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Le roi invisible raconte la vie d'un guitariste qui avait toutes les compétences requises pour terminer parmi les plus grands. Au lieu de cela, il termina dans l'anonymat. On rencontre des artistes dans le milieu de la chanson, du cinéma et même de la bd où l'on sent le génie mais ils ne sont pas reconnus. Il est vrai que certains peintres sont devenus célèbres bien après leur mort. L'art est un milieu parfois très ingrat où l'on oublie des génies et où on élève la médiocrité voire l'imposture.
C'était une très bonne idée de départ de raconter le destin d'Oscar Aleman qui était un jazzman de génie, admiré par Duke Ellington, Louis Armstrong ou Django Reinhardt. Et pourtant, ses propres compatriotes argentins l'ignorent totalement ! Oscar Aleman a connu la gloire comme la misère, passant d’un extrême à l’autre, ballotté par les amours et désamours du public. Cet ouvrage est une sorte de réhabilitation. L'auteur nous indique également les causes de cette désaffection qui guette les artistes.
On sent que l'auteur a dû faire de nombreuses recherches qui n'étaient pas faciles d'accès.
Pourtant, je n'ai pas adhéré du tout. J'ai d'abord eu beaucoup de mal avec ce graphisme étrange. Puis, il y a ces nombreuses bulles bavardes et peu intéressantes qui ralentissent sérieusement le rythme de l'histoire. Et enfin, de nombreux flash-backs nous achèvent dans la compréhension de l'histoire. Il n'en fallait pas plus... C'est un peu dommage.
Le roi invisible raconte la vie d'un guitariste qui avait toutes les compétences requises pour terminer parmi les plus grands. Au lieu de cela, il termina dans l'anonymat. On rencontre des artistes dans le milieu de la chanson, du cinéma et même de la bd où l'on sent le génie mais ils ne sont pas reconnus. Il est vrai que certains peintres sont devenus célèbres bien après leur mort. L'art est un milieu parfois très ingrat où l'on oublie des génies et où on élève la médiocrité voire l'imposture.
C'était une très bonne idée de départ de raconter le destin d'Oscar Aleman qui était un jazzman de génie, admiré par Duke Ellington, Louis Armstrong ou Django Reinhardt. Et pourtant, ses propres compatriotes argentins l'ignorent totalement ! Oscar Aleman a connu la gloire comme la misère, passant d’un extrême à l’autre, ballotté par les amours et désamours du public. Cet ouvrage est une sorte de réhabilitation. L'auteur nous indique également les causes de cette désaffection qui guette les artistes.
On sent que l'auteur a dû faire de nombreuses recherches qui n'étaient pas faciles d'accès.
Pourtant, je n'ai pas adhéré du tout. J'ai d'abord eu beaucoup de mal avec ce graphisme étrange. Puis, il y a ces nombreuses bulles bavardes et peu intéressantes qui ralentissent sérieusement le rythme de l'histoire. Et enfin, de nombreux flash-backs nous achèvent dans la compréhension de l'histoire. Il n'en fallait pas plus... C'est un peu dommage.