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. Quelques mois à l'Amélie | PHILGUZZ | Comme neuf | 14.00€ | |
. Quelques mois à l'Amélie | jim mac clure | Très bon état | 14.00€ | |
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. Quelques mois à l'Amélie | Barry lyndon | Comme neuf | 9.90€ | |
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. Quelques mois à l'Amélie | stan prozak | Très bon état | 4.00€ | |
a2003. Quelques mois à L'Amélie | Barry lyndon | Très bon état | 8.00€ | |
a2003. Quelques mois à L'Amélie | GGDBDC | Très bon état | 8.00€ | |
a2003. Quelques mois à L'Amélie | rastahobbit | Très bon état | 6.00€ | |
TL. Quelques mois à L'Amélie | xof 24 | Très bon état | 9.00€ |
Info édition : Présence d'un dossier de 8 pages en fin d'album.
Info édition : Logo www.dupuis.com au verso
Info édition : D.2002/0089/88 — R. 2003/4.
Info édition : Réédition reprenant la maquette du tirage spécial 20e anniversaire d'Aire Libre. Noté "D/2012/0089/364".
Info édition : Pas de dépôt légal mentionné. Tirage limité à 2500 exemplaires pour les 20 ans de la Collection Aire Libre. Avec jaquette illustrée et cahier supplémentaire comportant 6 illustrations inédites en couleur et 6 illustrations en noir et blanc tirées du roman.
L'oeuvre de la maturité ? Sourire. On titre souvent ce genre d'ineptie lorsqu'une oeuvre semble plus pertinente qu'une autre dans la bibliographie de l'auteur...
Jean-C Denis a un pinceau qui ne m'enchante guère. Je ne dénigre nullement le savoir faire, l'intelligence du cadre et de la narration ainsi que les traits et horizon. L'artiste est un professionnel. Mais vous savez les gouts et les couleurs....bref on y peut rien. Ce n'est pas ma came.
Sauf qu'à la lecture de ce one-shot, j'ai vibré tout du long.
Déjà cette histoire de Bernard l'Hermite (romancier alcoolique) qui vit chez les autres, en usurpant des identités et pour faire tout comme une aventure narrée dans un roman édité à compte d'auteur , est d'une vrai rareté. Et tout y est surprenant dans une narration en poupée russe.
Le récit prend son temps et tant mieux. Il y a de la contemplativitée dans les émotions que ressentent tous les personnages, même les plus petits. Il y a, dans cette histoire à tiroir, avant tout, une comédie tragédie humaine.
Il y a également une sorte d'inertie latente toujours dans ces destins qui se croisent. Et Jean-C Denis nous propose de faire nous même notre propre final...
Bref, j'avoue être surpris des critiques précédentes, tant j'ai été bouleversé par la lecture de cette histoire. Et, bien que le trait ne me séduise pas autant que j'aurais aimé, j'ai adoré les couleurs et les décors.
Il y avait de bonnes idées dans cette BD mais à mon avis, elles ont été maladroitement agencées. Il faut dire que cette oeuvre a obtenu l'Alph Art du meilleur dialogue et de l'écriture au festival d'Angoulême en 2003.
Au final, j'ai pas compris grand chose à l'histoire de cet écrivain en mal d'être. Je suis alors plutôt déçu par cette lecture car un souci de simplification aurait été souhaitable pour la compréhension.
On se mêle assez rapidement les pinceaux entre ce qui est censé être la vie de l'auteur et le personnage du roman dont il s'inspire. C'est vraiment dommage ! Ou bien je devais être dans un "mauvais jour" et je n'ai pas réussi à me concentrer... Mais bon, j'ai quand même pas envie de la relire. Soit on aime du premier abord, soit on déteste.
Une histoire qui a un certain charme. Certaines scènes m'ont semblé superflue mais l'ensemble est cohérent. On se demande tout au long ou le scénariste veut nous mener, puis finalement on arrive à la dernière page de ce roman graphique et c'est une belle surprise. La conclusion nous fait réfléchir et nous donne envie de relire l'histoire pour encore mieux apprécier son romantisme.
Bon, on ne peut pas dire que ça soit mauvais mais c’est pas non plus ce qui a de plus passionnant. Certaines situations m’ont parlé, elles sonnent avec une certaine vérité mais certaines sont aussi bien peu crédibles, exemple :
- Le coup de se faire passer pour un médecin au milieu de l’assemblée sans se faire repérer…bof, j’y crois pas une seconde.
- La rencontre avec la femme de l’écrivain par le plus pur des hasards…Bof aussi.
De plus, la transition des planches n’est pas toujours aisée, à cause notamment des flash-back parfois difficiles à différencier avec le présent (j’ai du retourner quelque fois en arrière pour mieux comprendre mais à force, c’est fatigant…)
Le dessin ne casse rien, pas très dynamique, avec peu d’expression concernant les personnages. Bref, je suis mitigé.
A lire pour se faire sa propre opinion mais c'est sans plus me concernant.
Un écrivain plus ou moins à la dérive tombe par hasard sur un roman qui raconte justement le parcours d'un homme qui voyage au hasard. Aloys Clark décide d'en faire autant, ce qui lui vaudra à lui aussi de faire d'étonnantes rencontres et puis l'histoire va lui resérver une surprise, comme celle du serpent qui se mord la queue.
Intéressant mais trop décousu ce qui nuit au ryhtme de l'intrigue principale, les digressions n'ayant guère d'intérêt.
Bien sûr, ceci n'est qu'un livre, une histoire inventée de part en part. D'ailleurs, le
lecteur averti aura bien noté, en première page, que "Ceci est une oeuvre de
fiction. Et patati, patata".
Mais quel lecteur, un petit peu rêveur, ne désirerait pas voir, dans cette histoire
humaine (entendez par là, l’histoire d’un homme confronté à la dureté de son
existence, le deuil, la remise en question, la fuite en avant, l’amour) d’un écrivain
à la recherche d’un autre écrivain; oui, qui ne voudrait pas voir tout au fond de
l’œuvre, au fond de « Quelques mois à l’Amélie », comme un petit miroir qui
reflèterait le monde extérieur, reflet de l’auteur, reflet de l’autre, reflet de soi ?
Quel rêveur ne se demanderait pas si, lui aussi, à force de plonger dans l’abîme,
n’aurait finalement pas trouvé un peu de ce qu’il cherchait ?
Au début ca peut faire penser à du Veyron (dans le fond et la forme). Et puis finalement pas tant que ça. C'est une jolie histoire douce amère que j'ai suivi avec intérêt. La chute est très bien trouvé et relativement innatendu (enfin mois je m'y attendais pas). Un bon one shot donc !
C'est beau un auteur dans la pleine maturité de son talent et de sa vie.
Cet album est un exemple parfait d'un art mis au service d'une histoire simple, humaine et touchante.
Il démontre aussi qu'on peut vivre et partager sa mid-life crisis autrement qu'en se regardant le nombril et en s'interrogeant sur sa capacité à être génial en permanence.
Trés belle histoire avec de bon dessin ou l'on découvre un homme attachant dans ces momments solitaire et sombres et qui grâce à un livre redécouvre peu à peu goût à la vie à travers différentes rencontes. Un hymne à la vie.