Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
Plutôt que la tempête, c'est plutôt le chaud et le froid que font souffler Dillon et Ennis au fil des fascicules 20, 21 et 22 de "Preacher"… rattrapant quand même un peu la désastreuse impression laissé par le passage à vide qui a précédé. Si "l'histoire" de "Preacher" est à nouveau intéressante, c'est qu'Ennis met au centre de son récit les jeux de pouvoir au sein de l'organisation du Graal, renversant ainsi l'opinion que nous pouvions nous faire de Herr Stark, et redistribuant donc les cartes entre les personnages. De plus, en reliant le Graal à l'arbre généalogique de Custer, en faisant écho au terrible personnage de "grand-mère", Ennis rassemblent joliment les fils de sa saga.Tout ceci constituerait un bon motif de renouveler notre confiance en "Preacher", s'il n'y avait toujours ces "scories" : la redoutable naïveté fleur bleue des relations entre Custer et Tulip (des pages à mourir d'ennui…), les excès plus très drôles à la longue de sadisme (la torture au fusil à pompe de Cass), et le vieux fond "pro-américain" (curieux quand même de la part d'auteurs venant de Grande-Bretagne) allié ici à des piques anti-françaises assez peu inspirées.
Plutôt que la tempête, c'est plutôt le chaud et le froid que font souffler Dillon et Ennis au fil des fascicules 20, 21 et 22 de "Preacher"… rattrapant quand même un peu la désastreuse impression laissé par le passage à vide qui a précédé. Si "l'histoire" de "Preacher" est à nouveau intéressante, c'est qu'Ennis met au centre de son récit les jeux de pouvoir au sein de l'organisation du Graal, renversant ainsi l'opinion que nous pouvions nous faire de Herr Stark, et redistribuant donc les cartes entre les personnages. De plus, en reliant le Graal à l'arbre généalogique de Custer, en faisant écho au terrible personnage de "grand-mère", Ennis rassemblent joliment les fils de sa saga.Tout ceci constituerait un bon motif de renouveler notre confiance en "Preacher", s'il n'y avait toujours ces "scories" : la redoutable naïveté fleur bleue des relations entre Custer et Tulip (des pages à mourir d'ennui…), les excès plus très drôles à la longue de sadisme (la torture au fusil à pompe de Cass), et le vieux fond "pro-américain" (curieux quand même de la part d'auteurs venant de Grande-Bretagne) allié ici à des piques anti-françaises assez peu inspirées.