©Delcourt 2004 Corbeyran, Éric/Moreno
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Album créé dans la bedetheque le 19/05/2004 (Dernière modification le 24/12/2020 à 16:38) par Yog-volo
Le régulateur
2. Hestia
Une BD de Corbeyran, Éric et Marc Moreno chez Delcourt (Neopolis) - 2004
05/2004 46 pages 2840558203 Grand format 35854
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Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
Tome 4 -
Tome 5 -
Tome 6 -
INT1 -
INT2
Un œuvre Steampunk post-apocalyptique par excellence !
Les deux premiers tomes donnent envie de connaître la suite.
Le Régulateur Aristide Nyx est un personnage attachant et les femmes qui l'entourent Hestia et Samsonne sont magnifiques mais vénéneuses.
Excellent second tome où on apprend plus sur le passé de Nyx ainsi que sur les autres personnages. Le scénario ne se perd pas en détours inutiles et tient la route. Un très bon moment de lecture
Un deuxième tome encore meilleur que le premier.
On appréciera la minutie avec laquelle les auteurs nous décrivent ce monde futuriste né après une grande épidémie.
Les dessins sont impressionnant de détails et de perfection.
Le scénario tient la route puisqu'à la trame principale se superposent plusieurs petites histoires qui nous tiennent en haleine.
Du grand Corbeyran.
Merçi aux auteurs.
10/10.
Dessin,couleurs et scenario irreprochable, un hit en puissance.
Rien à rajouter de la même trempe que le premier, pour les amateurs de peu d exigences
Une bd géniale, culte en devenir. Tout d'abord, les dessins sont superbes, stylés, détaillés. Les couleurs à la fois sombres (en rapport avec le monde où évoluent les héros) et vives (en rapport avec la passion des personnages -couleurs des yeux, des cheveux, etc.-) sont prenantes.
Le monde (ses technologies, ses concepts politico-économiques, etc.) est cherché, original. Un vrai régal. A cela, on peut ajouter un scénrio prenant. Bref, que du bonheur.
Ce tome 2 est excellent, je le préfère au 1, car le scénario s'épanouit.
On découvre un peu plus ce monde particulier où évolue notre héros.
Je le conseille si vous aimez les complots politico-policier avec flashback sur l'enfance.
Si le régulateur tome 1 est une réussite, l'essai est plus que transformé avec ce tome 2. Le dessin est superbe , le scénario est génial. On nage dans le bonheur avec cette BD, il n'y a pas une seule seconde où on peut bailler tellement l'histoire est haletante. Une série qui au tome 2 place déjà la barre très haut. Peu importe qu'il se passe deux ans entre chaque tome pourvu qu'ils soient d'égale qualité. Du grand art !
Ce deuxième tome est vraiment superbe à tout point de vue. En effet l'intrigue évolue de manière plus que satisfaisante en laissant une grande part d'ombre. Ce que je trouve appréciable c'est que l'on en apprenne pas davantage que le personnage principal ce qui permet de mieux rentrer dans l'histoire.
Niveau dessin c'est tout simplement magnifique, un vrai régal pour les yeux on ne s'en lasse pas. Le détail, le soin apporté à chaque élément du dessin font que ne peut que s'émerveiller devant une telle réussite.
Après un premier tome très prometteur, le 2 était attendu. Maintes fois repoussé, le voici enfin. Je dirais qu'il est dans la lignée du premier: c'est un bon divertissement. Si le principe meme de la régulation est fort originale, le développement l'est beaucoup moins. Corbeyran nous offre une narration très classique (mais maîtrisée). Pas de quoi crier au génie mais pas de reproche notable non plus. Au niveau du dessin, il y a du bon et du moins bon. L'architecture, les véhicules, les vetements... tout ca est vraiment bon, l'ambiance steampunk est excellente. Je suis plus réservé pour les persos qui ont parfois des problèmes de proportions et d'attitude (les scènes de combat ne sont pas des plus convaincantes)
Au final, on a un bon album, agréable à lire. Bien sur ca reste du simple divertissement mais vu que j'ai souvent besoin de me divertir... Assurément une série à suivre, en espérant tou de même une plus grande progression du dessin d'ici le T3.
L’attente fut longue pour ce tome 2, mais qu’est-ce que c’est bon…
Pour le scénario : il est toujours aussi bon, fouillé et assez complexe. On voit que le scénariste maîtrise son monde et ses personnages.
La fin de ce nouvel opus relance l’intrigue sur de nouvelles bases et laissent de nouvelles questions en suspend.
Pour le dessin, c’est tout bonnement extraordinaire. Il se dégage de celui-ci une impression d’écrasement par une architecture lourde, métallique et sale. Le lecteur pourrait presque sentir les effluves de pollution (fumées) et de rouille de ce monde Steampunk. C’est froid et humide, gris et terne. Il s’en dégage une impression de malaise, de peur voulue afin de coller à une mégalopole de désespoir et à une société moribonde ou le meurtre est devenu un commerce.
Biapolis semble regrouper les aspects cauchemardesques de nos villes et de nos sites industrielles.
Les personnages sont extrêmement travaillés, vifs et assez typés. Les apparences (look) y jouent un rôle très important. Tout l’esthétisme repose sur les personnages féminins (Hestia & Ambrosia).
On notera néanmoins l’une ou l’autre erreur de positionnement de la part de certains personnages, mais ces derniers sont bien vite évincés par la qualité de l’ensemble.
Les scènes d’actions sont nombreuses et violentes, servis par un découpage nerveux et assez cinématographique.
Pour les couleurs, on retrouve principalement des tons ternes et tristes. La seule couleur vive est le rouge, c’est pour représenter le sang ou les vêtements et cheveux d’Hestia. Tout comme Ambrosia dont la blondeur tranche avec les couleurs de la ville.
Il s’agit donc bien de la confirmation que «Le Régulateur» est une très bonne série ou l’ambiance et le dessin y sont de qualité.