Ravage
2. Tome 2/3
Une BD de
Jean-David Morvan
et
Rey Macutay
chez Glénat
- 2017
Morvan, Jean-David
(Scénario)
Macutay, Rey
(Dessin)
Walter
(Couleurs)
Ozanam, Antoine
(Lettrage)
Barjavel, René
(Adapté de)
09/2017 (27 septembre 2017) 46 pages 9782344012307 Grand format 308870
Paris, juste après la catastrophe. Plus une trace d’électricité. La ville d’Or est à présent plongée dans la nuit. Les avions et les voitures volantes tombent comme des mouches. Visiblement, la coupure d’énergie s’est généralisée à toute la ville. Peut-être même à toute la planète… Une juste punition pour ce monde aveuglé par le progrès ? Au milieu du chaos, François se met en tête de retrouver Blanche pour la mettre en sûreté. Car privée de civilisation, l’humanité ne tarde pas à montrer son versant sombre. Dans les rues de Paris, c’est désormais... Lire la suite
Après la lecture du tome 1, j'espérais que cette suite soit plus riche en action et en rebondissements. De ce point de vu là, je n'ai pas été déçu.
En effet, le rythme s'accélère considérablement et l'histoire prend une tournure inattendue avec la formation d'un clan, qui dirigé par un chef, va tout faire pour survivre.
Le tout renforcé par de somptueuses scènes nocturnes de fin du monde dans lesquelles nous sommes facilement immergés.
Seul bémol sur quelques petites incohérences scénaristiques et erreurs de plan au début de l'album dans la tour de la ville d'or.
Cette suite est incontestablement montée d'un cran et j'attends le troisième et dernier tome avec impatience.
Le dessin est loin d’être au top. Par contre, j’accroche plutôt pas mal à l’histoire avec la formation d’un clan et la naissance d’un chef. Ceux-ci vont, pour survivre et se protéger, commettre des horreurs qu’ils n’auraient jamais songé pouvoir faire quelques jours auparavant. Cela fait froid dans le dos et une digitalisation à outrance de notre société est, je pense, une porte ouverte à un énorme Blackout. C’est un autre sujet mais le résultat…
Scénario confus, brouillon.
Dessin ébauché.
Je ne sais ce que vaut le roman, la BD est ratée.
S'il faut avoir lu le livre pour comprendre la BD...
Ne parlons pas des couvertures qui rivalisent de laideur !