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Quelle lecture réellement pathétique ! Effectivement, il ne vaut mieux pas enchaîner avec « le jour où le bus est repartie sans elle » car voilà réellement une BD déprimante qui peut très vite vous faire entrer en dépression à condition d'être très fragile mentalement parlant.
L'expérience traumatisante vécue durant l'enfance par Charlie ? En étant petite fille en colonie de vacances, elle aurait pu être la proie d'un animateur de 25 ans pédophile qui a été arrêté 8 ans après alors qu'elle avait 16 ans. Bref, elle a eu l'impression d'avoir échappé au danger des attouchements par décalage temporel. C'est comme quand vous traversez sur un passage protégé après qu'un fou du volant ait manqué de vous écraser 5 minutes après. Mais bon, cette petite fille devenue femme a commencé à craquer totalement et a été obligé de suivre une psychothérapie. Sa vie amoureuse a d'ailleurs été un désastre. Elle aurait dû porter plainte pour se faire indemniser en rejoignant un collectif de victimes.
Tout cela découle d'un sentiment d'insécurité pour avoir passé très près dans la gueule du loup. Je crois que j'ai dans l'absolu un peu plus de compassion pour la petite fille qui perd ses parents lors d'un bombardement en Syrie que de cette situation que je trouve risible. Est-ce humain que de penser ainsi ? Je sais qu'on peut être marqué par des choses qui peuvent nous paraître insignifiantes et que pourtant la douleur est bien réelle. Mais là, je n'y arrive pas. La victimologie par ricochet n'est pas trop mon truc.
Une œuvre intime et sincère mais que je n'ai pas aimé. Le raconter sous forme de BD peut être une forme de thérapie pour l'auteure. Je peux parfaitement le comprendre. Cependant, je ne suis pas obligé de partager l'esprit perturbé d'une jeune femme. Je ne suis pas Charlie.
Quelle lecture réellement pathétique ! Effectivement, il ne vaut mieux pas enchaîner avec « le jour où le bus est repartie sans elle » car voilà réellement une BD déprimante qui peut très vite vous faire entrer en dépression à condition d'être très fragile mentalement parlant.
L'expérience traumatisante vécue durant l'enfance par Charlie ? En étant petite fille en colonie de vacances, elle aurait pu être la proie d'un animateur de 25 ans pédophile qui a été arrêté 8 ans après alors qu'elle avait 16 ans. Bref, elle a eu l'impression d'avoir échappé au danger des attouchements par décalage temporel. C'est comme quand vous traversez sur un passage protégé après qu'un fou du volant ait manqué de vous écraser 5 minutes après. Mais bon, cette petite fille devenue femme a commencé à craquer totalement et a été obligé de suivre une psychothérapie. Sa vie amoureuse a d'ailleurs été un désastre. Elle aurait dû porter plainte pour se faire indemniser en rejoignant un collectif de victimes.
Tout cela découle d'un sentiment d'insécurité pour avoir passé très près dans la gueule du loup. Je crois que j'ai dans l'absolu un peu plus de compassion pour la petite fille qui perd ses parents lors d'un bombardement en Syrie que de cette situation que je trouve risible. Est-ce humain que de penser ainsi ? Je sais qu'on peut être marqué par des choses qui peuvent nous paraître insignifiantes et que pourtant la douleur est bien réelle. Mais là, je n'y arrive pas. La victimologie par ricochet n'est pas trop mon truc.
Une œuvre intime et sincère mais que je n'ai pas aimé. Le raconter sous forme de BD peut être une forme de thérapie pour l'auteure. Je peux parfaitement le comprendre. Cependant, je ne suis pas obligé de partager l'esprit perturbé d'une jeune femme. Je ne suis pas Charlie.