Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
On croira peut-être que je suis insensible (voir idiot) mais je n’ai pas apprécié cet ouvrage plus que ça.
Pour le côté idiot, j’avoue qu’il m’a fallu du temps pour saisir qu’on ne saurait pas pourquoi Pete Duel s’est suicidé. Il n’a d’ailleurs quasi aucun intérêt, ce Pete Duel… On en parle au début, il est la base pour l’unique question s’y rapportant : est-ce que les adultes savent mieux que les enfants ?
Une sorte de tromperie, quand même, si, si… Un peu comme si on annonçait un film d’action avec Belmondo et qu’après être tombé dans l’escalier dans la première scène, tout le reste du film se révélait être un Shakespeare… Pourquoi ne pas être parti directement sur l’histoire malheureuse de cet enfant chien ?
Pour le côté insensible, ben moi, il m’a plus gonflé qu’ému, cet enfant chien – nan mais un enfant chien !!! Et personne ne veut en faire un phénomène de cirque ??? Bon, en réalité, pourquoi cet enfant est représenté par un chien, je n’en ai aucune idée – et ça a peut-être contribué à ce que je ne m’y attache pas…
Les petites scènes ne m’ont pas aidé non plus (je redeviens idiot) mais il a fallu qu’il entre à l’école spécialisée pour que je trouve un vague lien, une sorte d’histoire globale. Pour moi, c’est juste de mini-histoire où un pauvre môme s’en prend plein la tronche. Alors oui, la première histoire est touchante. Dans vidéo-gag, la première vidéo aussi était amusante. Mais à force de surenchère, ça devient lourd…
Il y a bien quelques découpages sympas dans les premières pages, dans les « hors histoires », mais c’est à peu près tout…
Kalesniko raconte dans cet album tous les traumatismes vécus par un jeunot
(lui?) pendant son enfance à travers de courts (très courts parfois) épisodes
où prédomine le muet. Une suite d'annecdotes à première vue annodines
soutenues par un dessin net, énergique et expressif, un découpage clair et
efficace, une narration et une mise en scène très bien maîtrisées où les
sensations du jeune Kalesniko (à condition qu'il s'agisse bien de lui) nous
touchent directement.
Ca se lit très vite (trop vite) mais ça nous atteind et nous émeut beaucoup.
On croira peut-être que je suis insensible (voir idiot) mais je n’ai pas apprécié cet ouvrage plus que ça.
Pour le côté idiot, j’avoue qu’il m’a fallu du temps pour saisir qu’on ne saurait pas pourquoi Pete Duel s’est suicidé. Il n’a d’ailleurs quasi aucun intérêt, ce Pete Duel… On en parle au début, il est la base pour l’unique question s’y rapportant : est-ce que les adultes savent mieux que les enfants ?
Une sorte de tromperie, quand même, si, si… Un peu comme si on annonçait un film d’action avec Belmondo et qu’après être tombé dans l’escalier dans la première scène, tout le reste du film se révélait être un Shakespeare… Pourquoi ne pas être parti directement sur l’histoire malheureuse de cet enfant chien ?
Pour le côté insensible, ben moi, il m’a plus gonflé qu’ému, cet enfant chien – nan mais un enfant chien !!! Et personne ne veut en faire un phénomène de cirque ??? Bon, en réalité, pourquoi cet enfant est représenté par un chien, je n’en ai aucune idée – et ça a peut-être contribué à ce que je ne m’y attache pas…
Les petites scènes ne m’ont pas aidé non plus (je redeviens idiot) mais il a fallu qu’il entre à l’école spécialisée pour que je trouve un vague lien, une sorte d’histoire globale. Pour moi, c’est juste de mini-histoire où un pauvre môme s’en prend plein la tronche. Alors oui, la première histoire est touchante. Dans vidéo-gag, la première vidéo aussi était amusante. Mais à force de surenchère, ça devient lourd…
Il y a bien quelques découpages sympas dans les premières pages, dans les « hors histoires », mais c’est à peu près tout…
Passé à côté…
Kalesniko raconte dans cet album tous les traumatismes vécus par un jeunot
(lui?) pendant son enfance à travers de courts (très courts parfois) épisodes
où prédomine le muet. Une suite d'annecdotes à première vue annodines
soutenues par un dessin net, énergique et expressif, un découpage clair et
efficace, une narration et une mise en scène très bien maîtrisées où les
sensations du jeune Kalesniko (à condition qu'il s'agisse bien de lui) nous
touchent directement.
Ca se lit très vite (trop vite) mais ça nous atteind et nous émeut beaucoup.