Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Histoire terrible et sans concession, dessin âpre magnifiquement maîtrisé, cette chronique en 2 tomes fait froid dans le dos. Je reste malgré tout assez peu touchée par le dessin, technique et parfait, mais manquant de poésie comme peut l'être celui de Chabouté. Cette froideur du dessin colle bien au thème (et collera parfaitement à la Route) mais ne m'atteint pas, dommage.
Sinistre et glauque, cette série nous transporte dans les profondeurs d’une forêt nordique enneigée. Un village isolé et des villageois terrifiants où les âmes, à l’agonie, se remettent comme elles peuvent des horreurs de la guerre.
Un dessin au diapason de ce scénario glacial et crispant.
Avis pour les 2 tomes:
Manu Larcenet nous projette dans le froid glacial d'un sinistre village. Finalement moins sinistre que la noirceur du coeur des villageois.
Un scénario parfaitement orchestré servi par un dessin brut et époustouflant. Et quel génie de noircir à outrance le visage des soldats! Un coup de maître....
Un drame graphique qui mérite sans hésitation le détour et dont la lecture vous hante bien après avoir refermé cette oeuvre ...
9/10
Cette deuxième partie de l'adaptation du Rapport de Brodeck est tout aussi réussie que la première. Des graphismes saisissants au service d'un roman magnifique. Du grand art !
Le livre était déjà un chef d'oeuvre, l'adaptation BD en est un autre. J'ai peu de souvenir d'une adaptation aussi réussie (tous médias confondus). Manu Larcenet a vraiment atteint des sommets graphiques sur ces deux albums, des noirs et blancs superbes et un format à l’italienne qui subliment une histoire poignante. On n'en sort pas indemne bien évidemment mais la lecture est indispensable. A faire lire à tous ceux qui regardent la BD comme un art mineur...
Dès la sortie du premier volume, j'avais souligné la beauté des planches, le plus souvent muettes. Changement de registre avec ce second volume, avec des dialogues beaucoup plus nombreux mais le talent de Manu Larcenet reste , heureusement, ici, intact.
Alors que les paysages champêtres étaient légions dans le précédent volume, Larcenet se recentre ici autour de deux personnages, ou plutôt de deux destins, qui, en apparence sont différents, mais qui au final se rejoignent, celui de Brodeck évidemment, et celui de l'autre,dit "l'anderer".
Larcenet, au fil des pages, réussi à nous transmettre une ambiance de plus en plus étouffante de ce village situé, situé où au fait...au cœur d'une Europe meurtrie par une Guerre. Cela pourrait se dérouler en Pologne par exemple.
A travers ce rapport, on en apprend autant sur cet "étranger" que sur Brodeck(et de sa famille), qui n'est pas loin non plus d'être un étranger au village.
Graphiquement Manu Larcenet est ici à son meilleur niveau, encore au dessus de ce qu'il nous avait livré pour "Blast".
Les planches en n&b sont sublimes à tel point que l'on se demande, après le formidable "Blast" et ce diptyque inoubliable, ce que nous réserve l'ami Larcenet l'année prochaine.
Un sentiment étrange me traverse au travers de la lecture de ce second volume. Autant, je n'avais pas envie de connaître la conclusion de ce récit à l'issue du premier volume, en me plongeant dans le roman de Claudel, autant, après avoir lu ce second tome, je pense lire le roman éponyme de Claudel pour voir la plus-value que Larcenet a apporté à ce récit.
Un second volume très sombre, très riche, illustré de façon magistrale, d'après un roman, il ne faut pas l'oublier, de Philippe Claudel...bref une bd indispensable !
J'ai dévoré les deux volumes ce week-end mais je ne cesse d'y retourner pour admirer les superbes planches de Larcenet.
Un album à lire, à relire et à admirer...on est proche du chef d’œuvre, non?
Pour l'anecdote, les éditions Dargaud ont tenus compte des critiques sur la présentation du premier volume en offrant aux lecteur un étui plus facile à retirer pour ce second volume!
