Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Avant de me plonger dans l’adaptation en BD de Manu Larcenet, j’ai souhaité lire le roman original de Cormac McCarthy. Et bien sûr dans la magnifique édition spéciale illustrée par Manu Larcenet.
L’homme, le petit, le caddie, la route … des propos minimalistes.
Un père et son fils errent dans le monde d’après. D’après l’apocalypse, plus rien n’est vivant, tout est noir ou gris, brulé, les cendres sont omniprésentes et recouvrent tout, balayées par le vent, la pluie, la neige. Seuls quelques humains survivent encore, des « méchants » surtout, prêts à tout pour demeurer en vie, même à manger leurs semblables. La peur est permanente dans cette quête quotidienne pour trouver de quoi manger et suivre la route, dans le froid toujours, dans un monde sans soleil, en espérant atteindre la mer, le sud où peut-être ce sera mieux …
L’apocalypse comme une évidence, plus rien n’est vivant, seules les choses du passé permettent de survivre, jusqu’à quand car les réserves s’épuisent et deviennent de plus en plus rares à trouver. Les mots échangés sont rares et précieux, la mort rôde comme une évidence également. Quand les prendra t’elle ?
C’est triste, profondément triste, on pleure, on pleure sur soi, on pleure sur la fin de l’humanité … inéluctable.
L’écriture est dépouillée, les dialogues réduits à l’essentiel, sublime tout simplement sublime.
Avant de me plonger dans l’adaptation en BD de Manu Larcenet, j’ai souhaité lire le roman original de Cormac McCarthy. Et bien sûr dans la magnifique édition spéciale illustrée par Manu Larcenet.
L’homme, le petit, le caddie, la route … des propos minimalistes.
Un père et son fils errent dans le monde d’après. D’après l’apocalypse, plus rien n’est vivant, tout est noir ou gris, brulé, les cendres sont omniprésentes et recouvrent tout, balayées par le vent, la pluie, la neige. Seuls quelques humains survivent encore, des « méchants » surtout, prêts à tout pour demeurer en vie, même à manger leurs semblables. La peur est permanente dans cette quête quotidienne pour trouver de quoi manger et suivre la route, dans le froid toujours, dans un monde sans soleil, en espérant atteindre la mer, le sud où peut-être ce sera mieux …
L’apocalypse comme une évidence, plus rien n’est vivant, seules les choses du passé permettent de survivre, jusqu’à quand car les réserves s’épuisent et deviennent de plus en plus rares à trouver. Les mots échangés sont rares et précieux, la mort rôde comme une évidence également. Quand les prendra t’elle ?
C’est triste, profondément triste, on pleure, on pleure sur soi, on pleure sur la fin de l’humanité … inéluctable.
L’écriture est dépouillée, les dialogues réduits à l’essentiel, sublime tout simplement sublime.