Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Or donc Richelle verse dans social-sentimental essayant de perpétuer l'esprit d'un D.H. Lawrence (ne parlons pas du style !).
Le problème est que bon nombre de personnages sont en déphasage, avec un esprit fin du XXème siècle dans une histoire qui se déroule dans les années 20.
Enfin pour faire bon poids, les auteurs se sont cru obligés de faire du Lawrence cornélien : Julia voit son amant partir en prison alors qu'elle sait son frère être l'assassin. Les liens du sang seront-ils plus forts que ceux de l'amour ?
Encore une fois, le dessin n'aide pas à ce qu'on s'attache aux personnages (c'est même plutôt le contraire !) mais tout de même n'est-ce pas là un peu trop "cliché" ?
Quant à la fin qui voit John s'évader de prison comme par enchantement, je la trouve assez irréaliste. Jusqu'à l'attitude du flic que certains jugeront "poétique" mais que je trouve grotesque car peu conforme à l'esprit de l'époque.
Or donc Richelle verse dans social-sentimental essayant de perpétuer l'esprit d'un D.H. Lawrence (ne parlons pas du style !).
Le problème est que bon nombre de personnages sont en déphasage, avec un esprit fin du XXème siècle dans une histoire qui se déroule dans les années 20.
Enfin pour faire bon poids, les auteurs se sont cru obligés de faire du Lawrence cornélien : Julia voit son amant partir en prison alors qu'elle sait son frère être l'assassin. Les liens du sang seront-ils plus forts que ceux de l'amour ?
Encore une fois, le dessin n'aide pas à ce qu'on s'attache aux personnages (c'est même plutôt le contraire !) mais tout de même n'est-ce pas là un peu trop "cliché" ?
Quant à la fin qui voit John s'évader de prison comme par enchantement, je la trouve assez irréaliste. Jusqu'à l'attitude du flic que certains jugeront "poétique" mais que je trouve grotesque car peu conforme à l'esprit de l'époque.