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Originellement publiée en 1971, Prokon n'avait jamais passé à ce jour les frontières norvégiennes. Cela aurait dû être comme cela mais c'était sans compter la volonté d'un homme à la tête d'une petite maison d'édition aidé par la famille de l'auteur.
Quand on lit cette nouvelle, on se rend compte qu'il y a une très grande naïveté des situations dans la mise en scène. Cependant, cela joue avec des concepts liés à l'entreprise capitaliste et du coup, cela prend une autre dimension plus politique. On peut y avoir comme une sorte d'allégorie ce qui peut expliquer une telle démarche qui n'aurait pas pris une ride.
Le graphisme rappelle étrangement le pop art qui fut à la mode à la fin des années 60. Pour le reste, je ne suis pas vraiment de ceux qui condamnent la société de consommation pour prôner une utopie communiste. Une satire de plus pour nous expliquer que le capitalisme, c'est très mal.
Originellement publiée en 1971, Prokon n'avait jamais passé à ce jour les frontières norvégiennes. Cela aurait dû être comme cela mais c'était sans compter la volonté d'un homme à la tête d'une petite maison d'édition aidé par la famille de l'auteur.
Quand on lit cette nouvelle, on se rend compte qu'il y a une très grande naïveté des situations dans la mise en scène. Cependant, cela joue avec des concepts liés à l'entreprise capitaliste et du coup, cela prend une autre dimension plus politique. On peut y avoir comme une sorte d'allégorie ce qui peut expliquer une telle démarche qui n'aurait pas pris une ride.
Le graphisme rappelle étrangement le pop art qui fut à la mode à la fin des années 60. Pour le reste, je ne suis pas vraiment de ceux qui condamnent la société de consommation pour prôner une utopie communiste. Une satire de plus pour nous expliquer que le capitalisme, c'est très mal.