Ric Hochet
32. Tribunal noir
Une BD de André-Paul Duchâteau et Tibet chez Lombard - 1981
01/1981 44 pages Format normal 5 à 10 euros 1686
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
Tome 7 -
Tome 8 -
Tome 9 -
Tome 10 -
Tome 11 -
Tome 12 -
Tome 13 -
Tome 14 -
Tome 15 -
Tome 16 -
Tome 17 -
Tome 18 -
Tome 19 -
Tome 20 -
Tome 21 -
Tome 22 -
Tome 23 -
Tome 24 -
Tome 25 -
Tome 26 -
Tome 27 -
Tome 28 -
Tome 29 -
Tome 30 -
Tome 31 -
Tome 32 -
Tome 33 -
Tome 34 -
Tome 35 -
Tome 36 -
Tome 37 -
Tome 38 -
Tome 39 -
Tome 40 -
Tome 41 -
Tome 42 -
Tome 43 -
Tome 44 -
Tome 45 -
Tome 46 -
Tome 47 -
Tome 48 -
Tome 49 -
Tome 50 -
Tome 51 -
Tome 52 -
Tome 53 -
Tome 54 -
Tome 55 -
Tome 56 -
Tome 57 -
Tome 58 -
Tome 59 -
Tome 60 -
Tome 61 -
Tome 62 -
Tome 63 -
Tome 64 -
Tome 65 -
Tome 66 -
Tome 67 -
Tome 68 -
Tome 69 -
Tome 70 -
Tome 71 -
Tome 72 -
Tome 73 -
Tome 74 -
Tome 75 -
Tome 76 -
Tome 77 -
Tome 78 -
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HS01 -
HS03 -
HS05 -
HS06 -
HS07 -
HS08 -
HS09 -
HS10 -
Int -
MBD01 -
PAR -
Pir2 -
Pir3 -
TL -
TL1 -
TL2
C'est un album acceptable qui, après l'interlude de K.O. en 9 rounds, ouvre véritablement la période de maturité de la série, suite à une première phase de formation (années 60) et une seconde phase expérimentale (années 70). Les personnages, à commencer par ceux de Ric, Nadine et Bourdon, nous apparaissent désormais stabilisés, l'univers de la série est bien fixé.
Ce tome en particulier est intéressant sans être passionnant. Le scénario est un peu maladroit et nous laisse sur notre faim. On voudrait en savoir plus sur ce juge et sur ce tribunal clandestin.
Une épisode farfelu sur un tribunal secret (qui n'est qu'un repère de crapules) organisant sa propre justice. Album très convenable.
Cette fois nous retrouvons le comissaire Bourdon qui se retrouve condanné par un "tribunal noir" entouré uniquement de prisonniers évadés ou autres.
Pas le meilleurs, mais plutot bon tout de meme.
Un album assez décevant, sans grand suspense. De plus, on ne croche pas à l'enlèvemetn du commisaire Bourdon qui suit ses ravisseurs trop gentilement. Le tout laisse clairement sur sa faim et on tourne les pages sans meme lire entierement les bulles, c'est dire. Seul le final reserve une petite surprise quant à l'identité du juge de ce tribunal des malfaiteurs, mais cela ne ratrappe en rien ce scénario faiblard.