirène, moins contrasté pour Lafayette…
Les quatre cent pages se lisent très vite et l’on continue à s’interroger après lecture sur nos propres « sirènes ».
Un vrai pavé que cette sirène de l'Hudson, près de 400 pages qui savent retenir le lecteur grâce notamment à un dessin très expressif où les personnages sont bien campés et les décors tout en nuances de gris reflètent bien l'ambiance humide et sensuelle du récit.
L'intrigue tient la route malgré quelques longueurs et une fin un peu énigmatique.
Peut-être plus adapté à une lecture en feuilleton que d'une seule traite.
Une œuvre originale à découvrir, un auteur à suivre.