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La suite de l’histoire et la lutte entre gangs noirs et suprématistes blanc fait rage. Pearse a rejoint, avec son compère Dread, un gang mené par une femme dont il va devenir amoureux. Leur train va à son tour tomber dans une embuscade et ils devront s’enfuir et rejoindre la « capitale » du peuple noir. L’album ne manque pas d’action et se parcourt très vite.
Cette histoire de gangs noirs en lutte contre les blanc du entre PPC nous fait penser un peu au KKK , meme lieu U.S.A. mais on ne comprend pas pourquoi dans ce monde futuriste l'avion n'existe pas , c'est vrai qu'il n'y a plus de raison de faire la BD , mais c 'est bizarre .On suit sans probleme cette lutte grace a un superbe dessin et de magnifiques couleurs , pas extra mais se laisse lire .
Dans une Amérique où le Parti Patriotique Chrétien, ultra-réactionnaire, domine et où la guerre raciale sous-tend implicitement le massacre des populations noires, Wolf Pearse -notre héros métis- choisit véritablement son camp.
Cet opus ne m'a ni emballé, ni convaincu, même si le personnage de Soeur-Mère, formidable chef de gang, est tout à fait réussi. Ce retrait de ma part s'explique essentiellement par les explications fugaces donc pas très claires qui sont données à propos de ce monde infernal d'où l'avion a été banni; ce qui explique l'importance qu'ont repris les chemins de fer.
En attendant, dessins et couleurs sont toujours au top.
Les gangs de pirates ferroviaires noirs qui assaillaient les convois de blancs dans le tome précédent, se voient maintenant traqués par les trains entièrement blancs de la Garde Blanche, organisation héritière du K.K.K. qui lance une croisade raciste sous l’impulsion de l’ancien chef de Pearse.
Le traqueur devenant traqué, ce récit à tendance à tomber dans un certain manichéisme. Néanmoins le développement des passés de Pearse et de son sauveur, tout comme l’ascension politique de son ancien chef Davis à l’aide de corruption et chantages, donnent un peu plus de profondeur à ce conflit entre noirs et blancs.
Repéré par Davis, le séjour de Pearse au sein du nouveau gang black des Fils de Judah tourne néanmoins court, donnant une nouvelle tournure à cette histoire en fin d’album.
La suite de l’histoire et la lutte entre gangs noirs et suprématistes blanc fait rage. Pearse a rejoint, avec son compère Dread, un gang mené par une femme dont il va devenir amoureux. Leur train va à son tour tomber dans une embuscade et ils devront s’enfuir et rejoindre la « capitale » du peuple noir. L’album ne manque pas d’action et se parcourt très vite.
Cette histoire de gangs noirs en lutte contre les blanc du entre PPC nous fait penser un peu au KKK , meme lieu U.S.A. mais on ne comprend pas pourquoi dans ce monde futuriste l'avion n'existe pas , c'est vrai qu'il n'y a plus de raison de faire la BD , mais c 'est bizarre .On suit sans probleme cette lutte grace a un superbe dessin et de magnifiques couleurs , pas extra mais se laisse lire .
Dans une Amérique où le Parti Patriotique Chrétien, ultra-réactionnaire, domine et où la guerre raciale sous-tend implicitement le massacre des populations noires, Wolf Pearse -notre héros métis- choisit véritablement son camp.
Cet opus ne m'a ni emballé, ni convaincu, même si le personnage de Soeur-Mère, formidable chef de gang, est tout à fait réussi. Ce retrait de ma part s'explique essentiellement par les explications fugaces donc pas très claires qui sont données à propos de ce monde infernal d'où l'avion a été banni; ce qui explique l'importance qu'ont repris les chemins de fer.
En attendant, dessins et couleurs sont toujours au top.
Les gangs de pirates ferroviaires noirs qui assaillaient les convois de blancs dans le tome précédent, se voient maintenant traqués par les trains entièrement blancs de la Garde Blanche, organisation héritière du K.K.K. qui lance une croisade raciste sous l’impulsion de l’ancien chef de Pearse.
Le traqueur devenant traqué, ce récit à tendance à tomber dans un certain manichéisme. Néanmoins le développement des passés de Pearse et de son sauveur, tout comme l’ascension politique de son ancien chef Davis à l’aide de corruption et chantages, donnent un peu plus de profondeur à ce conflit entre noirs et blancs.
Repéré par Davis, le séjour de Pearse au sein du nouveau gang black des Fils de Judah tourne néanmoins court, donnant une nouvelle tournure à cette histoire en fin d’album.