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Au début était le super flic, le héros, à l'américaine, qui tombe en disgrâce après s'être attaqué à un politicien véreux. En tôle il retrouvera ceux qu'il y a envoyé et là, ça tourne à l'aigre, surtout quand Superflic fond les câbles et dézingue tout sur son passage. Commence alors un road movie sanglant...
Un scénario aussi original qu'une boîte de Léonidas certes mais qui a le mérite d'être efficace et surtout, le scénario n'est ici qu'un pretexte.
On s'engage dans Rex comme on s'enfonce dans une ballade de Tom Waits, c'est sombre, malsain, poisseux et violent, ça sent l'amérique moite et crasseuse, loin des caméras de CNN, plus proche d'une vision à la Ellroy.
Zezelj, de son trait dur et taillé à la hache nous offre une fresque noire ou ne s'exprime qu'un seul sentiment: la rage; par une seule voie: la violence et pour toute excuse: la vengeance.
Ce road movie graphique, superbe vous laissera un goût de sang dans la bouche et une devise: Pour un oeil, les deux yeux, pour une dent, toute la gueule...
Au début était le super flic, le héros, à l'américaine, qui tombe en disgrâce après s'être attaqué à un politicien véreux. En tôle il retrouvera ceux qu'il y a envoyé et là, ça tourne à l'aigre, surtout quand Superflic fond les câbles et dézingue tout sur son passage. Commence alors un road movie sanglant...
Un scénario aussi original qu'une boîte de Léonidas certes mais qui a le mérite d'être efficace et surtout, le scénario n'est ici qu'un pretexte.
On s'engage dans Rex comme on s'enfonce dans une ballade de Tom Waits, c'est sombre, malsain, poisseux et violent, ça sent l'amérique moite et crasseuse, loin des caméras de CNN, plus proche d'une vision à la Ellroy.
Zezelj, de son trait dur et taillé à la hache nous offre une fresque noire ou ne s'exprime qu'un seul sentiment: la rage; par une seule voie: la violence et pour toute excuse: la vengeance.
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