Histoire terrible et sans concession, dessin âpre magnifiquement maîtrisé, cette chronique en 2 tomes fait froid dans le dos. Je reste malgré tout assez peu touchée par le dessin, technique et parfait, mais manquant de poésie comme peut l'être celui de Chabouté. Cette froideur du dessin colle bien au thème (et collera parfaitement à la Route) mais ne m'atteint pas, dommage.
Le deuxième tome conclut ce récit de la plus belle des manières . Je vois dans ce chef d'oeuvre, une ode à l'humanité personnifiée chez Brodeck .
Sinistre et glauque, cette série nous transporte dans les profondeurs d’une forêt nordique enneigée. Un village isolé et des villageois terrifiants où les âmes, à l’agonie, se remettent comme elles peuvent des horreurs de la guerre.
Un dessin au diapason de ce scénario glacial et crispant.
Avis pour les 2 tomes:
Manu Larcenet nous projette dans le froid glacial d'un sinistre village. Finalement moins sinistre que la noirceur du coeur des villageois.
Un scénario parfaitement orchestré servi par un dessin brut et époustouflant. Et quel génie de noircir à outrance le visage des soldats! Un coup de maître....
Un drame graphique qui mérite sans hésitation le détour et dont la lecture vous hante bien après avoir refermé cette oeuvre ...
9/10
Cette deuxième partie de l'adaptation du Rapport de Brodeck est tout aussi réussie que la première. Des graphismes saisissants au service d'un roman magnifique. Du grand art !
Le livre était déjà un chef d'oeuvre, l'adaptation BD en est un autre. J'ai peu de souvenir d'une adaptation aussi réussie (tous médias confondus). Manu Larcenet a vraiment atteint des sommets graphiques sur ces deux albums, des noirs et blancs superbes et un format à l’italienne qui subliment une histoire poignante. On n'en sort pas indemne bien évidemment mais la lecture est indispensable. A faire lire à tous ceux qui regardent la BD comme un art mineur...
Dès la sortie du premier volume, j'avais souligné la beauté des planches, le plus souvent muettes. Changement de registre avec ce second volume, avec des dialogues beaucoup plus nombreux mais le talent de Manu Larcenet reste , heureusement, ici, intact.
Alors que les paysages champêtres étaient légions dans le précédent volume, Larcenet se recentre ici autour de deux personnages, ou plutôt de deux destins, qui, en apparence sont différents, mais qui au final se rejoignent, celui de Brodeck évidemment, et celui de l'autre,dit "l'anderer".
Larcenet, au fil des pages, réussi à nous transmettre une ambiance de plus en plus étouffante de ce village situé, situé où au fait...au cœur d'une Europe meurtrie par une Guerre. Cela pourrait se dérouler en Pologne par exemple.
A travers ce rapport, on en apprend autant sur cet "étranger" que sur Brodeck(et de sa famille), qui n'est pas loin non plus d'être un étranger au village.
Graphiquement Manu Larcenet est ici à son meilleur niveau, encore au dessus de ce qu'il nous avait livré pour "Blast".
Les planches en n&b sont sublimes à tel point que l'on se demande, après le formidable "Blast" et ce diptyque inoubliable, ce que nous réserve l'ami Larcenet l'année prochaine.
Un sentiment étrange me traverse au travers de la lecture de ce second volume. Autant, je n'avais pas envie de connaître la conclusion de ce récit à l'issue du premier volume, en me plongeant dans le roman de Claudel, autant, après avoir lu ce second tome, je pense lire le roman éponyme de Claudel pour voir la plus-value que Larcenet a apporté à ce récit.
Un second volume très sombre, très riche, illustré de façon magistrale, d'après un roman, il ne faut pas l'oublier, de Philippe Claudel...bref une bd indispensable !
J'ai dévoré les deux volumes ce week-end mais je ne cesse d'y retourner pour admirer les superbes planches de Larcenet.
Un album à lire, à relire et à admirer...on est proche du chef d’œuvre, non?
Pour l'anecdote, les éditions Dargaud ont tenus compte des critiques sur la présentation du premier volume en offrant aux lecteur un étui plus facile à retirer pour ce second volume!